ça a dérapé avec ma mère
Le 15 février 2019 à 10:32:49 rouane_carlos16 a écrit :
Ok donc maintenant que j'ai votre attention j'a une info concernant l'assassinat de JFK :https://youtu.be/s_s1N6KuPk4?t=1436
Ce sont les Rothsild
mais taggle on veut la sweet
SWEET
sexe tendu de cheval. Un long silence est doucement brisé par ma maman.
— Eh ben, dis donc, des choses pareilles, s’amuse-t-elle.
— Tu as déjà vu une chose pareille maman, dis-je, troublé et étonné.
— Euh non, Didier. Jamais de la vie. Jusqu’à maintenant, rétorque-t-elle.
Là, nous sommes interrompus par un violent coup de tonnerre. Une goutte d’eau tombe sur la poitrine de maman et glisse entre ses seins, puis une deuxième. Un autre coup de tonnerre encore plus fort retentit.
— Oh, Didier. Il faut qu’on bouge. Là, ça se gâte. Regarde les nuages noirs arriver.
— Ah oui, maman. Le temps change vite en montagne, maman . Tu crois qu’il faut redescendre vers le forêt ?
— Je ne sais pas. Je pense, oui. J’espère qu’on arrivera avant d’être trempés.
Puis, là, on oublie le cheval et le fait que ma mère ne soit plus qu’en soutien-gorge en haut. On reprend le petit sentier. Là, un violent éclair déchire le ciel et est suivi de très près par le coup de tonnerre. On accélère le pas sur le sentier. La pluie commence à augmenter. On sent nos habits qui commencent à devenir mouillés…
— Maman ? Tu crois que c’est une bonne idée d’aller dans la forêt avec la foudre ?
— Non, mais bon, on ne va pas rester au milieu de ce champ.
— Oui, t’as raison, maman. Allez, cours un peu alors….
La pluie augmente encore et frappe mon visage et frappe aussi le visage et le buste de maman. On court sur le petit chemin qui devient de plus en plus glissant et, là, maman s’arrête brusquement.
— Didier, regarde ça !!! Elle me montre du doigt une petite cabane en pierre avec un petit avant-toit à côté de la cabane.
— Oh, trop bien ! Une cabane ! On peut se mettre sous l’avant-toit, maman.
— Oui, t’as raison. Allez, vite. Je suis bientôt entièrement trempée
On arrive enfin sous l’avant-toit. On est enfin à l’abri mais le mal est déjà fait et on est trempés… Je regarde maman et vois l’eau couler de son visage jusqu’au sillon de ses seins. Le vent se lève et il commence à faire froid… Je me décide à regarder dans la cabane pour voir s’il y a quelqu’un. Et, là, j’ouvre la porte. J’entre et demande s’il y a quelqu’un. Aucune réponse alors j’entre… Je vois une cabane assez bien rangée et aménagée avec une table, une petite cheminée e,t au fond, une porte avec du foin…
— Viens dedans, maman. Il fait meilleur et il n’y a personne.
— Ouf ! Oui, il fait meilleur dedans. Tu as raison, Didier.
— Tu as froid, maman ? Tu crois que ça va durer longtemps, cet orage ?
— Ah ben, ça, je ne sais pas mais ce que je peux te dire c’est que, oui, il ne fait pas des plus chauds.
— Tu veux que j’allume un feu dans la cheminée, maman ?
— Oh oui, vas-y.
Je prends un peu de foin puis quelques petit bouts de branches entassées au coin de la cabane. Puis je prends le briquet dans mon sac à dos et allume le feu. Avec l’aide du foin, le feu prend rapidement et on sent tout de suite la chaleur.
— Viens là, maman. Il fait déjà meilleur.
Elle s’approche et se met à genoux et tend les bras vers le feu.
— Ah ben oui, c’est déjà mieux…
— Reste là, maman. Je vais voir si je trouve quelque chose pour nous sécher un peu.
— Ok. Tu es chou, Didier.
Je me relève et commence à chercher un drap ou une couverture… J’ouvre plusieurs armoires et au bout, de la quatrième, je trouve une grande couverture dans un plastique. Je la sors puis viens vers maman. Je prends la couverture et la pose sur ses épaules.
— Ça va mieux, maman ?
— Oh oui, merci. C’est top. Ça va déjà mieux. Viens à côté de moi, il y a de la place sous la couverture.
— Euh oui, maman. Attends, je mets encore deux bois dans le feu.
Là, je prends deux grosses buches et les mets dans le feu… Puis je prends une botte de foin que je pose devant la cheminée pour nous faire un petit banc de fortune…
— Assieds-toi, maman. Tu seras mieux, dis-je en enlevant mon T-shirt mouillé et en le pendant vers la cheminée.
— Ah ben, voilà. On est à égalité, maintenant, alors, dit maman, amusée.
— Oui, presque, dis-je en riant et en m’asseyant à côté d’elle.
Elle passe la couverture sur mes épaules et on se sert les deux au chaud. Je sens le bonnet de soutien-gorge mouillé contre mon torse…
— Quelle aventures, cette journée, maman. Le cheval qui arrache ton haut et maintenant la tempête.
— Oui on s’en rappellera comme ça, dit-elle en riant.
— Oui, c’était cool. Surtout quand le cheval t’a arraché le haut.
— Eh mais, petit coquin, va. T’as pas honte, dit-elle, amusée.
— Euh ben.
— À propos, il ne va pas sécher là, mon soutien-gorge. Ça te gênerait si je le faisais sécher avec ton T-shirt ?
— Euh ben, comme tu veux, maman, dis-je, gêné et surpris.
Là, on est les deux sous la couverture à se réchauffer et je sens les bras de maman bouger et je comprends vite qu’elle est en train d’enlever son soutien-gorge. Après quelques secondes, elle le sort de sous la couverture. Je suis un peu gêné et troublé. Maintenant, je sens la poitrine de maman contre mes bras.
— Chéri, tu peux aller le pendre avec ton T-shirt pour qu’il sèche, tu seras gentil.
— Euh euh. Oui, maman, dis-je en le prenant dans mes mains.
– Mets- le pas trop près du feu, s’il te plaît. Je n’aimerais pas qu’il crame, dit-elle, amusée. - Oui, ça serait dommage parce qu’il est super joli.
— Ah bon, tu trouves, Didier ?
— Ben oui, je trouve, dis-je, gêné.
Là, maman me dit de la rejoindre au chaud. Elle écarte la couverture. Mes yeux se posent directement sur sa belle poitrine. Je reste fixé comme ça quelques secondes jusqu’à ce que maman me redise de venir… Là, je retourne m’assoir à côté d’elle puis elle remit la couverture sur nous deux. Je sens directement sa poitrine contre mon bras. Elle sent très bien que je suis gêné… Elle sourit et un éclair illumine la pièce. Dehors, c’est l’enfer. Le vent est de plus en plus violent, les gouttes de pluie tellement fortes et grosses qu’elles font un bruit de grêle sur le toit.
— Ça va, Didier ? Ça me rappelle quand il y avait des orages chez nous et que tu étais petit. Tu venais toujours te mettre entre papa et moi pour dormir, sauf que là il n’y a pas papa, dit-elle, amusée.
— Euh, je... Je... Mais, maintenant, j’ai plus peur des orages. Je suis grand.
— Ça, c’est toi qui le dis. Pour moi, tu es toujours mon bébé. Même si, doucement, tu deviens un homme. D’ailleurs, aujourd’hui, c’est ta journée des premières, non ? - Comment ça, maman ?
— Ben, première fois que tu vois une fille en soutien-gorge et aussi première fois que tu vois une fille seins nus, non ? En vrai, je veux dire.
— Euh… Je... Euh ben… Ben oui, maman.
— Et ça t’a pas trop choqué de voir ta vieille mère comme ça ?
— Arrête, tu n’es pas vieilles, maman. Tu es encore super jolie.
— Ah bon, tu trouves ? Je peux plus concurrencer avec les filles de ton âge.
— Oui ben, elles ne sont pas spécialement mieux, je trouve.
— Ah ben, merci, Didier. C’est cool. Tiens petit cadeau, alors, dit-elle en dégageant la couverture de ses épaules.
Mes yeux se fixent directement sur sa poitrine nue encore un peu humide juste éclairée par la lumière du feu… Sans rien dire, ma mère prend ma main et doucement elle la soulève et la pose délicatement sur son sein si généreux. Instinctivement, ma petite main commence à palper son sein. Je rougis en la regardant dans les yeux et je savoure ce moment incroyable. Doucement, elle pose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser doucement… Je sens ma respiration accélérer. Mon souffle qui vient caresse la poitrine de maman.
— On dirait que ça te plait, chéri, dit-elle, amusée.
— J’ai... Euuhh… Je n’ai jamais fait une chose pareille, maman.
— Je sais, chéri. Allez, amuse-toi. Tu aimerais les embrasser ?
Je la regarde, surpris, puis je fais oui de la tête. Elle se tourne un peu vers moi, m’offrant à pleine vue toute sa poitrine. Intimidé, je me penche vers elle et, délicatement, je pose mes lèvres tremblantes sur tes mamelons… Je les embrasse légèrement. Ma langue tourne autour du mamelon. Pris par l’excitation, je commence à doucement aspirer son mamelon… Je commence à téter tout en douceur les seins de ma tendre maman… Elle bombe le torse vers moi. J’aspire le mamelon tout doucement en le titillant avec ma langue mouillée…
— Tu aimes bien, chéri ? Ça te plait de faire des bisous à maman ?
— Oh oui, maman. Je pourrais faire ça toute la journée sans m’arrêter.
— Alors, vas-y, Didier. Profite. Tu sais, maman aime beaucoup tes bisous… Et aussi ta petite langue…
Je lui souris toujours en rougissant un peu et m’avance délicatement vers l’autre sein que je prends de suite en bouche pour l’aspirer. Je commence à bien la téter. En même temps, je sens les mains maternelles qui caressent mon dos. Je pousse de petits gémissements, tout comme ma maman lorsque je titille son bout tout rose qui durcit. Je sens les mains de ma mère qui descendent dans mon dos et s’arrêtent sur l’élastique de mon short. Elle le tire vers les bas en prenant mon boxer en même temps… Je me laisse faire et sens que mon sexe dressé est sorti à l’air libre.
— Oh, ben dis donc, Didier ! Mon fils a bien grandi, on dirait.
— Tu trouves, maman, demandai-je, quand même troublé et gêné.
— Oh oui, elle est très belle, je trouve, et de bonne taille. Ça te gêne si maman la touche un peu ?
— Euh... Comme tu veux, maman.
À peine ai-je fini ma phrase que je sens la main de maman saisir mon sexe déjà bien dur et, doucement, elle débute des petits mouvements de va-et-vient très doux et en serrant quand même mon sexe assez fort. Là, au même moment, un violent éclair illumine la pièce. Je sens la main de ma maman serrer mon sexe encore plus fort. Elle me sourit et commence à me branler de plus en plus vite. Elle me regarde dans les yeux et, délicatement, je la vois se mettre à genoux et, sans attendre, elle commence à me sucer. Je vois mon sexe disparaître dans sa bouche. Je n’en reviens pas de ce qu’il se passe. Je sens les lèvres de ma mère entourer mon sexe. Elle me suce tellement bien et, en même temps, elle me regarde dans les yeux. Je pose ma main dans ses cheveux et commence à les caresser….
— Humm... Mon dieu, maman… Ah oui, c’est trop bon !
— J’adore ça, Didier, dit-elle en léchant mon sexe luisant de salive.
— Mon dieu, maman, je n’en reviens pas.
— Ça te plaît, au moins, chéri ?
— Je n’ai jamais rien fait d’aussi excitant, maman.
— Alors, viens me faire plaisir, dit-elle en s’allongeant dans le foin près du feu.
Je vois son corps nu éclairé par la lumière du feu totalement offert à moi. Doucement, je me mets à genoux vers ses jambes. Je la vois écarter ses jambes et je comprends tout de suite qu’elle m’offre son sexe tout lisse et déjà humide. Tranquillement, je m’avance en penchant ma tête vers ce paradis interdit. Mon visage est maintenant à quelques centimètres de son sexe. Mon souffle le caresse lorsque j’approche encore… Et, là, enfin, ma petite langue timide et maladroite se pose sur les lèvres de maman. Je la fais glisser de bas en haut très lentement pour savourer un maximum ce moment dingue. J’entends des petits gémissements qui sortent de la bouche de maman. Je continue alors à explorer ses lèvres brûlantes. Elle appuie sur l’arrière de ma tête pour que ma langue s’enfonce bien en elle. J’essaie de l’enfiler au plus profond. Je sens sa cyprine sur ma langue. Ce goût me rend fou et me fait agiter ma langue de plus en plus vite en elle. Je l’entends gémir de plus en plus fort en citant mon prénom en même temps.
Ça m’excite énormément et je commence même à mordiller légèrement ses lèvres.
— Hum... Didier, arrête, arrête, murmure-t-elle d’une voix chancelante.
— Quoi, maman ? Tu n’aimes pas ?
— Oh si, justement j’aime trop mon chéri. Allez, viens. Allonge-toi sur moi.
— Hum, maman ! C’est incroyable, dis-je en me glissant sur elle.
— Ça te plaît, Didier ?
— Bien sûr, maman. Tu sais que je n’ai jamais ressenti des choses comme ça. Je n’avais jamais fait ça, maman.
— Tu as déjà embrassé une fille, au moins, me demande-t-elle en me regardant dans les yeux.
— Euh ben non, maman, jamais.
— Tu attends quoi, alors, dit-elle en souriant.
Doucement, j’approche mon visage du sien. Nos regards sont fixés l’un à l’autre… Et, doucement, nos lèvres chaudes se touchent légèrement puis j’appuie un peu plus et je sens sa bouche qui s’ouvre. On commence à s’embrasser. Maladroitement, j’essaie de faire au mieux. Et, là, au bout de quelques secondes, je sens sa langue forcer l’entrée de ma bouche et venir toucher la mienne. Là, nos langues s’enlacent, nos salives se mélangent. En même temps que nos lèvres sont collées, je sens les mains de ma mère me serrer contre elle. Mon torse pressé contre sa poitrine, notre respiration accélère. Je bouge un peu sur elle et sens mon sexe toucher le sien. Là, notre baiser s’arrête. Je me redresse un peu, maman me regarde dans les yeux et je sens sa main saisir mon sexe et le guider à l’entrée du sien. Puis elle me fait un oui de la tête. À ce moment-là, mon sexe entre délicatement en elle. Je sens cette chaleur brûlante autour de mon sexe... Je l’enfonce encore puis, tranquillement, je commence des va-et-vient.
Nos regards ne se quittent plus. Là, un violent éclair illumine encore la pièce, ce qui fait accélérer mes va-et-vient en elle… Je la regarde dans les yeux en allant de plus en plus vite en elle. Nos gémissements se mélangent. Je mords mes lèvres d’excitation. Je sens l’excitation monter en moi. Je donne de puissants coups de reins toujours plus rapides et puissants. Le gémissement de maman augmente encore. Je sens mon sexe qui commence à palpiter. Je sens que je vais jouir et maman le sent aussi. Elle me fait un oui de la tête pour me donner la permission... Je donne encore un puissant coup de reins et j’explose en elle. On gémit les deux très fort. Mon sperme brûlant et gluant jaillit en elle et la remplit. Essoufflé, je la regarde et l’embrasse amoureusement. Mon sexe toujours en elle, je me repose sur elle.
Le 15 février 2019 à 10:24:54 rouane_carlos16 a écrit :
Ça fait maintenant plusieurs jours que maman, Liliane, a décidé de faire une randonnée sur les hauts plateaux montagneux dans les Alpes suisses. Mais voilà déjà deux semaines j’ai commencé mes vacances et qu’il pleut presque tous les jours... Dès le premier jour ou le soleil pointe le bout de son nez, Liliane, déjà prête à partir vient réveiller son jeune fils à l’aurore...— Didier ... Didier, réveille-toi c’est l’heure, dit-elle en posant sa main dans le dos de son fils et le secouant un peu, elle ouvre les volets, la lueur brillante et rosée éclabousse ses formes sveltes mais voluptueuses et enrobe ses jambes juste recouvertes d’une jupe mi-cuisse et son petit top gris à bretelles qui épouse parfaitement ses formes devient rosé par cette douce lumière... C’est une très belle femme.
J’émerge, de mon sommeil, je regarde le réveil sur ma table de nuit, je n’en crois pas mes yeux mi- ouverts !
— Putain ! Maman, t’es folle ou quoi ? C’est que 5 h 55 du mat
— Oui mon cher je sais mais je t’ai dit que quand on part en montagne, on se réveille tôt.
Elle commençait à prendre la couverture pour la tirer, d’un air de dire "debout", j’eus juste le temps de l’en empêcher, pour qu’elle ne me voie pas nu. Surprise sans doute, de ma nudité, elle lâcha la couverture et dit simplement
— Habille-toi vite
— Euh ! Dis-je un peu gêné. Oui maman ! Laisse-moi cinq minutes et je te rejoins.
Liliane descend au salon et fini de préparer les deux sacs à dos. Elle y ajoute le pique-nique, des bouteilles d’eau et mon appareil photo. Quelques minutes plus tard je rejoins ma mère au salon après avoir vite pris une douche et mis un short et T-shirt pour la marche. Elle finissait de charger le sac dans le coffre de la voiture. Après 35 minutes de route sinueuse à la lueur du lever du soleil. Liliane arrêta la voiture au bord d’un petit chemin sous un arbre. Au moment où l’on s’apprêtait à sortir, le soleil éclairait sa chevelure châtain clair, elle était magnifique, j’avais l’impression de découvrir cette femme que je connais depuis si longtemps : ma maman.
Voilà maintenant une bonne heure que nous marchions sur un petit sentier dans la forêt, le jour c’est déjà bien levé, les oiseaux ont commencé à chanter fortement. J’appréciais ce moment plein de plénitude, maman avait raison, c’est agréable de se lever tôt. Tout à coup, tout devient plus lumineux, la forêt se terminait et laissait place à une grande clairière avec une vue magnifique sur les sommets montagneux...
— Waouh maman c’est trop beau ici, dis-je en écarquillant les yeux encore plus.
— Eh bien, je t’avais dit mon cher que ça valait la peine de se lever tôt.
— Oui t’avais raison mais à six du mat ! C’est quand même tôt maman. Oh t’as vu, il y a même des vaches au sommet de prés.
Une carte postale de la pub Milka ! Il ne manquait plus que la vache violette...
— Ben oui mon cher, c’est normal, c’est l’alpage !, dit Liliane amusée que son fils découvre ce qu’est un alpage.
— Allez Didier, on monte encore 10 minutes et on aura un joli point de vue, tu pourras prendre des photos de beaux paysages.
— OK maman, j’te suis !
Après quelques minutes, nous voilà arrivés sur une petite crête avec une magnifique vue sur les montagnes et sur la vallée en contrebas. Liliane sort du sac mon sac mon appareil photo sachant qu’elle sait que j’adore ça, et me le tend avec un sourire.
— Tiens voilà ! Tu vois j’ai pensé à tout mon cher.
— Cool, merci maman.
Ses yeux verts pétillaient de me voir si heureux, et je m’approchais d’elle et lui fit un énorme bisou, sur sa joue réchauffée par le soleil en caressant ses épaules chaudes et nues elles aussi.
— C’est vrai que ça vaut la peine. Il y a une bonne lumière pour les photos là.
Liliane heureuse que cette journée plaise à son fils elle s’assied sur un rocher et profite de la vue...
Je commence à faire des photos des alentours et je me retourne vers ma mère.
— Fais un sourire maman.
— Oh mais non ! Didier ! S’il te plait ! Je ne suis pas photogénique, dit-elle un peu gênée et cachant son sublime visage dans ses mains.
— Allez maman ! Ça fera un joli souvenir avec les montagnes derrière.
— Bon d’accord c’est bien parce que c’est toi
Elle se détend un peu et laisse son fils prendre quelques photos.
Elle relevait la tête, comme attirée par les rayons de soleil qui illuminaient son visage, sur le rocher, les genoux ramenés sur sa poitrine voluptueuse entourés de ses bras menus qui commençaient à devenir roses. Je la photographiais sous différents angles, j’étais si fier, elle était si belle.
— Celles où j’ai une sale tête, tu les supprimeras d’accord ???
Je ne crois pas que ma mère avait conscience de sa beauté et de son pouvoir de séduction. À sa demande, je regardais les images prises. Une était très sexy, j’apercevais sa culotte de dentelles noires, alors que sa jupe remontée laissait apparaître tout le galbe de ses cuisses. Je l’effarais, à mon grand regret je crois, connaissant ma mère elle aurait été très mal à l’aise de cette photo. Pour les autres, rien à jeter.
Maman ! Tu es belle
— Oui maman t’inquiète mais elles sont toutes jolies je trouve.
— Ben j’espère bien !, dit-elle amusée.
Et là, à cet instant, un beau cheval brun et noir surgit derrière Liliane. Il pose le bout de son museau sur l’épaule de la maman. Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri aigu qui fait reculer le cheval.
— Trop drôle maman, il est venu te dire coucou, dit Didier en riant.
— Oui, ben il aurait pu prévenir, dit-elle, encore surprise par sa récente rencontre avec l’animal.
— Viens là, mon petit, dit-elle en tendant la main vers le cheval qui vient vers elle et pose direct son museau sur l’épaule de Liliane.
— Ah, ben je crois que tu as trouvé un nouveau copain maman. Attends, je fais une photo.
Il se déplace un peu et fait une photo de sa maman et de son nouvel ami... Et là, au même moment, le cheval sort sa langue qui touche le sein de Liliane en laissant une tache de salive sur le top.
— Oh le coquin, dit la maman, surprise.
— Ah ben on dirait qu’il t’aime bien, maman
— Il ne sait pas ce qu’il fait, dit-elle, un peu gênée.
Mais au même moment, le cheval avance d’un pas et ressort sa langue qui cette fois glisse un peu dans le décolleté de Liliane. Elle tente de le repousser, mais le cheval attrape le bord du top et tire dessus, ce qui fait lâcher les deux bretelles. Morte de honte, elle tape sur le museau de l’animal qui recule d’un coup, arrachant complètement le top. Etonnée, mal à l’aise, elle tente aussitôt de cacher avec ses mains son soutien-gorge en dentelle rose.
— Oh mon Dieu, chéri, je suis désolée. Mais il est fou ce cheval !!!!! Des choses pareilles, dit-elle, toute troublée.
— Euh, oui, ça va maman ? dit Didier, un peu choqué.
— Oui mon chou, juste un peu secouée.
Elle attrape son top par terre.
— Je crois que celui-là est mort
Elle regarde sa poitrine.
— Oh mais maintenant j’ai de la bave partout, dit la maman
Elle saisit son top et commence doucement à essuyer sa poitrine avec le top.
Didier observe cette scène surréaliste. C’est la première fois qu’il voit sa maman en soutien-gorge, ses yeux sont comme aimantés dessus. Là, Liliane s’en rend compte.
— Oh chéri, je suis désolée que tu aies vu ça, c’est la honte !!
— Euh, non maman, ce n’est pas grave, comme ça j’en aurai enfin vus, dit-il gêné et troublé.
— Comment ça, chéri ??
— Euh, ben c’est la première fois que je vois une femme en soutien-gorge.
— Ah mon Dieu, et faut que ça tombe sur ta maman. Tu diras merci au cheval alors, dit-elle amusée.
Elle tourne la tête pour voir où est le cheval et le voit à quelques mètres, mais là elle devient toute rouge en voyant que l’animal a une érection.
Suite ?
Crève le taré ptn sérieux
On parle quand même d'une mère et son fils non de dieu! Bon après j'imagine que tout ça sort de ton imagination... enfin je l'espère
Il y en aquand même pas qui fantasme sur leur mère?
"Ce contenu a déjà été modéré par un administrateur."
Les topics fic inceste qui se font pas supprimer par contre des faits divers qui ne plaise pas à la modération ca dégage et c'est censuré
Ça en dit long sur l'état psychiatrique des admins
Données du topic
- Auteur
- rouane_carlos16
- Date de création
- 15 février 2019 à 10:24:54
- Nb. messages archivés
- 77
- Nb. messages JVC
- 76