Le BOULE de la chanteuse Tal
Part delà les collines de Bab el oued, dans des contrées reculées encore jamais explorées par les occidentaux, la légende raconte que se serait constituée, à l'abris des temples, un haut-conseil des meilleurs artisans falafels de tout le Moyen-Orient. Ces maîtres émérites savaient manier la poudre de poix chiche fraîche et les graines de sésame finement torréfiése pour former les meilleurs boulettes de falafels dont les saveurs se disputaient jusqu'au cœur de la Judée, au delà des portes du Royaume Hachémites. Mais un jour, alors que la population étaient mobilisée pour repousser les troupes sanguinaires Assyriennes, un vil et fourbe habitant du village, crapule de grand chemin, en profita pour voler la recette de ces douceurs et se l'approprier.
Une fois rentré chez lui, le vil gredin enferma sa fille unique, âgée d'une dizaine d'année, dans sa cave, et commença a préparer la mixture, suivant à la lettre les préconisation du conseil des maîtres artisans falafels. Désormais, la jeune femme ne serait nourrit que de boulettes jusqu’à sa majorité. C'était la première fois qu'un homme s'essayait a ce type d’élevage, empêchant la pauvrette de voir la lumière du jour, et a gambader dans les prés, elle serait maintenu a une température constante d'environs 15 C°, et nourrit 4 fois par jour de falafels et de crème de potiron.
Et qu'elle ne fût pas la surprise de son père, lorsque atteint l'age de ses 18 ans, il lui permit de sortir de ces années de torpeur... Son cul avait tout bonnement triplé de volume, et ressemblait désormais au Mont Sinaï, la montagne la plus gourmande et sacrée pour le peuple hébraïque. Son père se frottait les mains... Il allait a coup sûr pouvoir négocier sa fille à bon prix sur la place du marché, avec un caravanier d'épices qui en ferait sa femme pou une belle poignée de dinars. Mais, le vieille homme n'avait pas prévu que sa fille prenne la poudre d’escampette avant même qu'il n'ai eu le temps de la négocier pour quelques chèvres. La jeune femme utilisa alors son boule, tout au long de son périple jusqu'en Europe ou elle était sûre d'avoir une vie meilleur. Elle choisit le nom de TAL, bien élevée aux falafels, et devint la star de la chanson que l'on connait aujourd'hui, non pas pour ses tubes, mais pour son cul gonflé comme un pain levée au bon levain
C'est dans un laboratoire ultra secret que le scientifique chef BOURDESTEIN et son equipe passaient le plus clair de leur temps. Nous sommes en 1989, dans la base souterraine a 50m mètres sous le désert de Néguev. Cette équipe de scientifique fut sélectionnée sur base de leurs compétences intellectuelles légendaires, ils ont étudié à Cambridge, Harvard et même l'X pour certains.
Cette équipe mène des recherches top secrètes depuis maintenant une décennie, ils ne sont unis ni par l'argent, ni par la patrie. Depuis maintenant une décennie, les 10 cerveaux les plus performants de l'humanité, si ce n'est de l'univers, sont à la poursuite d'un objectif bien plus grand.
Ils ont pour but de créer le cul le plus saillant et harmonieux que la génétique peut permettre. Ce cul devra faire partie d'un organisme pouvant assimiler une forte quantité quotidienne de falafels et sabihs pour que chaque jour ce cul bénit de la science soit renforcé.
"Eureka" s'écriait BOURDESTEIN lorsque lui et son équipe eurent enfin finalisé ce projet gouvernemental ultra secret ayant déjà englouti une bonne centaine de milliards de dollars. Le code génétique était enfin prêt, ils allaient enfin pouvoir revoir la lumière du jour!
Tout dans cet ADN prédisposait à favoriser la construction du fessier parfait. Ainsi, des protéines inédites furent imaginées pour augmenter la capacité de saturation des muscles fessiers, et la reconstruction de ces muscles était mise en priorité haute lors d'une déchirure musculaire.
Il ne manquait plus qu'a injecter cet ADN dans une cellule, puis de féconder une femelle de qualité S+. C'est ainsi que Tal est née.
Presque 30 ans plus tard, c'est le chibre a la main que chaque jour nous remercions le professeur BOURDESTEIN et son equipe d'avoir mené à bien ce projet, d'avoir donné à l'humanité ce cul qu'elle ne méritait pas, et qu'elle ne mériterait probablement jamais.
Le 13 janvier 2021 Ă 05:05:47 sko-97x a Ă©crit :
ça m'emmerde de ddb un fan des hammers khey ressaisi toi
Pardon chefent c'Ă©tait trop tentant
Le 13 janvier 2021 Ă 05:04:10 Quelamilf a Ă©crit :
Part delà les collines de Bab el oued, dans des contrées reculées encore jamais explorées par les occidentaux, la légende raconte que se serait constituée, à l'abris des temples, un haut-conseil des meilleurs artisans falafels de tout le Moyen-Orient. Ces maîtres émérites savaient manier la poudre de poix chiche fraîche et les graines de sésame finement torréfiése pour former les meilleurs boulettes de falafels dont les saveurs se disputaient jusqu'au cœur de la Judée, au delà des portes du Royaume Hachémites. Mais un jour, alors que la population étaient mobilisée pour repousser les troupes sanguinaires Assyriennes, un vil et fourbe habitant du village, crapule de grand chemin, en profita pour voler la recette de ces douceurs et se l'approprier.
Une fois rentré chez lui, le vil gredin enferma sa fille unique, âgée d'une dizaine d'année, dans sa cave, et commença a préparer la mixture, suivant à la lettre les préconisation du conseil des maîtres artisans falafels. Désormais, la jeune femme ne serait nourrit que de boulettes jusqu’à sa majorité. C'était la première fois qu'un homme s'essayait a ce type d’élevage, empêchant la pauvrette de voir la lumière du jour, et a gambader dans les prés, elle serait maintenu a une température constante d'environs 15 C°, et nourrit 4 fois par jour de falafels et de crème de potiron.
Et qu'elle ne fût pas la surprise de son père, lorsque atteint l'age de ses 18 ans, il lui permit de sortir de ces années de torpeur... Son cul avait tout bonnement triplé de volume, et ressemblait désormais au Mont Sinaï, la montagne la plus gourmande et sacrée pour le peuple hébraïque. Son père se frottait les mains... Il allait a coup sûr pouvoir négocier sa fille à bon prix sur la place du marché, avec un caravanier d'épices qui en ferait sa femme pou une belle poignée de dinars. Mais, le vieille homme n'avait pas prévu que sa fille prenne la poudre d’escampette avant même qu'il n'ai eu le temps de la négocier pour quelques chèvres. La jeune femme utilisa alors son boule, tout au long de son périple jusqu'en Europe ou elle était sûre d'avoir une vie meilleur. Elle choisit le nom de TAL, bien élevée aux falafels, et devint la star de la chanson que l'on connait aujourd'hui, non pas pour ses tubes, mais pour son cul gonflé comme un pain levée au bon levain
Putain de merde
Le 13 janvier 2021 Ă 05:19:57 Lecheur2Fondant a Ă©crit :
Le 13 janvier 2021 Ă 05:04:10 Quelamilf a Ă©crit :
Part delà les collines de Bab el oued, dans des contrées reculées encore jamais explorées par les occidentaux, la légende raconte que se serait constituée, à l'abris des temples, un haut-conseil des meilleurs artisans falafels de tout le Moyen-Orient. Ces maîtres émérites savaient manier la poudre de poix chiche fraîche et les graines de sésame finement torréfiése pour former les meilleurs boulettes de falafels dont les saveurs se disputaient jusqu'au cœur de la Judée, au delà des portes du Royaume Hachémites. Mais un jour, alors que la population étaient mobilisée pour repousser les troupes sanguinaires Assyriennes, un vil et fourbe habitant du village, crapule de grand chemin, en profita pour voler la recette de ces douceurs et se l'approprier.
Une fois rentré chez lui, le vil gredin enferma sa fille unique, âgée d'une dizaine d'année, dans sa cave, et commença a préparer la mixture, suivant à la lettre les préconisation du conseil des maîtres artisans falafels. Désormais, la jeune femme ne serait nourrit que de boulettes jusqu’à sa majorité. C'était la première fois qu'un homme s'essayait a ce type d’élevage, empêchant la pauvrette de voir la lumière du jour, et a gambader dans les prés, elle serait maintenu a une température constante d'environs 15 C°, et nourrit 4 fois par jour de falafels et de crème de potiron.
Et qu'elle ne fût pas la surprise de son père, lorsque atteint l'age de ses 18 ans, il lui permit de sortir de ces années de torpeur... Son cul avait tout bonnement triplé de volume, et ressemblait désormais au Mont Sinaï, la montagne la plus gourmande et sacrée pour le peuple hébraïque. Son père se frottait les mains... Il allait a coup sûr pouvoir négocier sa fille à bon prix sur la place du marché, avec un caravanier d'épices qui en ferait sa femme pou une belle poignée de dinars. Mais, le vieille homme n'avait pas prévu que sa fille prenne la poudre d’escampette avant même qu'il n'ai eu le temps de la négocier pour quelques chèvres. La jeune femme utilisa alors son boule, tout au long de son périple jusqu'en Europe ou elle était sûre d'avoir une vie meilleur. Elle choisit le nom de TAL, bien élevée aux falafels, et devint la star de la chanson que l'on connait aujourd'hui, non pas pour ses tubes, mais pour son cul gonflé comme un pain levée au bon levain
Putain de merde
15° c'est pas chaud ! normal qu'elle ait envie se réchauffer, se dandiner
Le 14 janvier 2021 Ă 17:49:36 Envahissante a Ă©crit :
Elle est radieuse.
Données du topic
- Auteur
- AshleyFletcher
- Date de création
- 13 janvier 2021 Ă 05:02:03
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