[RISITAS] La vie d'un No-Life Metalleux
Le 15 février 2020 à 09:19:57 LarveMinimalist a écrit :
Alors alors, tu ferais pas attendre ton plus grand fan hein, on est à la moitié du mois
t'inquiète khey c'est pour bientôt
Le 15 février 2020 à 16:26:30 PatateFake3 a écrit :
Je me permets de debider
no paniquent, c'est pour bientĂ´ent
Tout d'abord, désolé de l'attente, et ensuite merci à ceux qui liront mes prochaines aventures mes clés
Les prochains vlogs seront édités mais ça va vraiment prendre du temps donc je peux pas vous dire quand ça arrivera, et les anciens sont plus dispo (ils reviendront bientôt pour ceux que ça intéresse vous inquietez pas )
Comment j’ai fait pour revenir après tant de temps d’absence ? J’ai ragequit la flemme.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/51/3/1545248326-larryreup.png
J’écoutais ma musique dans mon lit tranquille à 00:30 du matin quand je tombe sur une chanson en particulier : https://www.youtube.com/watch?v=EgdBJop9ukY
Là c'était le "déclic" une vague de bon souvenirs me passe au travers de l'esprit comme un vent glacial pourtant si doux et chargé de bonnes choses pour lesquelles je reviendrais volontiers en arrière sans réfléchir.
Cette chanson était une des préférées de Charles. Il la passait souvent dans l'appart avec sa baffle blanche jbl flip 4
Mon cerveau me criait : "ALLEZ KHEY VAS Y FAIS LE ILS T'ATTENDENT DEPUIS DES MOIS FAIS LE TU DORMIRAS PLUS TARD TU DOIS LE FAIRE"
Il ne manquait plus que de me convaincre moi même. Ce fût facile. Au fil de ce récit je pouvais me remémorer mes meilleurs souvenirs en ces temps difficiles.
Je regarde mon tel : 00:50. C'est le geste de non retour. Le ragequit de la flemme.
Ni une ni deux je sors de mon pieux, je saisis mon clavier silencieux pour pas réveiller ma daronne et je rallume mon pc.
Tout les souvenirs nagent dans ma tĂŞte et je n'ai plus qu'a les sortir.
Sur ce, bonne lecture mes kheys :
PARTIE 7 : APPARTQUEST : LA SEMAINE : JOUR 1
Et oui, j’ai eu l’honneur de résider dans la demeure de ce cher Charles pendant 1 semaine entière !
Je vous dis pas les aventures assez ÉPIQUES s’étant passées en ce lieu maudit et chaleureux en même temps.
L’aventure se passe autour d’avril 2019 si je me souviens bien. C’était les vacances et Charles contrairement à moi n’avait qu’une semaine.
J’étais venu chez lui quand il était encore en cours.
Ce qui faisait qu’il me laissait des tâches ingrates de NETTOYAGE INTENSE de vaisselle et d’autres composants du famoso appart des enfers.
On s’est bourré la gueule dès le jour 1
On peut dire qu’on a bien commencé cette semaine et quelle soirée ce fut.
D’abord c’était une soirée à la place saint pierre à Toulouse (oui j’ai enfin décidé de balancer les noms des endroits où on a été c’est cadeau les kheys) et ensuite c’était une soirée avec les potes de Charles venant de sa fac d’informatique.
J'allais devoir vaincre ma phobie des gens pour ne pas avoir l'air d'un handicapé dans l'éventualité où quiconque viendrait me parler. Ça allait pas être facile
La soirée commence bien, je me tiens dans mon coin avec un pote joyeux de Charles que je nommerais Ronald.
Ronald et moi on est tous deux joyeux, enfin, lui plus que moi mais le courant passe bien et j'arrive de ce fait à plus facilement profiter de la soirée.
Charles revenait très souvent vers nous pour boire en notre compagnie.
Je buvais mon fameux "Cocktail de la mort" dont j'ai eu l'idée de génie du fait que les deux brevages que je mélangais étaient à peu près similaire, a savoir le jagermeister et le get 27 (goût herbes/reglisse et goût menthe).
Je voulais me bourrer la gueule et vite. C'était mon objectif primaire à cette soirée, une des seules raisons de pourquoi j'étais là . Mais ce brevage mistyque est une pente glissante vers ce que j'apelle LE VERRE DE TROP ou L'ERREUR FATALE.
Car oui il fallait que ça arrive, j'ai bien trop bu et je me suis mis à chialer comme une merde.
J'étais sur le dos en train de regarder le ciel quand soudaint je me suis rendu compte de ce qui se passait. Mais il était déjà trop tard. J'avais trop bu.
Ça allait être comme la dernière fois, je me disais, j'allais me mettre à chialer en me rappelant de lui je me disais.
Et c'est exactement ces pensées qui m'ont conduit à la chose que je redoutais.
Les larmes commencent Ă couler de mes yeux vers mes joues, je me souviens c'est de ma faute, c'est injuste, si injuste.
Je me retourne et me met Ă plat ventre pour Ă©viter qu'on me remarque.
Malheuresement ça n'aura pas servi à grand chose. Je me mis à hurler de toutes mes forces tant j'étais en colère contre moi même, tant je m'en voulais et tout le monde m'a remarqué.
C'est lĂ que Charles intervient. Il m'Ă©loigne de l'endroit oĂą il y avait tout le monde et me pose sur une chaise.
Il me fait un petit speech qui saura m'aider par la suite jusqu'a aujourd'hui.
Il retourne ensuite avec ses potes et je fais au mieux pour ravaler mes larmes. Après tout ça ne sert à rien de pleurer. Ce qui est fait est fait. C'est fini. Stop.
Je me lève en titubant un peu puis je reviens au milieu avec tout le monde autour de moi comme si de rien n'était.
La soirée continue son cours normalement et tout se passe bien.
Ensuite vient quelque chose de moins déprimant.
Vient la partie abordage de la soirée. Celle que mon cher ex-meilleur ami Emanuel trouvait "débile et dangereuse"
Charles et moi étions fier de demander à des gens au hasard dans la rue si ils aimaient le babybel ou si ils aimaient le riz long grain uncle ben's. On trouvait ça drôle.
On a eu une discution sur les frommages qu'on appréciait avec un groupe de types c'était assez marrant.
Mais le temps passait. Et il passait vite.
On se rend compte (un peu tard) qu'il nous fallait rentrer chez nous au plus vite, ce qui voulait dire TRANSPORTS EN COMMUN vu qu'on Ă©tait sans permis.
On a tapé un sprint de FADA pour se rentre aux arènes qui était pas trop loin chargés avec nos sacs d'alcool comme des clodix.
Très franchement on a failli rater notre bus pour rentrer tellement c'était HARDCORE de courrir autant et si vite.
Par chance en faisant des signes au bus qui venait à peine de partir, le chauffeur décida de me laisser rentrer (cimer ce khey en gold BORDEL)
40 minutes plus tard j'étais chez moi. J'étais en appel téléphonique avec Charles et Ronald. Ils étaient bien rentrés chez eux sain et sauf.
Au final cette fin de soirée fût une réussite alors qu'on aurait pu croire la partie perdue d'avance.
Cette partie 7 est à présent terminée. Au moment de son écriture il est 01:50, j'ai mis 1h pile (et c'est beau) à l'écrire.
La prochaine partie parlera du jour 3 (le 2 est peu intéréssant) et ce jour 3 tourne autour de 2 choses bien précises : la cuisine, et le plan déter++
On se retrouve bientĂ´t les quais
Le 11 avril 2020 Ă 13:56:25 Neztlac a Ă©crit :
Ça fait un bailTout d'abord, désolé de l'attente, et ensuite merci à ceux qui liront mes prochaines aventures mes clés
Les prochains vlogs seront édités mais ça va vraiment prendre du temps donc je peux pas vous dire quand ça arrivera, et les anciens sont plus dispo (ils reviendront bientôt pour ceux que ça intéresse vous inquietez pas )
Comment j’ai fait pour revenir après tant de temps d’absence ? J’ai ragequit la flemme.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/51/3/1545248326-larryreup.png
J’écoutais ma musique dans mon lit tranquille à 00:30 du matin quand je tombe sur une chanson en particulier : https://www.youtube.com/watch?v=EgdBJop9ukY
Là c'était le "déclic" une vague de bon souvenirs me passe au travers de l'esprit comme un vent glacial pourtant si doux et chargé de bonnes choses pour lesquelles je reviendrais volontiers en arrière sans réfléchir.
Cette chanson était une des préférées de Charles. Il la passait souvent dans l'appart avec sa baffle blanche jbl flip 4
Mon cerveau me criait : "ALLEZ KHEY VAS Y FAIS LE ILS T'ATTENDENT DEPUIS DES MOIS FAIS LE TU DORMIRAS PLUS TARD TU DOIS LE FAIRE"
Il ne manquait plus que de me convaincre moi même. Ce fût facile. Au fil de ce récit je pouvais me remémorer mes meilleurs souvenirs en ces temps difficiles.
Je regarde mon tel : 00:50. C'est le geste de non retour. Le ragequit de la flemme.
Ni une ni deux je sors de mon pieux, je saisis mon clavier silencieux pour pas réveiller ma daronne et je rallume mon pc.
Tout les souvenirs nagent dans ma tĂŞte et je n'ai plus qu'a les sortir.
Sur ce, bonne lecture mes kheys :
PARTIE 7 : APPARTQUEST : LA SEMAINE : JOUR 1
Et oui, j’ai eu l’honneur de résider dans la demeure de ce cher Charles pendant 1 semaine entière !
Je vous dis pas les aventures assez ÉPIQUES s’étant passées en ce lieu maudit et chaleureux en même temps.
L’aventure se passe autour d’avril 2019 si je me souviens bien. C’était les vacances et Charles contrairement à moi n’avait qu’une semaine.
J’étais venu chez lui quand il était encore en cours.
Ce qui faisait qu’il me laissait des tâches ingrates de NETTOYAGE INTENSE de vaisselle et d’autres composants du famoso appart des enfers.
On s’est bourré la gueule dès le jour 1
On peut dire qu’on a bien commencé cette semaine et quelle soirée ce fut.
D’abord c’était une soirée à la place saint pierre à Toulouse (oui j’ai enfin décidé de balancer les noms des endroits où on a été c’est cadeau les kheys) et ensuite c’était une soirée avec les potes de Charles venant de sa fac d’informatique.
J'allais devoir vaincre ma phobie des gens pour ne pas avoir l'air d'un handicapé dans l'éventualité où quiconque viendrait me parler. Ça allait pas être facile
La soirée commence bien, je me tiens dans mon coin avec un pote joyeux de Charles que je nommerais Ronald.
Ronald et moi on est tous deux joyeux, enfin, lui plus que moi mais le courant passe bien et j'arrive de ce fait à plus facilement profiter de la soirée.
Charles revenait très souvent vers nous pour boire en notre compagnie.
Je buvais mon fameux "Cocktail de la mort" dont j'ai eu l'idée de génie du fait que les deux brevages que je mélangais étaient à peu près similaire, a savoir le jagermeister et le get 27 (goût herbes/reglisse et goût menthe).
Je voulais me bourrer la gueule et vite. C'était mon objectif primaire à cette soirée, une des seules raisons de pourquoi j'étais là . Mais ce brevage mistyque est une pente glissante vers ce que j'apelle LE VERRE DE TROP ou L'ERREUR FATALE.
Car oui il fallait que ça arrive, j'ai bien trop bu et je me suis mis à chialer comme une merde.
J'étais sur le dos en train de regarder le ciel quand soudaint je me suis rendu compte de ce qui se passait. Mais il était déjà trop tard. J'avais trop bu.
Ça allait être comme la dernière fois, je me disais, j'allais me mettre à chialer en me rappelant de lui je me disais.
Et c'est exactement ces pensées qui m'ont conduit à la chose que je redoutais.
Les larmes commencent Ă couler de mes yeux vers mes joues, je me souviens c'est de ma faute, c'est injuste, si injuste.
Je me retourne et me met Ă plat ventre pour Ă©viter qu'on me remarque.
Malheuresement ça n'aura pas servi à grand chose. Je me mis à hurler de toutes mes forces tant j'étais en colère contre moi même, tant je m'en voulais et tout le monde m'a remarqué.
C'est lĂ que Charles intervient. Il m'Ă©loigne de l'endroit oĂą il y avait tout le monde et me pose sur une chaise.
Il me fait un petit speech qui saura m'aider par la suite jusqu'a aujourd'hui.
Il retourne ensuite avec ses potes et je fais au mieux pour ravaler mes larmes. Après tout ça ne sert à rien de pleurer. Ce qui est fait est fait. C'est fini. Stop.
Je me lève en titubant un peu puis je reviens au milieu avec tout le monde autour de moi comme si de rien n'était.
La soirée continue son cours normalement et tout se passe bien.
Ensuite vient quelque chose de moins déprimant.
Vient la partie abordage de la soirée. Celle que mon cher ex-meilleur ami Emanuel trouvait "débile et dangereuse"
Charles et moi étions fier de demander à des gens au hasard dans la rue si ils aimaient le babybel ou si ils aimaient le riz long grain uncle ben's. On trouvait ça drôle.
On a eu une discution sur les frommages qu'on appréciait avec un groupe de types c'était assez marrant.
Mais le temps passait. Et il passait vite.
On se rend compte (un peu tard) qu'il nous fallait rentrer chez nous au plus vite, ce qui voulait dire TRANSPORTS EN COMMUN vu qu'on Ă©tait sans permis.
On a tapé un sprint de FADA pour se rentre aux arènes qui était pas trop loin chargés avec nos sacs d'alcool comme des clodix.
Très franchement on a failli rater notre bus pour rentrer tellement c'était HARDCORE de courrir autant et si vite.
Par chance en faisant des signes au bus qui venait à peine de partir, le chauffeur décida de me laisser rentrer (cimer ce khey en gold BORDEL)
40 minutes plus tard j'étais chez moi. J'étais en appel téléphonique avec Charles et Ronald. Ils étaient bien rentrés chez eux sain et sauf.
Au final cette fin de soirée fût une réussite alors qu'on aurait pu croire la partie perdue d'avance.
Cette partie 7 est à présent terminée. Au moment de son écriture il est 01:50, j'ai mis 1h pile (et c'est beau) à l'écrire.
La prochaine partie parlera du jour 3 (le 2 est peu intéréssant) et ce jour 3 tourne autour de 2 choses bien précises : la cuisine, et le plan déter++
On se retrouve bientĂ´t les quais
- correction je suis pas rentré chez moi mais à l'appart de Charles vu qu'on a passé la semaine ensemble j'avais oublié
Données du topic
- Auteur
- Neztlac
- Date de création
- 26 août 2019 à 22:36:08
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