Paris Descartes CHARNIER HUMAIN en plein PARIS SWEET
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
c'est juste de la chair du sang du gras et de l'eau mais niveau sanitaire c'est surtout ca le problème. Le plus gros problème c'est qu'au même étage y'avais l'ufr Math Info où t'as rien aucune protection contre les maladies la saleté etc ..
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494
Putain le coup de la salle de repos au milieu des cadavres et le mégot retrouvé dans les viscères, c'est horrible mais je pleure de rire en imaginant les mecs taper leurs pauses cafés-clopes en utilisant le bide ouvert d'un cadavre comme cendrier
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
Le 08 octobre 2020 à 01:11:30 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
c'est juste de la chair du sang du gras et de l'eau mais niveau sanitaire c'est surtout ca le problème. Le plus gros problème c'est qu'au même étage y'avais l'ufr Math Info où t'as rien aucune protection contre les maladies la saleté etc ..
"C'est juste" t'es pas sérieux mec ...
Le 08 octobre 2020 à 01:11:32 Dusha a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Putain le coup de la salle de repos au milieu des cadavres et le mégot retrouvé dans les viscères, c'est horrible mais je pleure de rire en imaginant les mecs taper leurs pauses cafés-clopes en utilisant le bide ouvert d'un cadavre comme cendrier
Imagine c'est un proche à toi AHAHAH trop drôle
Le 08 octobre 2020 à 01:13:02 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
mouche non rat oui. pleins ... mais c'étais dans tout les bâtiment les rats. Le pire truc que j'ai vus c'est le déchargement de la bouffe de la cafet dans le même local que la réception des corps ...
Le 08 octobre 2020 à 01:14:13 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:13:02 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
mouche non rat oui. pleins ... mais c'étais dans tout les bâtiment les rats. Le pire truc que j'ai vus c'est le déchargement de la bouffe de la cafet dans le même local que la réception des corps ...
Mais cadavre en décomposition = mouche à foisons non ?
Le 08 octobre 2020 à 01:13:41 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:30 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
c'est juste de la chair du sang du gras et de l'eau mais niveau sanitaire c'est surtout ca le problème. Le plus gros problème c'est qu'au même étage y'avais l'ufr Math Info où t'as rien aucune protection contre les maladies la saleté etc ..
"C'est juste" t'es pas sérieux mec ...
bah euh si. le truc il va pas se relevé et te hanté ou je sais pas quoi. sa pue et c'est bourré de maladie ca oui c'est problématique
Le 08 octobre 2020 à 01:13:02 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
Dominique Hordé détaille l’ignominie : « En mai 2016, une grosse panne des réfrigérateurs a duré une dizaine de jours. Il faisait 14 °C dans les chambres froides, contre les 4 °C maximum requis. Les frigos datant de l’inauguration, en 1953, étaient déjà tombés en panne avant mon arrivée. On réparait, mais rien n’était fait pour anticiper. Notre société de maintenance ayant refusé d’intervenir, il m’a fallu en trouver une autre, de toute urgence. Conséquences : une décomposition accélérée, la prolifération de mouches avec ponte d’œufs et, donc, des vers. Beaucoup de corps n’ont pas pu être mis à disposition pour la dissection et sont partis directement au Père-Lachaise. Cet épisode a été un traumatisme. » Précisons que, à cette date, aucun des espaces de dissection et de conservation n’était climatisé ni même ventilé.
Le 08 octobre 2020 à 01:14:47 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:14:13 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:13:02 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
mouche non rat oui. pleins ... mais c'étais dans tout les bâtiment les rats. Le pire truc que j'ai vus c'est le déchargement de la bouffe de la cafet dans le même local que la réception des corps ...
Mais cadavre en décomposition = mouche à foisons non ?
non car traité par un produit anti mouche qui pue sa race. mais ca protège pas des rats
Le 08 octobre 2020 à 01:16:00 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:14:47 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:14:13 Kehk a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:13:02 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:21 fromaetondebite a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:10:01 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Je comprend pas, on est plus en 1800 PUTAIN .... SI ?
MAIS BOOOOOORDEL JE COMPREND PAS
Je suis choqué mais hard PUTAIN
L'enfer est ici je vous le dis .
En juin 2017, deux préparateurs viennent trouver Dominique Hordé : ils refusent de nettoyer la salle après un cours de dissection. Elle y découvre « une véritable boucherie »
Dominique Hordé n’arrive pas à se défaire de ces images macabres : têtes inutilisables, en décomposition, comme l’attestent plusieurs séries de photos. « Quand on ouvrait la première chambre froide, on tombait immanquablement dessus, se souvient-elle. J’ai également constaté des moisissures sur des corps embaumés, desséchés, que les préparateurs refusaient de faire partir à l’incinération.
Mais genre bordel y'à pas une invasion de mouche ?
mouche non rat oui. pleins ... mais c'étais dans tout les bâtiment les rats. Le pire truc que j'ai vus c'est le déchargement de la bouffe de la cafet dans le même local que la réception des corps ...
Mais cadavre en décomposition = mouche à foisons non ?
non car traité par un produit anti mouche qui pue sa race. mais ca protège pas des rats
Rats normal y'en a partout a paris donc bon
Le 08 octobre 2020 à 01:15:21 RalfDuVeldeeve a écrit :
Ce topic d'utilité publique, putain.Les gars, si on ne remplit pas le formulaire dédié au don d'organes, est-ce qu'on peut potentiellement voir sa bite finir sur le front de Patrick de Paris Descartes qui aura cru bon de se déguiser en licorne pour faire rire les collègues?
Le chef de service aura réservé cette partie du corps pour son colier de bites
En 2005, ma cousine a du faire plusieurs séance de dissection pour devenir chirugienne. Elle est passée par Descartes.
Et c'etait déjà comme ça à l'époque
Elle y allait avec une blouse, elle mettait des habits dégueulasse car l'odeur de la mort s'imprègne partout. Même après plusieurs douche. ça reste dans le nez apparement
Plusieurs de ses amis avaient un baume, mais ça marchait pas hyper bien. Du coup l'un d'entreeux à eu l'idée de mettre un masque chirurgical avec une gaze imprégnée de 3-4 gouttes d'essence
Le 08 octobre 2020 à 01:14:08 Palewaves a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:11:32 Dusha a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 01:05:52 fromaetondebite a écrit :
Putain cette article, ca se passe en France en 2020Quelques jours plus tard, le professeur Douard m’a demandé de prendre des photos. Il souhaitait, avec Brigitte Mauroy, présidente du comité d’éthique du CDC et directrice du Centre du don des corps de Lille, les présenter au président de l’université, Frédéric Dardel, afin de relancer les travaux promis depuis des années. J’ai découvert qu’un congélateur de 9 mètres carrés était rempli de têtes, de bras et de jambes congelés dans une accumulation inextricable. Pour y accéder, les préparateurs devaient marcher sur des morceaux de corps. C’était inimaginable et j’ai parlé de charnier. Tout de suite me sont venues les images des camps de concentration. Un habitué nous a révélé qu’il fallait, après une journée à Descartes, prendre un long bain : même quand on a porté des gants, le lavage des mains ne suffit pas à enlever l’odeur persistante de la mort. Sa solution pour oublier : le whisky. Il n’est pas le seul. C’est même un souci dans l’équipe des préparateurs. Dominique Hordé confirme : « Il y avait des problèmes d’alcool chez certains, et les conditions de travail y ont largement contribué. On m’a aussi rapporté que, pour obtenir des corps en bon état, les médecins et les enseignants leur offraient des bouteilles. » Ou de l’argent, assurent plusieurs chirurgiens coutumiers du fait. Les conditions de travail sont tellement atroces qu’un ancien dirigeant de l’université nous dira : « C’était Zola , période “Germinal” . » La mine au milieu des beaux quartiers de Paris, à deux pas du jardin du Luxembourg et du Sénat. Les préparateurs découpent les corps à même le couloir ou dans les chambres froides. Leur salle de repos est située au milieu des espaces de dissection. En 2012, une médecin du travail avait déjà noté avoir retrouvé « un mégot dans les viscères d’un sujet ». Les sols sont souillés ; Dominique Hordé assure qu’ils n’ont pas été décontaminés depuis une vingtaine d’années. Un ancien du CDC acquiesce : « Il était impossible de nettoyer à grande eau, sinon il y avait des fuites au quatrième avec des fluides humains. Au risque de provoquer des taches au plafond ! C’est déjà arrivé Les canalisations sont bouchées par des restes de chair, de viscères, que les agents de l’université évacuent à la main. Un jour, la médecin de prévention reçoit un appel d’un confrère libéral, sceptique. Son patient, préparateur à Descartes, vient de lui rapporter des récits abracadabrants. Elle lui répond : « Hélas, tout est vrai. » « Je ne sais pas si l’on peut parler de folie chez les préparateurs, reprend l’ancienne secrétaire générale. Mais de violence et de souffrance, assurément. En janvier 2018, une dispute avait éclaté dans l’équipe. L’un d’eux m’a raconté avoir été menacé d’être “égorgé” par un autre. A la suite de cette altercation, j’ai fait un signalement à la direction de l’université et déposé une main courante, par peur de représailles. » Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de croiser dans la cour de l’université des préparateurs en train de fumer, vêtus de leurs tabliers tachés de sang.
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Charnier-de-Descartes-le-recit-exclusif-de-la-lanceuse-d-alerte-1705494Putain le coup de la salle de repos au milieu des cadavres et le mégot retrouvé dans les viscères, c'est horrible mais je pleure de rire en imaginant les mecs taper leurs pauses cafés-clopes en utilisant le bide ouvert d'un cadavre comme cendrier
Imagine c'est un proche à toi AHAHAH trop drôle
T'as vu Lyon-PSG ? Beau match hein
Ouais ouais mais le carton rouge c'était abusé je trouve... Merde il est où le cendrier ?
Données du topic
- Auteur
- BARRELIVEs
- Date de création
- 7 octobre 2020 à 23:18:08
- Nb. messages archivés
- 623
- Nb. messages JVC
- 619