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Valérie Benaïm délice de pois chiches

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C'est dans une famille séfarade traditionnelle du nord du Maroc que grandit la jeune Valérie, élevée principalement a base de pastilla de pigeonneaux 100% KOSHER. A l'age de 15 ans, son père, Shlomoki Benaïm remarque que le cul de sa fille, gonflé comme un knafeh qui serait resté un peu trop longtemps au four pourrait faire la joie d'un marchand du village, en échange de quelques shekels, qui permettrait à la famille d'acheter un nouvel immeuble en ville. Un dimanche matin, il chargea sa fille à l'arrière de sa camionnette pour faire une virée en ville, et après avoir rejoint la place du marché, il dévoila son cul, comme on lève le voile sur une oeuvre d'art, et rapidement, un groupe se rassembla autour de la jeune vierge peu farouche, plus cambrée qu'un cheval de course, exposant son cul comme si il était mis à l'honneur dans une vitrine du musée du Louvre. Rapidement, les hommes se mirent à dégainer les liasses de shekels, comme si ils s’apprêtaient a acheter un vulgaire sac de semoule... Mais quel sac ! Il semblait contenir la double ration. :oui:

Et c'est Moshétou qui rafla la mise, ce jeune artisan couscousier aux olives, maître émérite dans son domaine, et reconnu par tous les gourmets de Tel Aviv comme étant l'étoile montante de la gastronomie du croissant de lune venait de remporter la baraka. Une fois rentré chez lui, il contempla ce cul des heures durant, comme un tableau de maître... Sa forme de makroud, symbole des dieux de la pâtisserie orientale, injecté d'huile de palme donnait a ce cul une apparence massive et onctueuse. Il allait maintenant pouvoir a son tour y injecter son nectar d'amour, comme une offrande divine. Valérie lui tendis alors son gros boule juteux a souhait, et quémandent la pété, le cul élevé vers les cieux donnant à la chambre du couple une aura céleste. Le jeune couscousier attiré par l'odeur du Haz el hanout bondit sur l'occasion... Rapidement, il eu l'impression de culbuter un sac de pois chiche bien rempli, chaque coup de reins résonnait comme un coup de poing dans un sac de frappe. :)

Depuis, au village, une légende se murmure aux coins des maisons, elle raconte que le cul de Valérie Bénaïm, pressé comme un citron, verrait suinter par chaque port de sa peau un liquide graisseux, comme une eau de jouvence, épaisse et visqueuse, si nourrissante qu'elle pourrait régaler l’Afrique toute entière, et faire grossir les biafrais du Nigéria en moins d'une semaine. Jamais ce jus de cul ne fût commercialisé, mais on raconte que Moshétou abandonna son poste de chef artisan couscousier, et se nourrit de cette mixture élémentaire jusqu'a la fin de ses jours... :ok:

C'est bien beau tout ça mais la photo elle est où bordel ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/22/3/1527634515-260cfa6e-7054-42ed-8b31-f4067818218e.jpeg
Ce cul nourri à la pkeila :bave:
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Données du topic

Auteur
elenfoiroo
Date de création
21 janvier 2019 à 19:29:56
Date de suppression
21 janvier 2021 à 00:37:28
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