https://youtu.be/6lWblEHsssU?t=1497
Vilebrequin s'extasie h24 sur les perfs, les sensations que font ressentir les autos à gros moteurs, et là dans cette vidéo sur le groupe B, ils s'extasient sur un championnat de rallye totalement fou ou des caisses ultra legeres pas renforcées securitairement étaient poussés à 600ch et que c'était un spectacle de malade à la limite du raisonnable.
Ce championnat a été arreté à la suite de la mort d'un pilote.
En parlant de ce sujet, le gars de Vilebrequin nous pond cette phrase
"ils doivent meme pas arreter forcement a cause des morts, puisque la fédération argumente sur le fait qu'il y a toujours eu des morts en sport auto et qu'il y en aura toujours - c'est vrai, mais c'est un argument de gros f2p -
le " c'est vrai mais c'est un argument de gros f2p " j'en peux tellement plus de ce genre de moraline a deux balles, de morale des faibles, de ouin ouin permanent que le danger et la mort c'est grave.
C'est à cause de cette morale de fl0ttes que la vie a été rendue ingouttable, insupportable, depassionnante. Qu'on se fait flashé si on depasse une allure de limace, qu'on est maintenus à 80 dans des belles lignes droites, obligés de se trainer, qu'on sort et qu'on doit porter un masque pour un rien, par prevention du peut etre que ... , qu'on vit plus tout simplement
Dans une autre vidéo vilebrequin reproche a certaines caisses d'etre aseptisées, et fait l'apologie de la 205 pour les raisons exactement contraires https://youtu.be/recKNBlYWkk?t=742 - le fait qu'il y a pas d'airbags, que c'était une voiture marrante, qu'on connaitra plus cette époque révolue - bah normal c*nnard avec ce genre de cachets à la moraline que tu nous pond "ouin dire qu'il y aura des morts c'est pas gentil"
A force d'avoir cette mentalité, on prefere pourrir la vie et ne pas la vivre, que de vivre la vie, avec la dose de risque qu'elle comprend
Alors moi je pose la question : quel est le mieux ? Vivre a fond, quitte à mourir, ou ne pas vivre et ne pas mourir - mais vivre sans plaisir ?
Quel est le pire ? Mourir ou ne pas vivre ?
Nietzsche faisait l'apologie de la vie, et faire l'apologie de la vie c'est vivre a fond, et la vie suggère le risque, sans le risque elle est fade. Mais c'est son intensité qui fait son gout, pas sa longueur.
Meditez sur ça mes petits cocos
[et c'est un repost - mon topic parfaitement illustré par le combo poucAvs-modos]