Je pense, sans me tromper, pouvoir assurer l'assertion suivante;
J'ai jugĂ© votre message avec grande attention, cherchant avec un intĂ©rĂȘt rĂ©el Ă ne pas mĂ©priser votre intellect.
Tout humain que vous ĂȘtes, il me semble cependant que ce projet est vouĂ© Ă rester un vĆux pieux.
Mes lectures rĂ©pĂ©tĂ©s m'ont Ă©corchĂ©es les yeux, les larmes y affluent en mĂȘme temps que le dĂ©sespoir envahit mon cĆur.
De votre message impertinent, je n'en garde qu'un pincement au cĆur, le dĂ©sarroi de ceux confrontĂ©s Ă l'absurditĂ© la plus aberrante de la chos humaine.
Je ne vous cache pas que je vacille, je vois flou, mes mains moites tapotent un clavier qui me parait onduler.
Ces symptĂŽmes, il n'y a aucun doute, me font craindre la syncope imminente .
Camarade, aussi méprisable que vous soyez, libre à vous de vous amuser puérilement;
Camarade, pensez cependant aux intellects qui vous liront, et qui par vos mots, éprouverons incommodités et désarrois, et ne pourront plus jamais atteindre le nirvana.
A présent, je ne pense plus, et la faute revient à la débilité de votre prose, mais j'affirme, sans me tromper, l'assertion suivante;
Plus jamais à cause de vous je ne pourrai atteindre l'ataraxie, car par la présente, tout les malheureux qui vous liront seront touchés par le mal le plus pesant, ci nommé, le
MALAISE.