Il était dans son costume du Capitole. Torse nue, peau de bête, avec ses cornes.
J'étais dans le Capitole avec lui. On rentre dans un bureau. Il s'assied derrière le bureau. Il est si virile et je me sens si protégé.
Il me demande de passer sous le bureau. Je m'exécute. Il finit par me prendre sur le bureau en hurlant, ses muscles exaltés par l'excitation de la prise du Capitole. "America great again!" s'exclame-t-il.
J'ai repris en coeur avec lui, jusqu'à ce qu'il se lâche en moi.
Je me suis réveillé avec une gaule énorme, les larmes aux yeux. L'émotion était trop forte.
Ce sentiment de complicité virile est depuis resté ancré en moi. Et pourtant je ne me suis jamais senti aussi hétérosexuel.