Topic de StopCensure40 :

[ALIEN/SATAN/NWO] Le PROJET BLUEBEAM, on en TOLK ?

Pendant une semaine, il y a près de 60 ans, un bourg entier du Gard, Pont Saint-Esprit, est pris de folie et d’hallucinations. Un journaliste américain prétend avoir percé le mystère : il s’agirait d’une expérience secrète menée par les services américains, en pleine guerre froide.

Au moins cinq morts, plus de 30 personnes hospitalisées et près de 300 malades. En août 1951, un fait divers tragique secoue une grosse bourgade paisible des bords du Rhône, Pont-Saint-Esprit.

Ce qui commence comme une banale intoxication alimentaire collective culminera quelques jours plus tard en une nuit de pure folie, des scènes d’hallucinations dignes d’un tableau de Bosch, une « nuit de l’Apocalypse », pour reprendre les termes d’un des médecins locaux, le Dr Gabbaï.

Récemment, France 3 exhumait ce fait divers sous la forme d’une fiction bourrée d’erreurs, « Le Pain du diable », bien que le téléfilm s’inspirât essentiellement du remarquable travail d’un historien américain, Steven Kaplan, « Le Pain maudit » (Fayard), en 2008.

Après des années d’enquête, Kaplan reste frustré : aucune des pistes suivies -ergot de seigle, fongicide, eau, mycotoxines- n’apporte d’explication définitive.

Dans un livre publié aux Etats-Unis fin 2009, le journaliste Hank Albarelli affirme avoir percé incidemment le mystère. La crise de folie qu’a connue Pont-Saint-Esprit viendrait d’une expérience secrète sur les effets du LSD menée conjointement par l’armée américaine et la CIA.

« J’ai des serpents dans mon estomac ! »
Le drame de Saint Esprit
Le drame de Saint Esprit
L’affaire du « pain maudit » débute le 17 août 1951. Les salles d’attente des trois médecins de la ville sont pleines. Une vingtaine de malades viennent consulter pour des symptômes apparemment digestifs : nausées, brûlures d’estomac, vomissements, diarrhées.

Viendront s’ajouter dans les jours suivants des fatigues importantes et des insomnies. Pour nombre de malades, après une rémission de 48 heures, les symptômes s’aggravent pour culminer dans des crises hallucinatoires habitées, entre autres, par des flammes et des animaux.

Après une enquête sur place pour le magazine Look, un journaliste américain, John Fuller, décrit dans un article paru en 1968 des scènes d’hallucinations collectives.

Un ouvrier, Gabriel Validire, hurle à ses compagnons de chambrée : « Je suis mort ! Ma tête est en cuivre et j’ai des serpents dans mon estomac ! » Une jeune fille se croit attaquée par des tigres. Un gamin de 11 ans, Charles Granjhon, tente d’étrangler sa mère.

Le 24 août, la situation devient ingérable. Un homme saute du deuxième étage de l’hôpital en hurlant : « Je suis un avion. » Les jambes fracturées, il se relève et court 50 mètres sur le boulevard avant qu’on puisse le rattraper. De nombreux hospitalisés sont saisis d’hallucinations insupportables. D’autres entendent des harmonies célestes.

Très rapidement, des indices pointent le coupable présumé : le pain du meilleur boulanger du bourg, Roch Briand. Dans un article publié par le British Medical Journal moins d’un mois après le début du drame, le Dr Gabbaï écrit :

« La fréquence des symptômes mentaux ramène à l’esprit le vieux nom de la maladie, mal des ardents. »
Autrement dit la maladie de l’ergot de seigle, un champignon parasite des graminées. Courante au Moyen Age, la maladie a disparu en France depuis le XVIIIe siècle.

Mais l’ergotisme peine à expliquer tous les symptômes cliniques constatés. Le Dr Gabbaï et le Pr Giraud de la faculté de médecine de Montpellier, appelés à la rescousse, font vite un parallèle avec les recherches menées en Suisse à la même époque dans le laboratoire Sandoz par Albert Hofmann et qui ont abouti à la découverte par hasard du LSD, synthétisé à partir d’ergot.

Le juge d’instruction chargé de l’affaire évoque la piste criminelle d’une contamination du pain par « une forme de l’ergotine synthétique très nocive ».

Albert Hofmann, qui a fait le déplacement, entérine dans un premier temps la piste de l’ergot ou d’un alcaloïde proche du LSD. Mais une fois rentré à Bâle, le laboratoire rejette l’hypothèse sans appel. De son côté, l’agence américaine United Press rapporte les intrigantes conclusions d’un laboratoire américain à qui elle a transmis des échantillons :

« Les expériences faites (notamment sur des volontaires) en leur faisant absorber du pain ergoté à diverses doses n’ont donné aucun des symptômes constatés chez les malades de Pont-Saint-Esprit. »
Steven Kaplan regrette qu’à l’époque la presse n’ait pas creusé davantage la piste « crépusculaire, voire obscure, du laboratoire américain » !

Suicide d’un biochimiste de l’armée américaine
Deux ans plus tard, aux Etats-Unis, un biochimiste de l’armée américaine qui travaille sur des programmes ultra secrets se suicide. Selon la version officielle, il se serait jeté du treizième étage d’un hôtel de New York. C’est en enquêtant sur cette mort suspecte que le journaliste Hank Albarelli a obtenu des documents de la CIA et de la Maison Blanche qui jettent un éclairage sinistre sur les événements de Pont-Saint-Esprit.

Pont Saint-Esprit
Pont Saint-Esprit
A l’issue de la guerre de Corée, les Américains sont persuadés que leurs soldats, prisonniers de guerre, ont subi des lavages de cerveau.

Ils se lancent donc dans une vaste série de programmes défensifs et offensifs sur les questions de la manipulation mentale, des sérums de vérité pour faire parler des prisonniers ou même sur des méthodes pour « incapaciter » l’ennemi et gagner des batailles sans tirer une seule balle.

C’est à ces recherches confidentielles soutenues par la CIA que travaille Frank Olson au sein du SOD (Special Operations Department), à Fort Detrick. Parmi les documents obtenus par Albarelli, le premier retranscrit une conversation entre un agent de la CIA et le représentant américain du laboratoire Sandoz.

Ce dernier insiste pour évoquer le « secret de Pont-Saint-Esprit » et explique à son interlocuteur qu’il ne s’agissait nullement d’ergot mais de diéthylamide (le D de LSD).

Les pratiques « non éthiques » de la CIA
Albarelli entre en contact avec des anciens de l’armée ou de la CIA qui ont côtoyé Frank Olson. Deux d’entre eux, « Albert » et « Neal », lui expliquent, sous couvert d’anonymat, que l’histoire de Pont-Saint-Esprit relève d’une opération conjointe du SOD et de la CIA. Mais lorsqu’il demande si d’autres services secrets, par exemple français, ont participé à l’expérience, il n’obtient qu’un silence.

Des scientifiques de Fort Detrick confient au journaliste américain que les services ont opéré par pulvérisation aérienne d’une mixture à base de LSD ainsi que par la contamination de « produits alimentaires locaux ». L’un d’eux explique que la pulvérisation a été « un échec complet ».

En 1975, une commission d’enquête présidée par Nelson Rockefeller avait commencé à révéler les pratiques « non éthiques » de la CIA, aux appellations multiples : Bluedbird, Artichoke, MK-Ultra, etc. En 2000, Albert et Neal transmettent à Albarelli une fiche d’identité de la Maison Blanche, certainement en rapport avec cette commission, et qui mentionne une « french embassy » et, erreur d’orthographe comprise, « Pont Saint Esprit incident (Olsojn) »

Cette version pose autant de questions qu’elle apporte de réponses. Sans rejeter l’hypothèse, Steven Kaplan s’interroge, par exemple, sur le choix de la ville cobaye : Pont-Saint-Esprit figure dans une région tenue par la gauche. Curieux pour une opération secrète américaine en pleine guerre froide.

« A l’époque, on a évoqué l’hypothèse d’une expérimentation destinée à contrôler une révolte de la population », se souvient Charles Granjhon, 71 ans aujourd’hui, qui habite toujours Pont-Saint-Esprit. « J’ai failli caner. J’aimerais bien savoir pourquoi. » Il n’est pas le seul à vouloir connaître la vérité.

Après la parution de son livre, Albarelli a appris d’un de ses contacts que la DGSE aurait demandé des informations sur l’affaire de Pont-Saint-Esprit au Département d’Etat américain, ce que démentent les services français.

Le 29 avril 2020 à 02:42:05 Ffdictature3 a écrit :
La Russie au mains du NWO jamais de la vie les gars c'est l'axe anti NWO avec la Chine

N'oublie pas que Moscou est la troisième Rome, en revanche les chinois c'est une autre civilisation.

Le 29 avril 2020 à 02:37:56 Ietoxya-- a écrit :
Et En 1951, un village français a-t-il été arrosé de LSD par la CIA ?

Qu'est-ce que c'est que cette histoire encore :)

:rire: t es grave man

Le 29 avril 2020 à 02:45:02 Ietoxya-- a écrit :

Le 29 avril 2020 à 02:42:05 Ffdictature3 a écrit :
La Russie au mains du NWO jamais de la vie les gars c'est l'axe anti NWO avec la Chine

N'oublie pas que Moscou est la troisième Rome, en revanche les chinois c'est une autre civilisation.

La deuxième rome c'est quoi? :(

Ayaaaent c'est le genre de connerie que je regardais sur Dailymotion quand j'avais 11 piges

Le 29 avril 2020 à 03:04:30 Wohaha5437 a écrit :

Le 29 avril 2020 à 02:45:02 Ietoxya-- a écrit :

Le 29 avril 2020 à 02:42:05 Ffdictature3 a écrit :
La Russie au mains du NWO jamais de la vie les gars c'est l'axe anti NWO avec la Chine

N'oublie pas que Moscou est la troisième Rome, en revanche les chinois c'est une autre civilisation.

La deuxième rome c'est quoi? :(

Constantinople le grotteux

Le 29 avril 2020 à 02:42:21 Ietoxya-- a écrit :
Pendant une semaine, il y a près de 60 ans, un bourg entier du Gard, Pont Saint-Esprit, est pris de folie et d’hallucinations. Un journaliste américain prétend avoir percé le mystère : il s’agirait d’une expérience secrète menée par les services américains, en pleine guerre froide.

Au moins cinq morts, plus de 30 personnes hospitalisées et près de 300 malades. En août 1951, un fait divers tragique secoue une grosse bourgade paisible des bords du Rhône, Pont-Saint-Esprit.

Ce qui commence comme une banale intoxication alimentaire collective culminera quelques jours plus tard en une nuit de pure folie, des scènes d’hallucinations dignes d’un tableau de Bosch, une « nuit de l’Apocalypse », pour reprendre les termes d’un des médecins locaux, le Dr Gabbaï.

Récemment, France 3 exhumait ce fait divers sous la forme d’une fiction bourrée d’erreurs, « Le Pain du diable », bien que le téléfilm s’inspirât essentiellement du remarquable travail d’un historien américain, Steven Kaplan, « Le Pain maudit » (Fayard), en 2008.

Après des années d’enquête, Kaplan reste frustré : aucune des pistes suivies -ergot de seigle, fongicide, eau, mycotoxines- n’apporte d’explication définitive.

Dans un livre publié aux Etats-Unis fin 2009, le journaliste Hank Albarelli affirme avoir percé incidemment le mystère. La crise de folie qu’a connue Pont-Saint-Esprit viendrait d’une expérience secrète sur les effets du LSD menée conjointement par l’armée américaine et la CIA.

« J’ai des serpents dans mon estomac ! »
Le drame de Saint Esprit
Le drame de Saint Esprit
L’affaire du « pain maudit » débute le 17 août 1951. Les salles d’attente des trois médecins de la ville sont pleines. Une vingtaine de malades viennent consulter pour des symptômes apparemment digestifs : nausées, brûlures d’estomac, vomissements, diarrhées.

Viendront s’ajouter dans les jours suivants des fatigues importantes et des insomnies. Pour nombre de malades, après une rémission de 48 heures, les symptômes s’aggravent pour culminer dans des crises hallucinatoires habitées, entre autres, par des flammes et des animaux.

Après une enquête sur place pour le magazine Look, un journaliste américain, John Fuller, décrit dans un article paru en 1968 des scènes d’hallucinations collectives.

Un ouvrier, Gabriel Validire, hurle à ses compagnons de chambrée : « Je suis mort ! Ma tête est en cuivre et j’ai des serpents dans mon estomac ! » Une jeune fille se croit attaquée par des tigres. Un gamin de 11 ans, Charles Granjhon, tente d’étrangler sa mère.

Le 24 août, la situation devient ingérable. Un homme saute du deuxième étage de l’hôpital en hurlant : « Je suis un avion. » Les jambes fracturées, il se relève et court 50 mètres sur le boulevard avant qu’on puisse le rattraper. De nombreux hospitalisés sont saisis d’hallucinations insupportables. D’autres entendent des harmonies célestes.

Très rapidement, des indices pointent le coupable présumé : le pain du meilleur boulanger du bourg, Roch Briand. Dans un article publié par le British Medical Journal moins d’un mois après le début du drame, le Dr Gabbaï écrit :

« La fréquence des symptômes mentaux ramène à l’esprit le vieux nom de la maladie, mal des ardents. »
Autrement dit la maladie de l’ergot de seigle, un champignon parasite des graminées. Courante au Moyen Age, la maladie a disparu en France depuis le XVIIIe siècle.

Mais l’ergotisme peine à expliquer tous les symptômes cliniques constatés. Le Dr Gabbaï et le Pr Giraud de la faculté de médecine de Montpellier, appelés à la rescousse, font vite un parallèle avec les recherches menées en Suisse à la même époque dans le laboratoire Sandoz par Albert Hofmann et qui ont abouti à la découverte par hasard du LSD, synthétisé à partir d’ergot.

Le juge d’instruction chargé de l’affaire évoque la piste criminelle d’une contamination du pain par « une forme de l’ergotine synthétique très nocive ».

Albert Hofmann, qui a fait le déplacement, entérine dans un premier temps la piste de l’ergot ou d’un alcaloïde proche du LSD. Mais une fois rentré à Bâle, le laboratoire rejette l’hypothèse sans appel. De son côté, l’agence américaine United Press rapporte les intrigantes conclusions d’un laboratoire américain à qui elle a transmis des échantillons :

« Les expériences faites (notamment sur des volontaires) en leur faisant absorber du pain ergoté à diverses doses n’ont donné aucun des symptômes constatés chez les malades de Pont-Saint-Esprit. »
Steven Kaplan regrette qu’à l’époque la presse n’ait pas creusé davantage la piste « crépusculaire, voire obscure, du laboratoire américain » !

Suicide d’un biochimiste de l’armée américaine
Deux ans plus tard, aux Etats-Unis, un biochimiste de l’armée américaine qui travaille sur des programmes ultra secrets se suicide. Selon la version officielle, il se serait jeté du treizième étage d’un hôtel de New York. C’est en enquêtant sur cette mort suspecte que le journaliste Hank Albarelli a obtenu des documents de la CIA et de la Maison Blanche qui jettent un éclairage sinistre sur les événements de Pont-Saint-Esprit.

Pont Saint-Esprit
Pont Saint-Esprit
A l’issue de la guerre de Corée, les Américains sont persuadés que leurs soldats, prisonniers de guerre, ont subi des lavages de cerveau.

Ils se lancent donc dans une vaste série de programmes défensifs et offensifs sur les questions de la manipulation mentale, des sérums de vérité pour faire parler des prisonniers ou même sur des méthodes pour « incapaciter » l’ennemi et gagner des batailles sans tirer une seule balle.

C’est à ces recherches confidentielles soutenues par la CIA que travaille Frank Olson au sein du SOD (Special Operations Department), à Fort Detrick. Parmi les documents obtenus par Albarelli, le premier retranscrit une conversation entre un agent de la CIA et le représentant américain du laboratoire Sandoz.

Ce dernier insiste pour évoquer le « secret de Pont-Saint-Esprit » et explique à son interlocuteur qu’il ne s’agissait nullement d’ergot mais de diéthylamide (le D de LSD).

Les pratiques « non éthiques » de la CIA
Albarelli entre en contact avec des anciens de l’armée ou de la CIA qui ont côtoyé Frank Olson. Deux d’entre eux, « Albert » et « Neal », lui expliquent, sous couvert d’anonymat, que l’histoire de Pont-Saint-Esprit relève d’une opération conjointe du SOD et de la CIA. Mais lorsqu’il demande si d’autres services secrets, par exemple français, ont participé à l’expérience, il n’obtient qu’un silence.

Des scientifiques de Fort Detrick confient au journaliste américain que les services ont opéré par pulvérisation aérienne d’une mixture à base de LSD ainsi que par la contamination de « produits alimentaires locaux ». L’un d’eux explique que la pulvérisation a été « un échec complet ».

En 1975, une commission d’enquête présidée par Nelson Rockefeller avait commencé à révéler les pratiques « non éthiques » de la CIA, aux appellations multiples : Bluedbird, Artichoke, MK-Ultra, etc. En 2000, Albert et Neal transmettent à Albarelli une fiche d’identité de la Maison Blanche, certainement en rapport avec cette commission, et qui mentionne une « french embassy » et, erreur d’orthographe comprise, « Pont Saint Esprit incident (Olsojn) »

Cette version pose autant de questions qu’elle apporte de réponses. Sans rejeter l’hypothèse, Steven Kaplan s’interroge, par exemple, sur le choix de la ville cobaye : Pont-Saint-Esprit figure dans une région tenue par la gauche. Curieux pour une opération secrète américaine en pleine guerre froide.

« A l’époque, on a évoqué l’hypothèse d’une expérimentation destinée à contrôler une révolte de la population », se souvient Charles Granjhon, 71 ans aujourd’hui, qui habite toujours Pont-Saint-Esprit. « J’ai failli caner. J’aimerais bien savoir pourquoi. » Il n’est pas le seul à vouloir connaître la vérité.

Après la parution de son livre, Albarelli a appris d’un de ses contacts que la DGSE aurait demandé des informations sur l’affaire de Pont-Saint-Esprit au Département d’Etat américain, ce que démentent les services français.

L'hypothèse LSD 25

Dans son livre A Terrible Mistake[11], à propos de la mort de Frank Olson et les expériences de contrôle mental menées par la CIA dans les années 1950, publié aux États-Unis en octobre 2009 et traitant des opérations de la CIA durant la guerre froide, le journaliste américain indépendant Hank P. Albarelli Jr. avance une théorie personnelle selon laquelle la CIA aurait testé le LSD comme arme de guerre, par pulvérisation aérienne sur la population spiripontaine ainsi que par la contamination de produits alimentaires locaux[12]. Enquêtant sur la mort suspecte de Frank Olson, biochimiste de la division spéciale de la U.S. Army (selon la CIA, il se serait défenestré en 1953, au cours d'une crise de paranoïa aiguë, une semaine après avoir pris du LSD), Albarelli met en évidence les recherches d'Olson sur la mise au point d'armes biologiques et de techniques d'interrogatoires via l'usage de drogues, et pense qu'Olson était chargé de superviser le test à Pont-Saint-Esprit. Le LSD fourni par le laboratoire Sandoz pour la CIA était une substance d'étude privilégiée lors de plusieurs projets dont MKULTRA et MKNAOMI. Les habitants de Pont-Saint-Esprit, comme des milliers d'Américains ou non-Américains, auraient servi de cobayes pour tester la dissémination à grande échelle de cette drogue, dans le cadre de MKNAOMI[13]. Albarelli explique en détail sa version des faits lors d'une interview (en anglais) donnée sur la radio suédoise RedIce, le 11 février 2010[14]. Dans son no 559 du 18 février 2010, l'hebdomadaire nîmois La Gazette fait état de cette thèse, suivi par d'autres médias[15],[16]. Les hallucinations qui accompagnent les convulsions de l'ergotisme sont similaires à celles déclenchées par le LSD (l'acide lysergique, base du LSD, est synthétisé à partir de l'ergot de seigle).

En 1995, Bill Clinton s'est excusé publiquement des expérimentations faites sur des cobayes involontaires pendant la guerre froide, au nom des États-Unis. D'autres endroits aux États-Unis et en Europe ont été victimes à cette époque de ces expérimentations de la CIA. Les documents déclassifiés existent, même si les informations importantes auraient été supprimées[17].

bordel mais dans ac odyssey, il y a plein de quêtes comme le projet bluebeam en fait :rire:

Le 29 avril 2020 à 03:14:41 Azlokoinkoin a écrit :
Dans le mot BLUE BEAM il a le mot BL comme BLUCIFER https://image.noelshack.com/fichiers/2020/18/3/1588122784-screenshot-20200428-211255-chrome.jpg

BL comme BOYLOVER https://image.noelshack.com/fichiers/2020/18/3/1588122867-dqzhm4qxqaaj5wp.jpg

DIABLE

D-IA-BL-E

https://www.youtube.com/watch?v=Couje5UPNK4&feature=youtu.be&t=1263

:)

Le 29 avril 2020 à 02:42:05 Ffdictature3 a écrit :
La Russie au mains du NWO jamais de la vie les gars c'est l'axe anti NWO avec la Chine

Réveillez vous hein, la Russie est toujours contrôlé par les mêmes oligarques qu'avant, Poutine ce n'est qu'une façade de certes meilleur qualité que Micron mais une façade quand même.
Et la Chine tellement anti NWO que ce même NWO rêve d'instaurer les même mesures de contrôle en occident que là bas :)
Les antagonismes sont seulement entre la faction nationaliste américaine du NWO qui souhaite conservé les Etats-Unis comme épicentre de l'hégémonie mondial et la Chine.

vous connaissez pas le tr3B? qui à survolé la France
https://www.google.fr/search?client=opera&q=tr3b&sourceid=opera&ie=UTF-8&oe=UTF-8
Vous y croyez vraiment ? Genre ça va dans vos vies actuellement ou comment ça se passe niveau santé mentale ?

Le 29 avril 2020 à 03:39:47 DarkPlace a écrit :
Vous y croyez vraiment ? Genre ça va dans vos vies actuellement ou comment ça se passe niveau santé mentale ?

Les moyens employés peuvent en effet apparaître quelque peu grandiloquentes et fantaisistes mais quand on connait leurs ambitions et leur projet c'est parfaitement crédible.

Le 29 avril 2020 à 03:39:47 DarkPlace a écrit :
Vous y croyez vraiment ? Genre ça va dans vos vies actuellement ou comment ça se passe niveau santé mentale ?

qu'est ce que vous ne comprenez pas dans le projet bluebeam ?

Tu as des escrocs qui utilisent la technologie pour inventer une religion, agiter un dieu et dominer les masses comme c'est nouveau :rire:

Le 29 avril 2020 à 01:00:17 EasyLife45 a écrit :
parcontre le truc blue beam perd en crédibilité a force d'uttiliser du latin y'a du "casus belli,Modus operanti etc.

C'est ce genre de termes communs qui pour toi font perdre en crédibilité cette théorie ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/12/2/1521576806-img-20180320-203920-136x102.png

Ce topic de pucix attardés https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
La partie 1 est juste du bon sens, la religion est la pire invention du monde hein :pf:
Le reste est full bullshit

Le 29 avril 2020 à 08:43:59 The0neWh0Knocks a écrit :
La partie 1 est juste du bon sens, la religion est la pire invention du monde hein :pf:
Le reste est full bullshit

Oui oui, c'est juste une des premières choses que l'Homme a créé pour essayer de comprendre et justifier le monde qui l'entourait pendant des millénaires et à travers le monde mais Célestin du 18-25 a jugé que c'etait la pire invention du monde https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Données du topic

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StopCensure40
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29 avril 2020 à 00:33:12
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