[Fiction - Chapitre 2] Le cul de J-Lo et autre curiosités...
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Salut les clés,
Pour ceux qui n'ont pas vu mon topic sur les aventures de Shakira ("Le cul de Shakira et autres curiosités"), je vous invite à cliquer sur ce lien. (Mon topic a été supprimé je ne sais même pas pourquoi, y'avait rien d'hors charte ! Bordel ! )
Bon... je suis obligé de vous mettre le texte en citation:
Je me suis toujours demandé combien de fois les femmes stars font caca par jour. Alors on sait que l'être humain chie au maximum 3 fois par jour, ou bien 2 fois, ou une fois par jour seulement; ou encore chier tous les deux jours, tous les trois jours (légère constipation) voir une fois par semaine ou carrément une fois toutes les deux semaines.
Mais est-ce que quelqu'un sait la vérité ? Regardez par exemple cette sublime créature au cul démentiel 100 % naturel élevé en Colombie: Shakira
Regardez ce putain de cul et imaginez les merdes qui peuvent en sortir. D'un trio de crottes successives jusqu"à un tronc d'arbre mesurant 40 cm de long, Dieu seul sait combien et comment la latina est capable d'évacuer de son anus.
L'avez-vous seulement imaginé ? Sur le trône, après une dure journée de promo pour un nouvel album à tortiller du cul pour les objectifs du monde entier, vous imaginez la quantité de selles prêtes à sortir de leur carcan ? Petites, moyennes, grosses, quelle serait la taille des crottes de la chanteuse ?
Combien de fois journalières se rend-t-elle sur la cuvette, prêt à lâcher une flatulence avant le déluge fécale, l'œuvre ultime du popotin latino le plus productif au monde ?
Imaginez: elle sent que ça vient mais l'étron est énorme, pour cause le repas fut copieux. La crotte divine se montre timidement au fur et à mesure que la chanteuse pousse, mais c'est une telle torture, l'étron est si gros. Elle grimace, gémit de douleur, elle sent bien que celui-là va rester dans la postérité anale, tant elle sent l'énorme matière fécale, produit du mélange poulet/riz si typique des contrées de son pays. Et quand enfin, le supplice touche à sa fin, l'étron, le Monstre fécale, se libère et chute lourdement dans le petit lagon prévu à cet effet. La belle latina avait prédit juste, le monstre est un colosse de 40 cm.
Elle n'en crois pas ses yeux. Son trou de balle gardera longtemps le souvenir d'une telle libération. Elle contemple son oeuvre avec une certaine fierté, le sourire en coin. Les WC empestent l'odeur y est insoutenable, il faudra des mois pour aérer et faire du petit coin un endroit respirable.
Si vous avez lu tout le texte, on passe la seconde.
Chose promise, chose due ! On se retrouve aujourd'hui pour parler du cul d'une star, d'une star mondiale, j'ai nommé Jennifer Lopez.
Combien de fois les stars féminines se rendent-elles à la selle par jour pour déféquer ? Par semaine ? La question demeure sans réponse réelle à mon grand malheur. Nous allons étudier le cas d'une icone moderne, connue autant pour ses rôles au cinéma que pour ses attributs physiques postérieurs.
Tous les amateurs de bonne chaire le savent, nous avons là une sacrée cliente. Une de celles dont on oublie jamais le visage et encore moins les courbes qui vont avec. Car oui, la petite Jenny "from the blocks" Lopez du Bronx a désormais 51 ans ! Et son cul en a vu d'autres.
Elle a nourri les fantasmes de plusieurs générations de couilles bien remplies mais aussitôt vidées de leur substance naturelle spermicide à la vue de leur idole.
Et pour cause, la jolie brune a pris du galon et su se forger un corps d'athlète et une paire incroyable de fesses dont les vents capricieux font parfois référence aux Dieux anciens, Yukiyú et Juracán que les Tainos, peuple amérindien qui occupa l'île de Porto-Rico bien avant les Conquistadores, vénéraient. Chaque émanation de méthane brûlant offrait à ses invités l'occasion de complimenter leur amie de son bon fonctionnement digestif.
Regardez-moi ce cul:
Quelle est la recette de son succès ?
L'étoile latine ne rechigne pas aux efforts quotidiens: alimentation, sport; son régime strict et son activité physique intense lui permet de garder les formes généreuses que Dame Nature lui a donné. Car la Belle, pour garder sa silhouette, mange équilibré, sainement et avec 6 collations par jour. Sa nutritionniste est aux petits soins avec elle. Et les bruits des crottes quotidiennes de la latina lui donnait le sentiment du devoir accompli.
Mais quelle genre de crottes la star latino fait elle ? Quelles formes ont-elles ? Quelle texture ? Imaginez par exemple
des petites crottes dures emmagasinées dans le rectum, en passant par un bronze plus classique, glissant et mou jusqu'au tronc d'arbre mesurant 30 cm, il y a le choix tant notre imagination est sans limite. Contrairement à l'estomac de J-Lo, et vous n'allez pas tarder à la comprendre.
On dit de la star qu'elle est capricieuse voire, odieuse. Certains faits ne jouent guère en sa faveur et aujourd'hui "J-Lo" s'est levé du pied gauche, comme disent les anciens. Ah putain de Dieu, c'est quelque chose. Elle en a gros sur la patate, et elle est sur le point de péter une durite, mais sévère.
Malgré l'échec retentissant de son dernier opus musical, la latina reste très demandée au cinéma. Ainsi, en ce soir à 20 heures heure locale, elle est invité à dîner en compagnie de tout le gratin du septième art dans un célèbre et luxueux établissement de la cité des anges.
Comme à son habitude, durant le chemin, assise à l'arrière d'une belle berline, elle contemple les passants, les gueux et les misérables, à travers les vitres teintées, qui trainassent sur les trottoirs, quelque peu alcoolisés. "Quelle bande d'idiots ! marmonne-t-elle. Après tout qu'ont-ils de mieux à faire que de m'admirer et faire grossir ma fortune ? Si ces ploucs savaient" s'en suivi un petit rire narquois.
Soudain, son sourire se figea, elle sentit son estomac gargouiller: elle avait une faim de loup. Elle qui n'avait pas mangé depuis midi à cause de son emploi du temps surchargé n'en pouvait plus.
Elle harangua, en espagnol, son chauffeur d'aller plus vite: "Vaya, mas rapido, cabron ! Tengo hambre, puta madre !"
Le chauffeur habitué aux railleries et aux humiliations de la diva, leva les yeux au ciel, soupira, et accélérât, malgré une odeur fort désagréable qui lui parvint aux cavités nasales. Lui, le petit dernier d'une famille latino composée de 5 membres dont 4 sœurs cuisinières dans un fast-food mexicain, était habitué à pareille souffrance. Mais l'effluve anale était si odorante que l'homme baissa la vitre afin de sortir la tête du véhicule. Il avait frôlé le malaise et pour cause, quand J-Lo lâche ses caisses, mieux vaut être bien équipé.
Si ils avaient été présents, les anciens combattants du 351 ème régiment d'infanterie de Verdun vous en auraient parlé avec émoi, tant l'odeur leur rappelait l'immonde souffrance du gaz allemand.
On raconte que la soirée se passa fort bien pour la star et que le dîner fut copieux. Crevettes décortiquées marinées à la planche en entrée, Riz basmati à la noix de coco accompagné de son pavé de bœuf de 300 grammes, et pour finir 150 gr. de yaourt grec au sucre de vanille.
La diva, habituée à des petites collations, eu l'estomac bien rempli après 6 heures de mondanités. Se sentant fiévreuse, elle se leva alors que la pendule indiquait 2 heures du matin.
Epuisée, et alourdi par la masse ingurgité, elle titubât tant on l'a crue un peu pompette, bien qu'elle ne but aucune goûte d'alcool. C'est dire si le chef local avait eu la main lourde.
Le mélange culinaire n'en était pourtant qu'à ses prémices alors que Jenny suait quelque peu. Elle épongea quelque peu son front, ferma les yeux un instant avant de se diriger vers la sortie, fit bonne mine et souri à ses acolytes, d'un geste de la main sans s'attarder, préférant serrer le croupion et fuir le plus loin possible afin d'éviter les salutations incommodantes (et malodorantes).
Elle se rendit à l'arrière de sa voiture, s'asseyant sur la banquette, les cernes trahissaient sa fatigue et la lourdeur calorique de sa pitance.
La suite, le chauffeur en eu une connaissance accrue après seulement quelques minutes, tandis que le luxueux véhicule déambulait dans les rues illuminées du Boulevard Wilshire.
La position assise de la chanteuse n'aidait en rien C'est à ce moment là que le derrière de la belle, commença à chanter.
Le début lyrique fut d'abord un bruiement semblable à celui d'un estomac français bien connu chez les avocats de la cinquième république, gâté par l'abondance de saveurs diverses dont les odeurs vinrent des méandres gastriques. Un gargouillement qui annonça l'Horreur.
Un petit barnum intestinal commença, et surpris par le son, le chauffeur remarqua mais n'en fit rien. En pleine souffrance, la star pria Dieu de lui laisser assez de temps pour accéder au petit coin de son immense domicile.
Elle qui fut élevée à l'établissement catholique de Preston High School du Bronx, se rappela au bon souvenir de ses parents de ses classes et nombreuses lectures religieuses.
Il restait 3 kilomètres. Mais ces 3 là résonnèrent en elle, comme un nombre démoniaque tant les Enfers continuaient à harceler son colon afin d'en dégager les effluves les plus rances.
Le chauffeur avait entendu le bruit, mais il n'avait pas encore humé l'émanation insupportable qui régnait en vase clos derrière lui.
Soucieux de son hôte éphémère, il abaissât d'un cm la vitre teintée afin de savoir comment allait la vedette. Ce fut le centimètre de trop pour lui, la puanteur lui parvint si vite aux aux narines qu'il comprit immédiatement l'urgence de la situation. Mais face à un tel parfum venu des ténèbres, le pauvre homme fut prit d'un malaise tandis qu'ils arrivaient enfin aux abords de la demeure. Il fut pris de convulsions tel l'Exorcisme narré dans l'œuvre cinématographique de Carpenter et ne pu s'empêcher de vomir à s'en arracher les tripes, il hurla et perdit connaissance et le contrôle de sa berline, qui alla s'encastrer dans le lampadaire. Jennifer quant à elle, peina à exprimer toute sa désolation au chauffeur inanimé et ouvrit la porte tandis qu'une flatulence de haute volée se libéra de son rectum. Le son dura bien 8 secondes, et même les plus grands poètes latinos n'auraient pas eu le langage des plus correct pour décrire le fumet qui s'échappait alors du carrosse blindé.
La Grande Faucheuse avait déjà saisi son domestique à l'avant, la quinquagénaire se mit à pleurer, consciente de l'atrocité sanitaire mortifère qu'elle causa à une âme innocente, l'étoile latina, se précipitât vers l'entrée. Sa course vers le petit coin en cette nuit calme fut ponctués de petits tintamarres directement venus des profondeurs, tel le message morse envoyé la nuit fatale du Titanic. Le salut de la portoricaine, dont le visage marqué par le maquillage perlant sur les joues, était dans ses mains, matérialisé par une simple clé qui allait enfin lui ouvrir le chemin vers une libération.
Elle ouvra la porte et dans son allure vive, trébuchât alors qu'elle entamait l'avant dernière marche de l'escalier de marbre qui menait à l'étage. Un énième gaz s'échappât, une douleur atroce saisit la chanteuse.
Elle comprenait bien qu'elle allait se souvenir longtemps de cette soirée, mais son supplice ne pris pas encore fin.
La chapitre finale de cette chronique peu ordinaire allait se jouer sur la cuvette. Le ventre gonflé par les mets de l'infidèle repas, elle redressa, entre stupeurs et tremblements sa jupe et baissa sa culotte déjà marquée par les évènements d'une trace de pneu évoquant furtivement le Saint Suaire bien connu des croyants.
Assise sur l'autel, de ses flancs alourdis, le spectacle vu de la lunette, était incroyable.
Jamais au grand jamais on eut vu depuis Adam et Eve un postérieur aussi large, certainement ce qui devait forcément contenir un rectum d'une taille énorme. Dirions-nous d'une taille déjà suffisante pour donner aux selles de la belle, le souvenir d'une Apocalypse selon St Jean qui allait marquer les lieux à tout jamais.
Le riz ayant des vertus constipatoires, le yaourt allait, quant à lui, aussi jouer de son influence sur le résultat de plus de cinq heures de digestion. La Bête qui sommeillait en ses tréfonds rectaux vint alors sonner à la porte.
Le déluge vint alors la libérer.
La première défécation annonçât la couleur. Petite mais costaude, elle résonna dans toute la demeure avec l'écho d'une bête en pleurs implorant le seigneur de toute souffrance.
D'une longueur d'environ 8 cm et d'un diamètre fort conséquent, les suivantes furent du même acabit, une deuxième, une troisième, puis un quatrième coprolithe semblable aux autres se délogea du sphincter.
Si Edward et Estelle Warren avaient été présents ce jour là, ils n'auraient pu raconter l'impensable.
La diva qui fut élevée par ses géniteurs dans la plus pure foi catholique, et dont le corps était l'objet de tous les fantasmes masturbatoires, avait les yeux écarquillés vivant l'incroyable déluge fécale et vit les ténèbres envahir la résidence, couvrant le plafond d'un nuage noir... !
La Croix taillée dans le bois exotique rappelant les paroles tribales de ses ancêtres, était dressée à l'entrée de la maison et se retourna d'un seul coup, la tête du Christ pointée vers le bas (!!!).
Les petits crucifix parsemés ci et là sur les meubles de luxe d'un blanc immaculé se mirent à vaciller, puis tomber les uns après les autres sur le sol marbré de la masure !
La suite fut aussi terrifiante que ragoûtante.
Les yeux révulsés la star senti la peau de son son cul s'écarter violemment et son anus s'ouvrir comme un passage béant vers les Abîmes, laissant un étron gigantesque sortir peu à peu, la bête fécale immonde se dévoila au grand jour. Son allure ne pouvait être que le fruit méphistophélétique des pêchés pour lesquels la star ne fut jamais jugée.
J-Lo tremblait, elle hurla de toute ses forces en latin afin de conjurer le mauvais sort de la laisser, attrapa son crucifix doré à son cou, un tourbillon arriva et dans un grondement, la Crotte ultime quitta son foyer d'antan et termina sa chute au fond, accolée à la céramique.
Les bruits démoniaques cessèrent, le plafond avait retrouvé sa blancheur tandis que Jenny, reprit sa respiration, essoufflée, elle venait d'accoucher d'un animal mort mais dont la création était signé d'un pentagramme. De la fumée légère émanait encore de l'obus.
J-Lo essuya son front suant avec quelques feuilles de torche cul puis fît de même promptement avec sa raie divinement souillée.
Elle se leva enfin, débarrassée de ses tourments gastriques, regarda son "oeuvre" et fut soulagée d'un tel délestement. On pouvait la comprendre aisément, l'objet était d'une taille de 20 centimètres et d'un diamètre avoisinant la quinzaine.
Elle sourit. Elle avait raison ! Car elle pouvait être fière de sa belle grosse merde.
La légende raconte que des chants des Tainos se firent entendre aux alentours de la demeure de la star tandis qu'elle évacua à plusieurs reprises à la chasse d'eau la créature fécale.
La fois prochaine, nous étudierons le cas de Parker McKenna (la petite Kady jadis actrice dans "Ma famille d'abord"), dont le cul, encore peu médiatisé, était énorme et sujet à de nombreuses histoires annales aussi riches que fascinantes.
PHOTO !!!
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Données du topic
- Auteur
- Demici8
- Date de création
- 24 décembre 2020 à 03:21:24
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