TEMOIGNAGE d'un soldat de VERDUN !!!
Témoignage de l'aide-major Emile POITEAU :
" Les pansements maculés qu'on jetait à terre et dont on n'avait pas le temps de se débarrasser, avaient fini par s'accumuler sur le sol et faisaient aux pieds comme un épais tapis dans lequel on s'enfonçait jusqu'aux chevilles…
Parmi les grands blessés, parmi ceux qui allaient mourir, les uns demandaient leur mère, comme des enfants qui ont besoin d'être dorlotés, rassurés… D'autres réclamaient à boire éperdument… D'autres, impatients de vivre et se sentant abandonnés par la vie, se lamentaient de rage et de désespoir.
On amène un artilleur affreusement mutilé. Ses plaies sont horribles ; il est exsangue, son visage est blanc comme du marbre. Il a les jambes broyées. Elles ne tiennent plus que par miracle par quelques lambeaux de chairs et de muscles. Il saigne adorablement.
Pendant qu'on lui fait une piqûre de morphine, le médecin examine le dégât…
Les os broyés soutiennent mal les chairs, arrachées. Rigides et dressées de tous côtés, les esquilles tiennent des lambeaux de chair qui pendent lamentablement et sur lesquels sont collés des morceaux d'étoffes, des débris de caleçon et de pantalon…
C'est un broiement, un déchiquetage… Et comme on s'apprête à faire un pansement, comme on remue un peu - oh ! légèrement, avec d'infinies précautions - d'une des jambes meurtries, un caillot se détache et (comme si on avait retiré subitement la bonde d'un tonneau d'arrosage), un énorme jet de sang pisse sur le major…
Le pauvre bougre pousse un Ah ! plaintif et rend le dernier soupir, là, tout d'un coup, sans qu'on ai eu le temps de s'y attendre, de s'en apercevoir presque.
Nouveau brouhaha vers l'entrée.
C'est un blessé, la poitrine percée de balles comme un écumoire, et qui vomit le sang à flots. Pansements, piqûres de morfines et d'éther. On l'emporte.
Alors, avec des yeux effrayant, en passant devant le major :
- Est-ce que j'en reviendrai ? Pensez-vous ?
- Mais bien sûr, mon petit, que tu en reviendras ! On ne meurt par pour avoir crachés du sang !…
C'est assurément un mensonge en ce cas. Mais c'est un aumône aussi…
En entendant ça, le petit blessé fait : Ah ! et son œil lance un éclair de joie : Alors, je les reverrai ?
Et vite, il explique :
- C'est que, voyer-vous, j'ai deux petits enfants… Deux et quatre ans… Et ma femme est morte… Il faut que je vive pour eux !…
Touché jusqu'aux larmes, estimant qu'il devait mentir carrément, le médecin affirme :
- Mais bien sûr, bien sûr, que tu les reverras ! je n'ai jamais vu mourir pour un cas pareil… Ainsi, tu vois que tu peux être tranquille !…
Alors le moribond tend au major sa pauvre main déjà pâle comme la main d'un cadavre. Et, comme on l'emporte vers les autos, le médecin reste là, ému, suivant des yeux le brancard qui s'éloigne.
Un blessé dit :
- C'est triste, hein ! M'sieu l'major ?
Et celui-ci répond en branlant la tête :
- Ah ! c'est que j'en ai deux comme lui, moi aussi…"
Le 03 octobre 2020 à 01:43:18 Nicholsonjvc a écrit :
"J'en ai marre d'être full puceau j'ai pas de meuf la vie en France en 2020 la pire possible "
Voilà ce genre de topic qui pullulent sur ce forum et après ça se plaint de la boucle
Le 03 octobre 2020 à 01:45:51 NOMOREBAN3 a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:43:18 Nicholsonjvc a écrit :
"J'en ai marre d'être full puceau j'ai pas de meuf la vie en France en 2020 la pire possible "Voilà ce genre de topic qui pullulent sur ce forum et après ça se plaint de la boucle
Ces mecs là sont complètement paumés et irrécupérables. Ils sont voués à une vie abominable.
Leur existence se résume à bouffer, dormir, et imaginer qu'ils baisent/se plaindre sur internet qu'ils ne baisent pas.
Pendant ce temps il y a 100 ans tous les hommes du pays étaient en train de mourir sous une pluie d'obus dans la boue au nom de la défense d'un idéal
Le 03 octobre 2020 à 01:46:19 puceaudechet10 a écrit :
Déjà lu celui là ça prends aux tripes, d'ailleurs en y pensant j'ai jamais lu de temoignage côté allemand sur Verdun, ni comment ce fut vécu de l'autre côté du no mans land
Du côté allemand c'était pire, car les allemands étaient loin de chez eux, et avaient encore + l'impression de mourir pour rien. (au moins les français mourraient pour défendre leur terre).
Le 03 octobre 2020 à 01:46:19 puceaudechet10 a écrit :
Déjà lu celui là ça prends aux tripes, d'ailleurs en y pensant j'ai jamais lu de temoignage côté allemand sur Verdun, ni comment ce fut vécu de l'autre côté du no mans land
C'est vrai que ça serait intéressant de connaître le ressenti du côté allemand je vais me renseigner là dessus.
Le 03 octobre 2020 à 01:49:02 VENIVIDIVICl a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:46:19 puceaudechet10 a écrit :
Déjà lu celui là ça prends aux tripes, d'ailleurs en y pensant j'ai jamais lu de temoignage côté allemand sur Verdun, ni comment ce fut vécu de l'autre côté du no mans landDu côté allemand c'était pire, car les allemands étaient loin de chez eux, et avaient encore + l'impression de mourir pour rien. (au moins les français mourraient pour défendre leur terre).
En effet ia le moral était très bas chez les Allemands, ia qu'à voir la différence entre les chants:
Côté France: https://youtu.be/2-JogJ7UQHE
Côté allemand : https://youtu.be/Xi_vwyPRxOI
Le 03 octobre 2020 à 01:30:20 NOMOREBAN3 a écrit :
Témoignage de l'aide-major Emile POITEAU :" Les pansements maculés qu'on jetait à terre et dont on n'avait pas le temps de se débarrasser, avaient fini par s'accumuler sur le sol et faisaient aux pieds comme un épais tapis dans lequel on s'enfonçait jusqu'aux chevilles…
Parmi les grands blessés, parmi ceux qui allaient mourir, les uns demandaient leur mère, comme des enfants qui ont besoin d'être dorlotés, rassurés… D'autres réclamaient à boire éperdument… D'autres, impatients de vivre et se sentant abandonnés par la vie, se lamentaient de rage et de désespoir.
On amène un artilleur affreusement mutilé. Ses plaies sont horribles ; il est exsangue, son visage est blanc comme du marbre. Il a les jambes broyées. Elles ne tiennent plus que par miracle par quelques lambeaux de chairs et de muscles. Il saigne adorablement.
Pendant qu'on lui fait une piqûre de morphine, le médecin examine le dégât…
Les os broyés soutiennent mal les chairs, arrachées. Rigides et dressées de tous côtés, les esquilles tiennent des lambeaux de chair qui pendent lamentablement et sur lesquels sont collés des morceaux d'étoffes, des débris de caleçon et de pantalon…
C'est un broiement, un déchiquetage… Et comme on s'apprête à faire un pansement, comme on remue un peu - oh ! légèrement, avec d'infinies précautions - d'une des jambes meurtries, un caillot se détache et (comme si on avait retiré subitement la bonde d'un tonneau d'arrosage), un énorme jet de sang pisse sur le major…
Le pauvre bougre pousse un Ah ! plaintif et rend le dernier soupir, là, tout d'un coup, sans qu'on ai eu le temps de s'y attendre, de s'en apercevoir presque.
Nouveau brouhaha vers l'entrée.
C'est un blessé, la poitrine percée de balles comme un écumoire, et qui vomit le sang à flots. Pansements, piqûres de morfines et d'éther. On l'emporte.
Alors, avec des yeux effrayant, en passant devant le major :
- Est-ce que j'en reviendrai ? Pensez-vous ?
- Mais bien sûr, mon petit, que tu en reviendras ! On ne meurt par pour avoir crachés du sang !…
C'est assurément un mensonge en ce cas. Mais c'est un aumône aussi…
En entendant ça, le petit blessé fait : Ah ! et son œil lance un éclair de joie : Alors, je les reverrai ?
Et vite, il explique :
- C'est que, voyer-vous, j'ai deux petits enfants… Deux et quatre ans… Et ma femme est morte… Il faut que je vive pour eux !…
Touché jusqu'aux larmes, estimant qu'il devait mentir carrément, le médecin affirme :
- Mais bien sûr, bien sûr, que tu les reverras ! je n'ai jamais vu mourir pour un cas pareil… Ainsi, tu vois que tu peux être tranquille !…
Alors le moribond tend au major sa pauvre main déjà pâle comme la main d'un cadavre. Et, comme on l'emporte vers les autos, le médecin reste là, ému, suivant des yeux le brancard qui s'éloigne.
Un blessé dit :
- C'est triste, hein ! M'sieu l'major ?
Et celui-ci répond en branlant la tête :
- Ah ! c'est que j'en ai deux comme lui, moi aussi…"
Immense respect a ces hommes qui se sont battus pour qu'on ait un avenir a peu près correct. Je prierais Dieu pour que leur place au paradis reste assurée.
Le 03 octobre 2020 à 01:48:07 Nicholsonjvc a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:45:51 NOMOREBAN3 a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:43:18 Nicholsonjvc a écrit :
"J'en ai marre d'être full puceau j'ai pas de meuf la vie en France en 2020 la pire possible "Voilà ce genre de topic qui pullulent sur ce forum et après ça se plaint de la boucle
Ces mecs là sont complètement paumés et irrécupérables. Ils sont voués à une vie abominable.
Leur existence se résume à bouffer, dormir, et imaginer qu'ils baisent/se plaindre sur internet qu'ils ne baisent pas.
Pendant ce temps il y a 100 ans tous les hommes du pays étaient en train de mourir sous une pluie d'obus dans la boue au nom de la défense d'un idéal
Toujours est il que tu demandes aux poilus en 1917 le choix entre ce qu'ils ont vécus et notre existence pathétique comme tu dis.
Ils choisiront vite comme nous.
Être un poilu. Défendre un pays qui tue ses propres hommes. Un pays avec un État major d'incapables.
L'homme chair à canon pour des tactiques eculées depuis cinquante ans.
Je respecte leur abnégation mais je ne respecte pas cette guerre
Le 03 octobre 2020 à 01:30:20 NOMOREBAN3 a écrit :
Témoignage de l'aide-major Emile POITEAU :" Les pansements maculés qu'on jetait à terre et dont on n'avait pas le temps de se débarrasser, avaient fini par s'accumuler sur le sol et faisaient aux pieds comme un épais tapis dans lequel on s'enfonçait jusqu'aux chevilles…
Parmi les grands blessés, parmi ceux qui allaient mourir, les uns demandaient leur mère, comme des enfants qui ont besoin d'être dorlotés, rassurés… D'autres réclamaient à boire éperdument… D'autres, impatients de vivre et se sentant abandonnés par la vie, se lamentaient de rage et de désespoir.
On amène un artilleur affreusement mutilé. Ses plaies sont horribles ; il est exsangue, son visage est blanc comme du marbre. Il a les jambes broyées. Elles ne tiennent plus que par miracle par quelques lambeaux de chairs et de muscles. Il saigne adorablement.
Pendant qu'on lui fait une piqûre de morphine, le médecin examine le dégât…
Les os broyés soutiennent mal les chairs, arrachées. Rigides et dressées de tous côtés, les esquilles tiennent des lambeaux de chair qui pendent lamentablement et sur lesquels sont collés des morceaux d'étoffes, des débris de caleçon et de pantalon…
C'est un broiement, un déchiquetage… Et comme on s'apprête à faire un pansement, comme on remue un peu - oh ! légèrement, avec d'infinies précautions - d'une des jambes meurtries, un caillot se détache et (comme si on avait retiré subitement la bonde d'un tonneau d'arrosage), un énorme jet de sang pisse sur le major…
Le pauvre bougre pousse un Ah ! plaintif et rend le dernier soupir, là, tout d'un coup, sans qu'on ai eu le temps de s'y attendre, de s'en apercevoir presque.
Nouveau brouhaha vers l'entrée.
C'est un blessé, la poitrine percée de balles comme un écumoire, et qui vomit le sang à flots. Pansements, piqûres de morfines et d'éther. On l'emporte.
Alors, avec des yeux effrayant, en passant devant le major :
- Est-ce que j'en reviendrai ? Pensez-vous ?
- Mais bien sûr, mon petit, que tu en reviendras ! On ne meurt par pour avoir crachés du sang !…
C'est assurément un mensonge en ce cas. Mais c'est un aumône aussi…
En entendant ça, le petit blessé fait : Ah ! et son œil lance un éclair de joie : Alors, je les reverrai ?
Et vite, il explique :
- C'est que, voyer-vous, j'ai deux petits enfants… Deux et quatre ans… Et ma femme est morte… Il faut que je vive pour eux !…
Touché jusqu'aux larmes, estimant qu'il devait mentir carrément, le médecin affirme :
- Mais bien sûr, bien sûr, que tu les reverras ! je n'ai jamais vu mourir pour un cas pareil… Ainsi, tu vois que tu peux être tranquille !…
Alors le moribond tend au major sa pauvre main déjà pâle comme la main d'un cadavre. Et, comme on l'emporte vers les autos, le médecin reste là, ému, suivant des yeux le brancard qui s'éloigne.
Un blessé dit :
- C'est triste, hein ! M'sieu l'major ?
Et celui-ci répond en branlant la tête :
- Ah ! c'est que j'en ai deux comme lui, moi aussi…"
Tu as trouvé ce témoignage où ?
Le 03 octobre 2020 à 02:02:03 deromirr a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:48:07 Nicholsonjvc a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:45:51 NOMOREBAN3 a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:43:18 Nicholsonjvc a écrit :
"J'en ai marre d'être full puceau j'ai pas de meuf la vie en France en 2020 la pire possible "Voilà ce genre de topic qui pullulent sur ce forum et après ça se plaint de la boucle
Ces mecs là sont complètement paumés et irrécupérables. Ils sont voués à une vie abominable.
Leur existence se résume à bouffer, dormir, et imaginer qu'ils baisent/se plaindre sur internet qu'ils ne baisent pas.
Pendant ce temps il y a 100 ans tous les hommes du pays étaient en train de mourir sous une pluie d'obus dans la boue au nom de la défense d'un idéal
Toujours est il que tu demandes aux poilus en 1917 le choix entre ce qu'ils ont vécus et notre existence pathétique comme tu dis.
Ils choisiront vite comme nous.
Être un poilu. Défendre un pays qui tue ses propres hommes. Un pays avec un État major d'incapables.
L'homme chair à canon pour des tactiques eculées depuis cinquante ans.Je respecte leur abnégation mais je ne respecte pas cette guerre
C'est le cas pour toutes les guerres et dans chaques pays célestin a la différence que pour cette guerre les poilus eux défendaient leurs terres et leurs pays contre un ennemi qui a adopter une tactique agressive dès le début de la bataille pour prendre le plus rapidement possible Verdun ( plus de 50.millions d'obus balancés en seulement 10 mois) rien que pour ça ces hommes méritent tous notre respect
Le 03 octobre 2020 à 02:05:07 Marlouuuu a écrit :
Le 03 octobre 2020 à 01:30:20 NOMOREBAN3 a écrit :
Témoignage de l'aide-major Emile POITEAU :" Les pansements maculés qu'on jetait à terre et dont on n'avait pas le temps de se débarrasser, avaient fini par s'accumuler sur le sol et faisaient aux pieds comme un épais tapis dans lequel on s'enfonçait jusqu'aux chevilles…
Parmi les grands blessés, parmi ceux qui allaient mourir, les uns demandaient leur mère, comme des enfants qui ont besoin d'être dorlotés, rassurés… D'autres réclamaient à boire éperdument… D'autres, impatients de vivre et se sentant abandonnés par la vie, se lamentaient de rage et de désespoir.
On amène un artilleur affreusement mutilé. Ses plaies sont horribles ; il est exsangue, son visage est blanc comme du marbre. Il a les jambes broyées. Elles ne tiennent plus que par miracle par quelques lambeaux de chairs et de muscles. Il saigne adorablement.
Pendant qu'on lui fait une piqûre de morphine, le médecin examine le dégât…
Les os broyés soutiennent mal les chairs, arrachées. Rigides et dressées de tous côtés, les esquilles tiennent des lambeaux de chair qui pendent lamentablement et sur lesquels sont collés des morceaux d'étoffes, des débris de caleçon et de pantalon…
C'est un broiement, un déchiquetage… Et comme on s'apprête à faire un pansement, comme on remue un peu - oh ! légèrement, avec d'infinies précautions - d'une des jambes meurtries, un caillot se détache et (comme si on avait retiré subitement la bonde d'un tonneau d'arrosage), un énorme jet de sang pisse sur le major…
Le pauvre bougre pousse un Ah ! plaintif et rend le dernier soupir, là, tout d'un coup, sans qu'on ai eu le temps de s'y attendre, de s'en apercevoir presque.
Nouveau brouhaha vers l'entrée.
C'est un blessé, la poitrine percée de balles comme un écumoire, et qui vomit le sang à flots. Pansements, piqûres de morfines et d'éther. On l'emporte.
Alors, avec des yeux effrayant, en passant devant le major :
- Est-ce que j'en reviendrai ? Pensez-vous ?
- Mais bien sûr, mon petit, que tu en reviendras ! On ne meurt par pour avoir crachés du sang !…
C'est assurément un mensonge en ce cas. Mais c'est un aumône aussi…
En entendant ça, le petit blessé fait : Ah ! et son œil lance un éclair de joie : Alors, je les reverrai ?
Et vite, il explique :
- C'est que, voyer-vous, j'ai deux petits enfants… Deux et quatre ans… Et ma femme est morte… Il faut que je vive pour eux !…
Touché jusqu'aux larmes, estimant qu'il devait mentir carrément, le médecin affirme :
- Mais bien sûr, bien sûr, que tu les reverras ! je n'ai jamais vu mourir pour un cas pareil… Ainsi, tu vois que tu peux être tranquille !…
Alors le moribond tend au major sa pauvre main déjà pâle comme la main d'un cadavre. Et, comme on l'emporte vers les autos, le médecin reste là, ému, suivant des yeux le brancard qui s'éloigne.
Un blessé dit :
- C'est triste, hein ! M'sieu l'major ?
Et celui-ci répond en branlant la tête :
- Ah ! c'est que j'en ai deux comme lui, moi aussi…"Tu as trouvé ce témoignage où ?
Données du topic
- Auteur
- NOMOREBAN3
- Date de création
- 3 octobre 2020 à 01:30:20
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