Charles de Gaulle sur la mort de Lee Harver Oswald
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« Ça a l'air d'une histoire de cowboys, mais ce n'est qu'une histoire d'OAS. La police est de mèche avec les ultras [...]. Ils se sont saisis de ce communiste qui n'en était pas un, tout en l'étant. C'est un minus habens et un exalté. C'était l'homme qui leur fallait. Un merveilleux accusé [...]. Ils le gardaient en réserve ! [...]. On ne pouvait pas le descendre sans autre forme de procès. Mais un procès, vous vous rendez compte, c'est épouvantable, des gens auraient parlé. On aurait remué des choses ! On aurait tout déballé ! Alors la police est allée chercher cet indicateur qui n'avait rien à lui refuser et qu'elle tenait parfaitement en main, et ce type s'est dévoué pour tuer le faux assassin, sous prétexte qu'il fallait défendre la mémoire de Kennedy ! C'est de la rigolade. Toutes les polices du monde se ressemblent, quand elles font de basses besognes. On ne saura jamais la vérité car elle est trop terrible, trop explosive : c'est un secret d’État. Ils feront tout pour la cacher ; c'est un devoir d’État. Sinon il n'y aurait plus d'États-Unis"
Alors les Jean-Michel Information Officiel ? Le complot n'existe pas ?
Cette blague historique
Dans le vrai monde tout le monde complote contre tout le monde.
C’est seulement chez les bisounours que cela n’est qu’une théorie.
Je ne vois même pas comment cela est devenu une sorte d’insulte
Aya les [...] pour cacher les passages glissants du général.
GdG. — Je n'ai qu'une intuition, et peut-être on ne saura jamais la vérité. Je m'en vais vous dire comment je ressens les choses. C'est bien simple : ce qui est arrivé à Kennedy, c'est ce qui a failli m'arriver. Son histoire, c'est la mienne. Le meurtre du Président des États-Unis à Dallas, c'est ce qui aurait pu se produire quand le Président de la République française se baladait à Alger ou Oran, en 60 ou 61. Ça a l'air d'être une histoire de cow-boys, mais ce n'est qu'une histoire d'OAS. La police est de mèche avec les ultras. Les ultras, en Amérique, c'est le Ku Klux Klan, la Birch Society 4 et toutes ces associations secrètes d'extrême droite. Et là-bas, leurs Arabes, ce sont les Noirs.
« N'en doutez pas, le conflit entre Noirs et Blancs est à l'origine de ce meurtre, soit directement parce que les ultras l'auront commandité, soit en tout cas indirectement, en créant un climat de violence, d'exaspération, un climat tel que la société n'obéit plus aux règles et aux lois. C'est l'histoire qui a failli nous arriver, si nous n'avions pas donné l'indépendance à l'Algérie.
C'est l'histoire de races qui ne peuvent pas s'entendre, et dont chacune craint d'être dominée par l'autre.
Le 26 décembre 2020 à 05:20:57 Esmond3 a écrit :
Aya les [...] pour cacher les passages glissants du général.GdG. — Je n'ai qu'une intuition, et peut-être on ne saura jamais la vérité. Je m'en vais vous dire comment je ressens les choses. C'est bien simple : ce qui est arrivé à Kennedy, c'est ce qui a failli m'arriver. Son histoire, c'est la mienne. Le meurtre du Président des États-Unis à Dallas, c'est ce qui aurait pu se produire quand le Président de la République française se baladait à Alger ou Oran, en 60 ou 61. Ça a l'air d'être une histoire de cow-boys, mais ce n'est qu'une histoire d'OAS. La police est de mèche avec les ultras. Les ultras, en Amérique, c'est le Ku Klux Klan, la Birch Society 4 et toutes ces associations secrètes d'extrême droite. Et là-bas, leurs Arabes, ce sont les Noirs.
« N'en doutez pas, le conflit entre Noirs et Blancs est à l'origine de ce meurtre, soit directement parce que les ultras l'auront commandité, soit en tout cas indirectement, en créant un climat de violence, d'exaspération, un climat tel que la société n'obéit plus aux règles et aux lois. C'est l'histoire qui a failli nous arriver, si nous n'avions pas donné l'indépendance à l'Algérie.
C'est l'histoire de races qui ne peuvent pas s'entendre, et dont chacune craint d'être dominée par l'autre.
Basé
a propos du gars qui a tuer Oswald
La journaliste Dorothy Kilgallen réalise également une interview en Mars 1964 et obtient une copie du témoignage de Ruby devant les représentants de la Commission Warren. Elle souhaite publier un scoop concernant l'assassinat de John F. Kennedy. Toutefois, le 8 Novembre 1965, on la retrouve morte à son domicile.
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Données du topic
- Auteur
- MajorErwin
- Date de création
- 26 décembre 2020 à 04:59:37
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