Topic de Sonic423 :

Le christianisme :rire:

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Le christianisme est une perversion de l’instinct de conservation. Cela en fait un destructeur de civilisations et de peuples entiers. Embrasser le christianisme n’est pas différent de se mettre une corde autour du cou et de sauter d’un grand bâtiment. C’est un suicide pour tous ceux qui se laissent bêtement influencer par ses doctrines toxiques.

La culture occidentale aurait été perdue pour toujours, sans la redécouverte de la science et de la philosophie païennes au cours de la Renaissance.

Malheureusement pour nous, l’Occident a encore une fois succombé à ce fléau spirituel. La cité céleste de Dieu porte maintenant un jugement sur l’Occident. Le Fils de Charpentier a parlé : l’Occident a été jugé et laisse à désirer !

L’Église a toujours considéré la cité terrestre de Rome avec mépris ; la culture d’accueil qui a couvé la religion depuis si longtemps ne signifie rien pour cette catin de Babylone, qui s’est prostituée devant toutes les nations du monde. Si toute la science et la technologie occidentale devaient disparaître du jour au lendemain, l’Église n’en serait pas affectée le moins du monde ; ce qui importe, c’est que la prédication de l’Évangile continue sans interruption, rien d’autre. Le christianisme et l'Occident sont fondamentalement incompatibles.
Le religieux chrétien est à la croisée des chemins ; il doit choisir entre l’évangile ou la survie de la civilisation occidentale. Il ne peut pas choisir les deux. Un véritable religieux chrétien ne peut que prendre parti pour la survie de l’orthodoxie chrétienne, sinon il serait un apostat, le salut éternel lui étant à jamais refusé. Dans un monde où la survie évolutionnaire est un jeu à somme nulle, le christianisme est le grand ennemi de la civilisation occidentale.

Les érudits ont longtemps remarqué le grand attrait que le christianisme a depuis toujours pour la lie de l’humanité. Peu d’intellectuels ont été attirés par la religion ; ceux qui se sont convertis sont devenus des extrémistes anti-intellectuels qui ont tourné le dos à la culture et à la civilisation occidentales. Tertullien, théologien latin du 2ème siècle, l’un des anti-intellectuels chrétiens les plus fanatiques, est célèbre pour avoir demandé :

«Mais qu’y a-t-il de commun entre Athènes et Jérusalem, l’académie et l’Eglise, les hérétiques et les Chrétiens ?… Nous n’avons pas besoin de curiosité après Jésus-Christ, ni de recherches après l’Evangile. Quand nous croyons, nous ne voulons plus rien croire au-delà; nous croyons même qu’il n’y a plus rien à
croire.».

Le païen instruit méprisait la croyance populaire. Pour être dignes de foi, les religions devaient être logiquement cohérentes et empiriquement fondées. Elles devaient avoir une base en science et en philosophie. Tout le reste était de la « superstition ». Dans l’antiquité classique, la superstition était définie comme la peur des « démons » et la croyance en la causalité surnaturelle de phénomènes physiques, tels que la maladie.

Pour l’intellectuel païen, le christianisme incarnait tout ce qu’ils détestaient en matière de superstition. Ce qui rendait le christianisme particulièrement répréhensible, c’est qu’il avait hérité de tous les pires traits d'une mauvaise religion, à savoir l’intolérance et le fanatisme. La religion se répandit aussi comme une maladie contagieuse. Comme le voyait l’intellectuel païen : le christianisme était conçu et diffusé par des hommes ignorants au profit d’hommes ignorants, notamment à cause de sa ressemblance étroite avec les croyances superstitieuses des masses.

Le triomphe du christianisme a conduit à un renversement complet des valeurs de l’élite païenne à la fin de l’Antiquité. L’homme instruit embrassait maintenant de tout coeur les croyances de multitudes semi-barbares. Saint Augustin, éduqué à l’origine dans le cursus classique et formé à la rhétorique, pouvait affirmer avec confiance que toutes les maladies sont d’origine surnaturelle, en défiant ouvertement la pratique médicale grecque bien établie. Alors qu’avant Constantin, il existait un écart important entre les croyances des païens instruits et les hoi polloi [la populace], après Constantin, un tel écart n’existait plus. Pour la première fois dans l’Antiquité classique, l’élite et les masses étaient impossibles à distinguer en termes de croyance, tous souscrivant naïvement à la vénération des saints, de leurs reliques et miracles.
Au passage je recommande le livre "la république universelle du genre humain" de Anacharsis Cloots :hap:

Le 30 décembre 2020 à 23:20:51 Sonic423 a écrit :
Le christianisme est une perversion de l’instinct de conservation. Cela en fait un destructeur de civilisations et de peuples entiers. Embrasser le christianisme n’est pas différent de se mettre une corde autour du cou et de sauter d’un grand bâtiment. C’est un suicide pour tous ceux qui se laissent bêtement influencer par ses doctrines toxiques.

La culture occidentale aurait été perdue pour toujours, sans la redécouverte de la science et de la philosophie païennes au cours de la Renaissance.

Malheureusement pour nous, l’Occident a encore une fois succombé à ce fléau spirituel. La cité céleste de Dieu porte maintenant un jugement sur l’Occident. Le Fils de Charpentier a parlé : l’Occident a été jugé et laisse à désirer !

je suis pas un expert mais pour moi le christianisme a misé sur le socialisme et la fraternité des peuples plutot que la domination au détriments des autres
c'est une stratégie comme une autre. et je pense que ca nous correspond, quand les conditions sont réunies

C'est débile ton argument, tu mélanges christianisme et civilisation chrétienne.
Parce qu'une avancée vient d'un monde païen le christianisme lui est forcément opposé? Le christianisme n'est pas fermé au monde, au contraire.

Le christianisme : un destructeur d’empires

Contrairement aux cultes païens, la religion d’Etat issue du concile de Nicée était administrée par une vaste bureaucratie centralisée, dont la portée était à l’échelle de l’empire et dont les fonctionnaires étaient plus nombreux et mieux payés que ceux de l’Etat. Les revenus qui auraient pu être utilisés pour améliorer les infrastructures, tels que la construction des routes, des ponts, des aqueducs et des théâtres sont allés vers la construction de structures inutiles comme églises et monastères et l’alimentation de «bouches oisives» : moines, prêtres et évêques, qui ne contribuaient aucunement en terme de valeur matérielle ou économique à l’État.

La quantité de main d’oeuvre nécessaire pour nourrir, vêtir et héberger les «bouches oisives» de l’église chrétienne était considérablement plus importante que ce qui était nécessaire pour un fonctionnaire représentatif de la fonction publique romaine.

Les formidables talents d’hommes comme Athanase et Jean Chrysostome, qui auraient été mieux employés pour défendre l’empire en tant que généraux et dirigeants compétents, ont été au contraire gaspillés afin d’étendre le pouvoir et l’influence de l’Eglise dans la vie quotidienne. En effet, une main-d’oeuvre précieuse
et des ressources matérielles dilapidées au service des «bouches oisives» est un thème récurrent dans l’histoire du christianisme

La renaissance n'est pas une redécouverte de la science et de la philosophie de l'antiquité, tout ceci a toujours été connu au moyen-âge le desco. Faut aller chercher plus loin que les stéréotypes de PMU quand tu veux faire un semblant d'analyse :ok:

La pire destruction infligée à l’empire occidental a bien sûr été perpétrée par les chrétiens. Le grand sac de Rome en 411 – considéré comme un moment décisif dans le déclin de l’Occident – a été commis par un chrétien arien. Le sac de Rome en 455, encore plus dévastateur que le premier carnage barbare à travers la ville éternelle, a été perpétré par un autre chrétien, qui avait auparavant affaibli l’empire en s’emparant de la province africaine pour en faire son fief personnel. Et bien sûr, la personne qui a livré le coup de grâce final, mettant effectivement fin au règne impérial romain en Occident et en inaugurant les siècles obscurs en Europe, était aussi un chrétien.

Quand les chrétiens étaient au faîte de leur puissance, les routes et les chaussées qui couvraient l’empire étaient en ruine ; l’utilisation des ponts et des aqueducs avait pratiquement cessé ; la connaissance de la
construction en pierre et en mortier avait presque disparu ; l’instruction, telle qu’elle était, avait disparu, à l’exception du clergé ; les normes d’hygiène personnelle avaient disparu ; le système de plomberie intérieure avait disparu ; de grandes zones de l’ancien l’empire étaient dépeuplées et enfin ; l’utilisation de la monnaie avait presque cessé, signifiant la fin de l’économie financière complexe de l’époque romaine.

C’était le monde du christianisme : un monde de profonde ignorance et de stupidité, où des hommes brutaux, sous couvert de religion, tyrannisaient une population faible et sans défense. Les siècles obscurs ont été les cadeaux du christianisme à l’Europe. Il a été introduit par les chrétiens, présidé par les chrétiens et prolongé pendant des siècles par les chrétiens. L’Europe a enduré une de ses heures les plus sombres lorsque les chrétiens furent à l’apogée de leur pouvoir et de leur influence.

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Sonic423
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30 décembre 2020 à 23:20:51
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30 décembre 2020 à 23:46:52
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