Curieuse expression que celle-ci, celle d’un temps qui nous enjoint à épuiser tous les succédanés du plaisir avant d’être rattrapé par l’affreuse réalité économique et la lente griffure du Temps. Pressentiment d’une jeunesse qui sent plus ou moins confusément le Néant poindre, et qui cherche refuge dans tout ce qu’elle trouvera de narcotique. Le carpe diem de ceux qui n’ont pas la sagesse d’Horace.