L’organisme de recherche fait l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions dans lesquelles de dangereux virus ont pu arriver en son sein en octobre 2015, de Corée du Sud. «Manipulation et transport clandestin d’échantillons de virus dangereux, perte de tubes contenant des bactéries potentiellement mortelles, ordinateurs volés pouvant stocker des données confidentielles à risque…», le Parisien liste les chefs d’accusation qui pèsent sur l’Institut Pasteur… L’organisme de recherche fait en effet l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions dans lesquelles de dangereux virus ont pu arriver en son sein en octobre 2015, de Corée du Sud, sans que les autorités sanitaires soient au courant, révèle le quotidien.