[RISITAS] Anecdotes du LYCÉE

Petit topic du soir, petit risitas tranquille. Ce soir, j'ai décidé de vous raconter quelques anecdotes sur ma vie de lycéen. Évidemment, tout ceci est certifié nofake

Commençons par présenter le phénomène qu'était ma personne avant d'entrer au lycée

J'étais un élève lambda dans un collège lambda dans une classe lambda. Bon la vérité y avait juste le collège qui était lambda, quoique celui-ci était attaché au lycée dans lequel j'allais passer mes années lycéennes. Ma classe était composée principalement de chances que j'appréciais énormément car on était une classe plutôt solidaire

Moi, j'étais quelqu'un de particulier, de bizarre. J'étais un véritable Célestin avec les meufs quand je ne les connaissais pas trop, mais après je prenais la conf' et je les traitais soit comme des potes et/ou de la merde, soit j'avais des délires juste avec elles

Avec les gars du collège j'avais des délires chelou mais c'était hyper marrant quand j'y pense (peut-être un jour mais là j'ai pas l'time) Par contre ce qu'il fallait savoir et surtout pourquoi j'étais réputé, c'était que quand je passais à l'oral, je n'avais pas le trac ni même de stress. Personne ne savait comment je faisais

Bref les présentations du personnage que j'étais au collège étant faîtes, je peux commencer les anecdotes sur l'établissement qui a le plus marqué ma life, le lycée

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Anecdote 1 : Premier fail amoureux

C'était le jour de la rentrée, je venais de rentrer des vacances et je m'étais fait tout beau et tout, toi même tu sais Nan j'dec j'y suis toujours allé en mode osef et cette année n'allait pas faire exception

Bref, j'étais allé au lycée, vers le bureau des surveillants où y avait un panneau où était marqué les classes. Je scrutais derrière la troupe de personne devant moi mon nom Seconde 1... Non... 2... Non plus et ainsi de suite. Jusqu'à ce que je trouve mon blaze dans la dernière classe de seconde, au milieu de noms qui ne me disaient rien du tout

Bon, comme j'étais arrivé en avance j'avais du temps à perdre, dont une grosse partie avait été perdue assit sur un banc avec des potos du collège J'avais salué tout le monde puis y a un mec que j'avais pas vu depuis trente piges qui voulait me prendre à part et que je le suive Ce que j'avais fait en imaginant évidemment tout les scénarios de psychopathes possibles

Il m'avait emmené dans un autre bât où y allait avoir cours et me place sous les escaliers Et là je vois une meuf sur qui j'étais vraiment en kiff en troisième Elle était toute rouge et souriait niaisement mais qu'est-ce que c'était charmant Je me retourne et je vois y a plus le vieux pote. "Bizarre, il a du avoir eut envie de pisser" pensais-je

Mais non ahuri il avait fait tout le boulot pour elle, et toi t'étais tout bénef' dans l'histoire car t'es un eunuque Célestin, t'entends ? Depuis la troisième elle est en kiff, pendant les vacances elle n'a pensé qu'à toi et toi aussi p'tit con

Autiste comme j'étais, je la salua à ma manière "Wsh roussarde, coman sava ?" en ne montrant aucune émotions derrière ceci Ouais j'étais un vrai con à l'époque Et elle me répond timidement d'un sourire trop mignon, pur, doux et surtout amoureux (je l'ai gravé dans ma mémoire bordel)

Puis y eut la sonnerie qui sonna (tamèrasme bande de pds) et le couloir s'était remplit en deux secondes Je montais en cours tel un élève modèle et je laissa la meuf seule, dans les couloirs. Et j'avais même pas eut l'idée de la revoir parce que, détail très important, je suis con et j'avais pas pigé qu'elle voulait se mettre en couple avec moi

Et ce n'est qu'une heure plus tard que j'ai finalement pigé Sauf que j'osais pas l'aborder Et qu'à cause de mes kouyes atrophiées je m'étais trimballé l'image d'un enculay auprès d'elle pendant deux ans

Mais bon, même moi je me comprend : j'étais (et je suis toujours) moche comme pas deux et je suis persuadé que tout le monde me déteste, comment j'aurais pu croire une seule seconde qu'on voulait de moi ?

Mais bref, ajd quand j'pense que j'aurais potentiellement pu quitter la route du mage noir avec une meuf super qui était bon délire et que surtout je chérissais Comme quoi l'amour rend littéralement aveugle