Ce mélange infecte de liquide séminal prépubère d'adolescent négligé malgré leur trentaine en toute absence de testostérone, de smegma séché sur leur coin de bureau, de nourriture moisie et de petits pets d'excitation qu'ils lâchent en banissant quelqu'un
L'odeur de la lâcheté, du renfermé, de leur blanchâtre peau qui pelle en l'absence de lumière du jour, de masturbation quotidienne - que dis-je - horaire, oui, c'est l'odeur de leur semence qui se dépose sur leur ventre bombé par la malbouffe et l'absence de sport, cette semence infertile qui emplit leur nombril, centre de leur monde, une semence qui en l'absence d'hygiène et de lavage forme des strates, et coule le long de leur abominable pénis - qui ne connaîtra jamais la chaleur d'un vagin - jusqu'à former des stalactites de spermes dont on dit qu'ils se nourrissent parfois
Une forme à peine humaine, ventripotente et recourbée, bigleuse et boutonneuse, à l'image de leur odeur qui s'en échappe, à en faire vomir Geralt de Rive, un physique aussi vil que leur âme et tout ce qui en émane 
L'odeur des admins putain