I)
Il était une fois, dans le royaume de perse, un royaume puissant, un jeune marchand.
Ce jeune marchand vivait de son travail dure labeur, il parcourait, la perse d'est en ouest, pour s'assurer en provisions, pierres précieuses, formules envoutantes, amulettes de protection, et bien sur, d'autres pièces qu'il trouvait dans tel et tel ville, et qu'il exposait dans sa cité, une cité comblée par le l'abondance d'eau entre Suse et Babylone.
Un jeudi sous un soleil de plomb, devant sa maison de terre, alors qu'il exposait ses marchandise une horde de cavalier du sultan défila devant ses yeux, ils avaient de grands sabre, les bruit des chevaux faisaient siffler les oreilles du jeune marchand, à cette periode agé d'un peu moins de la trentaine.
Il montrait un parchemin à l'un de ses clients, un inconnu vagabondant, qui passait par la, et qui cherchait protection contre les mauvais sorts, selon les coutumes de la ville locale.
Cet inconnu était grand, le regard hagard, doté d'une parrure blanche brodée de rouge autour des manches . Le tissus pour son chaffih, qui formait une sorte de chapeau, était par contre lui d'un noir, noir accompagné de motifs d'oiseaux, dorés, il s'avanca alors intrigué, en souhaitait le salut à ce vendeur.
-"Qu'avez vous à me proposer ?"
L'intéressé lui répondit.
-"Ma foi, pour les personnes de votre statures, les sortilèges ne les intéressent pas, il y aurait donc pour vous simplement ces plats, couverts, et habits fait plus a l'ouest qui pourraient vous combler" l'homme dréssé debout répondit enhaussant le ton
-"Ne m'intéressent pas ? Par quel science savez vous que cela ne m'intéresse pas, c'est justement pour conjurer les sorts que je suis venu" Alors il eu comme réponse :
-"Vous me voyez désolé de ma maladresse si je vous ai parlé comme cela, c'est simplement que je ne suis pas moi même friand de ces choses là, c'est juste que le commerce dans cette région, oblige à cela, et même si l'on oublie d'exposer quelques statuettes, les acheteurs potentiels sont outrés, ils ont leurs convictions, et leurs frères de conviction valent mieux que quelqu'un de différent pour eux."
L'autre homme rigolat, on commencait à entendre les hémissement d'un cheval, un crieur arriva, dans son uniforme pour annoncer le passage des troupes du grand sultan.
Il se préssèrent donc pour conclure l'achat, en oubliant leurs conversation. et l'homme appelé Semnan récolta la monnaie, puis remis sa machandise à l'abri du passage des cavaliers.
Une vingtaine de minute plus tard, alors qu'il s'abreuvait dans sa gourde, les troupes arriverent dans sa rue large, boulevard de la ville composée d'un demi-millier de maison, et de quelques palais pour les gouverneurs.
Et c'est à ce moment ci-que sa vie pris un tournant, le moment ou Semnan allait radicalement changer de voie.
