LA psychiatrie est un Crime contre l'humanité + preuve
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Qu’est-ce que la psychiatrie ?
C’est une démarche qui a pour but de soigner une personne ayant des troubles mentaux. Soigner, c’est rendre un objet (un être vivant) à nouveau autonome, performant, capable de produire des gestes sans être trahi par une quelconque défaillance, qu’elle soit d’origine extérieure ou intérieure. Le combat entre deux êtres vivants limiterait ainsi la capacité motrice de notre objet et ceci n’est pas considéré comme une défaillance dans notre cas. En psychiatrie, les médecins considèrent que le problème est propre à la personne. La personne développerait un problème à l’intérieur d’elle-même sans que le problème ait un rapport quelconque avec l’extérieur. L’individualité est mise en exergue dans ce cas alors que c’est en reliant tous les êtres humains que l’on arrive à définir un phénomène physique, en considérant qu’une action ne s’arrête pas à une personne mais à deux personnes qui interagissent entre elles. Chaque individu est en réalité le prisme à travers lequel le monde entier se reflète, et non pas « un pion » qui bouscule tous les autres, ces derniers n’étant alors que des personnes qui subissent l’acte d’un individu isolé. C’est en réalité le monde entier (c’est-à-dire tous les autres pions) qui poussent « le pion isolé » à percuter tous les autres ! Le pion isolé formant un tout unique avec le reste des pions, c’est-à-dire que un seul des pions ne peut être compris qu’en définissant dans le même temps tous les autres pions. L’individualisation des problèmes est donc une optique fausse et une vaine chimère. Le psychiatre considère quant à lui, que le patient est seul responsable de son mal et que donc son corps dysfonctionne.
Dans un premier temps, définissons le trouble mental. C’est un processus durant lequel la personne souffre toute seule ou bien fait souffrir d’autres personnes. Lorsque qu’une personne fait souffrir autrui, on considère qu’elle dérange les autres. Il se peut que nous dérangions autrui, soit par le biais d’un trouble mental, soit car notre caractère est différent (notre nature). Un conflit peut avoir pour origine la non-compatibilité de la nature d’une personne avec son entourage, dans ce cas-là il s’agit de son essence. On ne peut pas modifier l’essence d’une personne, car c’est ce pourquoi elle agit (dans le cadre d’une action). La nature d’une personne (son essence) est ce qui produit le fondement de son action en raison de son caractère, c’est-à-dire sa volonté innée d’un désir à l’égard d’un objet. Si des gens mal avisés venaient à considérer que l’essence d’une personne, c’est-à-dire sa nature, n’est pas souhaitée, alors ces gens prendraient partie pour un camp (dans le cadre d’un conflit). Il est à souligner que si une personne est seule contre tous, c’est tout sauf l’indication que le problème viendrait de la personne seule. Pourquoi ? Car une idée peut-être vraie indépendamment du fait que la majorité des gens la considère fausse, ici le fait d’avoir raison seul contre tous. Se fier au Nombre pour savoir si une idée (une opinion) est juste relève de l’idiotie. Remettre en cause son essence (sa nature) est par ailleurs immoral, car toute personne évoluant selon ses propres règles et les règles fixées par Dieu (dit d’un acte naturel) a de facto tous les droits. Pour quelles raisons ? Car, si je considérais l’essence d’une personne mauvaise, trouvant alors injuste qu’on lui donna la vie, je nierais alors son existence en tant qu’être vivant dont la volonté diffère de la mienne, mais n’exerçant aucune contrainte qui aille contre son bonheur.
Qu’est-ce qu’un problème mental ? L’acteur et ses jugements sont considérés comme compromis. Les décisions d’une personne sont mal avisées ou ne prennent pas en compte l’environnement, l’entourage. Exemple : Franchir un feu rouge est mal avisé. Mais dira-t-on que le résistant en France en 1942 pendant l’occupation était mal avisé lorsqu’il distribuait des tracts contre le nazisme et l’occupation allemande ? On peut dire ainsi qu’il ne prend pas en compte le danger et il aurait, donc, un problème mental. Je note qu’il était d’ailleurs jugé fou et cité comme « extrémiste » (c’est-à-dire diabolisé) par la presse française sous occupation. La presse influençant et (en réalité) dirigeant l’opinion publique, c’est toute la population française qui considérait les résistants français comme des terroristes. Y aurait-il un lien entre la folie suggérée d’une personne et sa diabolisation ? Toute personne ayant des troubles mentaux est, quasiment tout le temps, en conflit avec la société (ou son entourage). Dans le cadre d’un conflit, sommes-nous d’accord pour dire que l’ennemi est diabolisé en toutes circonstances ? De ce fait, on peut dire que l’homme qui développe des troubles mentaux, étant en conflit avec ses voisins, la société, est diabolisé. Diabolisé par qui ? Le psychiatre. Qui n’est autre que le sous fifre de l’Etat. Il est la Main de l’Etat. La psychiatrie, ayant la volonté de résoudre des conflits et désignant le coupable (le responsable), a donc un lien fort avec le Politique. La politique et la psychiatrie ne font en réalité qu’un. Qu’est-ce que la politique ? C’est agencer et réguler la société, selon des règles, partant du principe que des conflits (petits ou grands) éclatent entre les citoyens. Comment l’esprit serait perturbé ? A quel moment considère-t-on qu’il y a un trouble de l’esprit, autrement dit que l’esprit est défaillant ? Le psychiatre considère que l’esprit d’une personne est défaillant lorsque son attitude et ses réactions provoquent un trouble dans l’espace public. L’objectif du psychiatre est de rendre la personne docile, elle doit se soumettre aux règles imposées par l’Etat pour que nous puissions tous vivre ensemble, dit-on. Il s’agit en effet du « bien commun » qui suggère que chacun peut trouver son propre bonheur en respectant une diatribe de règles imposées. Ces règles empêcheraient « sa nature » de prendre le dessus pour faire un acte immoral. L’être humain serait donc, selon eux, par essence immoral et les personnes riches devraient par devoir venir en aide aux gens pauvres (la plus grande masse de gens) pour qu’ils deviennent moraux. Le psychiatre a donc une mission morale. Celle de rendre les gens moraux (les sujets ayant des troubles mentaux) et celle de donner à l’espace public un caractère sain. Le psychiatre fait donc la Loi, il a une action législative. Avec quels outils le psychiatre agit-il ? Il a à sa disposition dans un premier temps la carte de l’Hôpital psychiatrique qui est en réalité la « mise en prison », la mise en détention de la personne. Et dans un second temps il utilise des médicaments. Quel est le but du médicament ? Quel est le but du neuroleptique ? Le but est de dérober les fonctions vitales au patient, de le rendre inerte. Nous tentons de diminuer son énergie, de nuire à sa capacité de vivre naturellement (au fonctionnement naturel de son corps). Le but est de rompre l’équilibre psychique du patient. Qu’est-ce qu’un équilibre psychique ? C’est la capacité du corps d’un être humain à réguler des substances, des liquides, ou en produire dans le but de répondre à ses demandes, que ce soit dans un but moteur (le corps), ou intellectuel (l’esprit). Comment suis-je arrivé à un tel raisonnement ? Il me semble que l’on ne peut pas créer un nouveau « circuit » dans le cerveau, il est donc probable que l’on essaye d’augmenter ou de diminuer l’activité d’un « circuit » préexistant. On décide donc, probablement, de diminuer ou d’augmenter l’énergie du patient. La substance visée était donc la dopamine, selon toute raison gardée. Quelle substance produite par le corps vise-t-on à nuire dans le cadre du « médicament » neuroleptique ? Il s’agit bel et bien de la dopamine. La dopamine est source d’énergie, elle régule les humeurs et elle se trouve en grand nombre lorsque l’esprit est agité. Elle est source de bonheur. C’est la dopamine qui crée un lien entre les frémissements de l’esprit et le mouvement du corps. Elle permet une indépendance mentale du sujet. S’attaquer à elle, c’est s’attaquer à la liberté de la personne. La baisse de la dopamine ou sa régulation (selon les termes des médecins) par neuroleptique crée une baisse d’énergie. Réguler c’est ici ordonner les choses d’une façon telle qu’elles deviennent agréable pour soi (utiles) en vue d’atteindre un objectif. Alors, quel est l’objectif du médicament ? Le neuroleptique a pour premier but de rendre la personne fatiguée. Le second but souhaité quand le premier est atteint est de rendre la personne malléable aux injonctions de l’Etat et donc, du psychiatre. C’est ce second but qui est recherché grâce à l’effet premier de fatigue du neuroleptique. Le but est de rendre l’élément perturbateur, « le patient », docile. Il faut prendre en compte, bien évidemment, que les termes patient, soignant, médecin ou encore médicaments sont mensongers. Le but est de changer le comportement des gens par la force. Ils utilisent d’abord la force des mains et la solidité des barreaux en plaçant l’individu dans un Hôpital psychiatrique (une prison), dans le but de sécuriser l’espace publique de façon immédiate. Puis ils décident de s’attaquer à l’esprit du patient, à sa Volonté. Il faut « briser sa volonté ». Le troisième but et ultime but du neuroleptique est la résilience du patient : son acceptation de rentrer dans les normes et d’être compatible a eu égard à la Loi qui sécurise l’espace public, qui, lui, est sécurisé pour permettre à l’activité économique de battre son plein et sans entrave. On pourrait comparer un neuroleptique à un instrument de torture qui a pour but de faire souffrir le patient dans le but de lui faire concéder sa soumission. Faire pression sur le malade dans le but de le normaliser, c’est, je crois, le principal moteur de la psychiatrie, le principal but. C’est ce qui fait son essence, c’est-à-dire ce pourquoi elle existe. Pourquoi le normaliser ? On souhaite le normaliser soit pour le réintégrer à la société dans le but qu’il consomme des biens et en produise, tel un vulgaire esclave, soit, dans les cas les plus grave, qu’il cesse de déranger le reste des êtres humains et d’empêcher la société de fonctionner librement. Pour conclure, vis-à-vis du neuroleptique, les psychiatres semblent oublier une chose. Il y a une séparation nette entre le corps et l’esprit ! On peut s’attaquer au corps d’un individu que cela ne changera rien à sa détermination. L’esprit est inatteignable et il le sera à jamais !
Le 13 janvier 2021 à 22:25:10 BoneCock a écrit :
Désole j'ai déjà mangé un pavé de bœuf
à lire si on s'intéresse à la psychiatrie !
Le 13 janvier 2021 à 22:52:27 Lezardidou91 a écrit :
Ce n'est pas une médecine parfaite, qui a ses nombreux défauts, qui a pu détruire certaines vies, mais elle a pu en sauver d'autres, à voir s'il existentielle des chiffres sur le taux de réussite de x thérapie, c'est fort probable (flemme d'aller sur pubmed je suis un lambda)
y'a fort à parier que y'a peu de réussite vu le nombre de commentaires négatifs
quand je vois les avis sur internet des hopitaux c'est drôle
2 étoile sur 5 la plupart du temps
En général les gens qui ont ce genre de discours n'ont jamais fréquenté des patients psychotiques en réhabilitation. Crois moi que ces gens seraient offusqués ou te cracheraient dessus.
Encore une fois, c'est bien de parler. Mais vivez les choses avant de donner votre avis.
Le 14 janvier 2021 à 13:34:01 Carlouille a écrit :
En général les gens qui ont ce genre de discours n'ont jamais fréquenté des patients psychotiques en réhabilitation. Crois moi que ces gens seraient offusqués ou te cracheraient dessus.Encore une fois, c'est bien de parler. Mais vivez les choses avant de donner votre avis.
bla bla
Le 13 janvier 2021 à 22:52:27 Lezardidou91 a écrit :
Ce n'est pas une médecine parfaite, qui a ses nombreux défauts, qui a pu détruire certaines vies, mais elle a pu en sauver d'autres, à voir s'il existentielle des chiffres sur le taux de réussite de x thérapie, c'est fort probable (flemme d'aller sur pubmed je suis un lambda)
La psychiatrie n'a jamais sauver personne
elle sert juste à tenir le fous pour pas qu'ils se baladent dans la rue
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Données du topic
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- Fleur_Soleil
- Date de création
- 13 janvier 2021 à 22:18:47
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