[Adrien] Son ex vient de l'achever
Supprimé[08:07:31] <Krasnyy>
Le 12 mai 2020 à 08:05:42 Kira01 a écrit :
J'ai l'impression avec la story d'Arien de voir la vidéo de maitre Yoda mais en négatif. Les punchlines parfait pour les fragilesputain j’ai pensé à la même chose
«Je lui dis Maeva ENFANTS ENFANTS MAEVA et elle part prendre la voiture en laissant les gosses à la maison pour aller me cuck, voilà où juste que c’est allé, juste que là les amis»
Toutes les queues du monde ne suffiraient pas à combler le vide intergalactique qui sépare les deux oreilles de cette traînée de Maeva.
Il n'y a pas un seul instant où elle se dit « Pourquoi suis-je ici ? Quel est le rôle d’une mère ? Pourquoi je fais tout ça ? Est-ce cela que mes ancêtres voulaient pour leur descendance ? Que penseraient-ils de moi ? Que dirais-je à mes enfants s'ils faisaient comme moi ? », et même une fulgurance post coitum ne peut toucher cet animal mortepermanent.
Non, la seule, l'unique question que se pose cette chienne revenue à un stade primitif de l'évolution, c'est « Quel est le meilleur mâle reproducteur que je puisse trouver pour ce soir ? », non pas afin de se reproduire, là est tout le paradoxe, mais dans une démarche stérile de cuve à foutre à la recherche de couilles à vidanger, afin de maintenir un niveau suffisant de dopamine dans sa cervelle de chienne pour oublier la vacuité de sa vanité et l'inutilité de son existence — « Tu t'entêtes à te foutre de tout. Mais pourvu qu'elles soient grosses. » dirait son philosophe fétiche.
Toute tentative de sauvetage est d'emblée vouée à l'échec, toute âme magnanime ou miséricordieuse venant à son aide serait immédiatement taxée de frustration, de puritanisme moyenâgeux, voire de jalousie, c'est un cas désespéré : cancer généralisé de la pensée, métastasé au dernier degré, mort cérébrale imminente, théologiens et philosophes ne peuvent plus rien pour elle.
Une électrode dans le cerveau qui stimulerait continuellement ses récepteurs cérébraux de plaisir reviendrait strictement au même, et parviendrait à simuler dans son propre référentiel le destin auquel elle a toujours aspiré : elle terminerait ses jours nue, seule, par terre, les sphincters du vagin et de l'anus fatigués par leurs perpétuelles contractions, affalée sur un sol jonché d'un mélange pestilentiel de cyprine, d'urine et de fèces, formant une flaque dans laquelle se refléterait le visage refait et vide d'intelligence de cette erreur de la nature.
Ainsi, ce s'élargit d'heure en heure au rythme effréné de ses coïts, à l'instar de ses orifices dilatés même pendant les heures creuses.
« Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. » écrivait Nietzsche, et soudain j'imagine la créature atroce et misérable qui m'observe avec ses grands yeux noirs du fond de cette grotte sans paroi pareille à une nuit sans étoile, et mon regard erratique perturbe par sa présence la quiétude malsaine de cet antre si profond et si vide que les hurlements de la bête y demeurent sans écho.
Le silence éternel de cet espace infini m'effraie.
J'ai le vertige.
https://youtu.be/XfRJhHpDQCA?t=838
Je comprends mieux maintenant l'adresse de l'appartement maintenant
Adrien au RSA qui troll les esclaves sur le forum à 7h
Le 12 mai 2020 à 09:11:58 ShekHeilMaleh a écrit :
Toutes les queues du monde ne suffiraient pas à combler le vide intergalactique qui sépare les deux oreilles de cette traînée de Maeva.
Il n'y a pas un seul instant où elle se dit « Pourquoi suis-je ici ? Quel est le rôle d’une mère ? Pourquoi je fais tout ça ? Est-ce cela que mes ancêtres voulaient pour leur descendance ? Que penseraient-ils de moi ? Que dirais-je à mes enfants s'ils faisaient comme moi ? », et même une fulgurance post coitum ne peut toucher cet animal mortepermanent.Non, la seule, l'unique question que se pose cette chienne revenue à un stade primitif de l'évolution, c'est « Quel est le meilleur mâle reproducteur que je puisse trouver pour ce soir ? », non pas afin de se reproduire, là est tout le paradoxe, mais dans une démarche stérile de cuve à foutre à la recherche de couilles à vidanger, afin de maintenir un niveau suffisant de dopamine dans sa cervelle de chienne pour oublier la vacuité de sa vanité et l'inutilité de son existence — « Tu t'entêtes à te foutre de tout. Mais pourvu qu'elles soient grosses. » dirait son philosophe fétiche.
Toute tentative de sauvetage est d'emblée vouée à l'échec, toute âme magnanime ou miséricordieuse venant à son aide serait immédiatement taxée de frustration, de puritanisme moyenâgeux, voire de jalousie, c'est un cas désespéré : cancer généralisé de la pensée, métastasé au dernier degré, mort cérébrale imminente, théologiens et philosophes ne peuvent plus rien pour elle.
Une électrode dans le cerveau qui stimulerait continuellement ses récepteurs cérébraux de plaisir reviendrait strictement au même, et parviendrait à simuler dans son propre référentiel le destin auquel elle a toujours aspiré : elle terminerait ses jours nue, seule, par terre, les sphincters du vagin et de l'anus fatigués par leurs perpétuelles contractions, affalée sur un sol jonché d'un mélange pestilentiel de cyprine, d'urine et de fèces, formant une flaque dans laquelle se refléterait le visage refait et vide d'intelligence de cette erreur de la nature.
Ainsi, ce s'élargit d'heure en heure au rythme effréné de ses coïts, à l'instar de ses orifices dilatés même pendant les heures creuses.
« Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. » écrivait Nietzsche, et soudain j'imagine la créature atroce et misérable qui m'observe avec ses grands yeux noirs du fond de cette grotte sans paroi pareille à une nuit sans étoile, et mon regard erratique perturbe par sa présence la quiétude malsaine de cet antre si profond et si vide que les hurlements de la bête y demeurent sans écho.Le silence éternel de cet espace infini m'effraie.
J'ai le vertige.
Mais
Le 12 mai 2020 à 09:11:58 ShekHeilMaleh a écrit :
Toutes les queues du monde ne suffiraient pas à combler le vide intergalactique qui sépare les deux oreilles de cette traînée de Maeva.
Il n'y a pas un seul instant où elle se dit « Pourquoi suis-je ici ? Quel est le rôle d’une mère ? Pourquoi je fais tout ça ? Est-ce cela que mes ancêtres voulaient pour leur descendance ? Que penseraient-ils de moi ? Que dirais-je à mes enfants s'ils faisaient comme moi ? », et même une fulgurance post coitum ne peut toucher cet animal mortepermanent.Non, la seule, l'unique question que se pose cette chienne revenue à un stade primitif de l'évolution, c'est « Quel est le meilleur mâle reproducteur que je puisse trouver pour ce soir ? », non pas afin de se reproduire, là est tout le paradoxe, mais dans une démarche stérile de cuve à foutre à la recherche de couilles à vidanger, afin de maintenir un niveau suffisant de dopamine dans sa cervelle de chienne pour oublier la vacuité de sa vanité et l'inutilité de son existence — « Tu t'entêtes à te foutre de tout. Mais pourvu qu'elles soient grosses. » dirait son philosophe fétiche.
Toute tentative de sauvetage est d'emblée vouée à l'échec, toute âme magnanime ou miséricordieuse venant à son aide serait immédiatement taxée de frustration, de puritanisme moyenâgeux, voire de jalousie, c'est un cas désespéré : cancer généralisé de la pensée, métastasé au dernier degré, mort cérébrale imminente, théologiens et philosophes ne peuvent plus rien pour elle.
Une électrode dans le cerveau qui stimulerait continuellement ses récepteurs cérébraux de plaisir reviendrait strictement au même, et parviendrait à simuler dans son propre référentiel le destin auquel elle a toujours aspiré : elle terminerait ses jours nue, seule, par terre, les sphincters du vagin et de l'anus fatigués par leurs perpétuelles contractions, affalée sur un sol jonché d'un mélange pestilentiel de cyprine, d'urine et de fèces, formant une flaque dans laquelle se refléterait le visage refait et vide d'intelligence de cette erreur de la nature.
Ainsi, ce s'élargit d'heure en heure au rythme effréné de ses coïts, à l'instar de ses orifices dilatés même pendant les heures creuses.
« Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. » écrivait Nietzsche, et soudain j'imagine la créature atroce et misérable qui m'observe avec ses grands yeux noirs du fond de cette grotte sans paroi pareille à une nuit sans étoile, et mon regard erratique perturbe par sa présence la quiétude malsaine de cet antre si profond et si vide que les hurlements de la bête y demeurent sans écho.Le silence éternel de cet espace infini m'effraie.
J'ai le vertige.
Le 12 mai 2020 à 09:11:58 ShekHeilMaleh a écrit :
Toutes les queues du monde ne suffiraient pas à combler le vide intergalactique qui sépare les deux oreilles de cette traînée de Maeva.
Il n'y a pas un seul instant où elle se dit « Pourquoi suis-je ici ? Quel est le rôle d’une mère ? Pourquoi je fais tout ça ? Est-ce cela que mes ancêtres voulaient pour leur descendance ? Que penseraient-ils de moi ? Que dirais-je à mes enfants s'ils faisaient comme moi ? », et même une fulgurance post coitum ne peut toucher cet animal mortepermanent.Non, la seule, l'unique question que se pose cette chienne revenue à un stade primitif de l'évolution, c'est « Quel est le meilleur mâle reproducteur que je puisse trouver pour ce soir ? », non pas afin de se reproduire, là est tout le paradoxe, mais dans une démarche stérile de cuve à foutre à la recherche de couilles à vidanger, afin de maintenir un niveau suffisant de dopamine dans sa cervelle de chienne pour oublier la vacuité de sa vanité et l'inutilité de son existence — « Tu t'entêtes à te foutre de tout. Mais pourvu qu'elles soient grosses. » dirait son philosophe fétiche.
Toute tentative de sauvetage est d'emblée vouée à l'échec, toute âme magnanime ou miséricordieuse venant à son aide serait immédiatement taxée de frustration, de puritanisme moyenâgeux, voire de jalousie, c'est un cas désespéré : cancer généralisé de la pensée, métastasé au dernier degré, mort cérébrale imminente, théologiens et philosophes ne peuvent plus rien pour elle.
Une électrode dans le cerveau qui stimulerait continuellement ses récepteurs cérébraux de plaisir reviendrait strictement au même, et parviendrait à simuler dans son propre référentiel le destin auquel elle a toujours aspiré : elle terminerait ses jours nue, seule, par terre, les sphincters du vagin et de l'anus fatigués par leurs perpétuelles contractions, affalée sur un sol jonché d'un mélange pestilentiel de cyprine, d'urine et de fèces, formant une flaque dans laquelle se refléterait le visage refait et vide d'intelligence de cette erreur de la nature.
Ainsi, ce s'élargit d'heure en heure au rythme effréné de ses coïts, à l'instar de ses orifices dilatés même pendant les heures creuses.
« Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. » écrivait Nietzsche, et soudain j'imagine la créature atroce et misérable qui m'observe avec ses grands yeux noirs du fond de cette grotte sans paroi pareille à une nuit sans étoile, et mon regard erratique perturbe par sa présence la quiétude malsaine de cet antre si profond et si vide que les hurlements de la bête y demeurent sans écho.Le silence éternel de cet espace infini m'effraie.
J'ai le vertige.
Le 12 mai 2020 à 09:11:58 ShekHeilMaleh a écrit :
Toutes les queues du monde ne suffiraient pas à combler le vide intergalactique qui sépare les deux oreilles de cette traînée de Maeva.
Il n'y a pas un seul instant où elle se dit « Pourquoi suis-je ici ? Quel est le rôle d’une mère ? Pourquoi je fais tout ça ? Est-ce cela que mes ancêtres voulaient pour leur descendance ? Que penseraient-ils de moi ? Que dirais-je à mes enfants s'ils faisaient comme moi ? », et même une fulgurance post coitum ne peut toucher cet animal mortepermanent.Non, la seule, l'unique question que se pose cette chienne revenue à un stade primitif de l'évolution, c'est « Quel est le meilleur mâle reproducteur que je puisse trouver pour ce soir ? », non pas afin de se reproduire, là est tout le paradoxe, mais dans une démarche stérile de cuve à foutre à la recherche de couilles à vidanger, afin de maintenir un niveau suffisant de dopamine dans sa cervelle de chienne pour oublier la vacuité de sa vanité et l'inutilité de son existence — « Tu t'entêtes à te foutre de tout. Mais pourvu qu'elles soient grosses. » dirait son philosophe fétiche.
Toute tentative de sauvetage est d'emblée vouée à l'échec, toute âme magnanime ou miséricordieuse venant à son aide serait immédiatement taxée de frustration, de puritanisme moyenâgeux, voire de jalousie, c'est un cas désespéré : cancer généralisé de la pensée, métastasé au dernier degré, mort cérébrale imminente, théologiens et philosophes ne peuvent plus rien pour elle.
Une électrode dans le cerveau qui stimulerait continuellement ses récepteurs cérébraux de plaisir reviendrait strictement au même, et parviendrait à simuler dans son propre référentiel le destin auquel elle a toujours aspiré : elle terminerait ses jours nue, seule, par terre, les sphincters du vagin et de l'anus fatigués par leurs perpétuelles contractions, affalée sur un sol jonché d'un mélange pestilentiel de cyprine, d'urine et de fèces, formant une flaque dans laquelle se refléterait le visage refait et vide d'intelligence de cette erreur de la nature.
Ainsi, ce s'élargit d'heure en heure au rythme effréné de ses coïts, à l'instar de ses orifices dilatés même pendant les heures creuses.
« Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. » écrivait Nietzsche, et soudain j'imagine la créature atroce et misérable qui m'observe avec ses grands yeux noirs du fond de cette grotte sans paroi pareille à une nuit sans étoile, et mon regard erratique perturbe par sa présence la quiétude malsaine de cet antre si profond et si vide que les hurlements de la bête y demeurent sans écho.Le silence éternel de cet espace infini m'effraie.
J'ai le vertige.
La violence
Le 12 mai 2020 à 09:20:48 Posedam a écrit :
vu la serpillière qu’il est pas étonnant qu’il se fasse cuck
Meme une serpillière a plus d'honneur que ça
https://youtu.be/XfRJhHpDQCA?t=1313
Le 12 mai 2020 à 08:59:33 jean-fabien62 a écrit :
je sais pas si vous savez mais...
il y a des millions d'hommes dans la situation d'adrien
quel est le dénominateur commun ? la femme
ça commence par une technique du bras et sa se termine en clash interposé sur instagram
Ne vous marriez jamais
Le 12 mai 2020 à 09:23:25 GlaGaule a écrit :
Le 12 mai 2020 à 09:20:48 Posedam a écrit :
vu la serpillière qu’il est pas étonnant qu’il se fasse cuckMeme une serpillière a plus d'honneur que ça
https://youtu.be/XfRJhHpDQCA?t=1313
je repense à la vidéo où elle s’explique avec lui et tu voyais qu’elle avait le dessus sur lui
Données du topic
- Auteur
- Grolaikipu
- Date de création
- 12 mai 2020 à 04:02:13
- Date de suppression
- 23 décembre 2021 à 15:38:52
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 1953
- Nb. messages JVC
- 1954