Arthur Rimbaud
je pense plutôt que c'est celui qui mérite le moins sa popularité
Le 14 janvier 2019 à 16:53:11 fghjkk58563 a écrit :
lol
je pense plutôt que c'est celui qui mérite le moins sa popularité
Ah bon, pourquoi ? Ce flot d'images, et cette façon de ne jamais dérouler ses poèmes comme on l'attend, je ne l'avais jamais vu ailleurs
c'est du pur charabia, ceux qui tentent d'expliquer ça sont juste des branleurs
Dimanche
Les calculs de côté, l'inévitable descente du ciel et la visite des souvenirs et la séance des rythmes occupent la demeure, la tête et le monde de l'esprit.
- Un cheval détale sur le turf suburbain, et le long des cultures et des boisements, percé par la peste carbonique. Une misérable femme de drame, quelque part dans le monde, soupire après des abandons improbables. Les desperadoes languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures. De petits enfants étouffent des malédictions le long des rivières. -
Reprenons l'étude au bruit de l'œuvre dévorante qui se rassemble et remonte dans les masses.
Le 14 janvier 2019 à 16:56:20 fghjkk58563 a écrit :
c'est du pur charabia, ceux qui tentent d'expliquer ça sont juste des branleursDimanche
Les calculs de côté, l'inévitable descente du ciel et la visite des souvenirs et la séance des rythmes occupent la demeure, la tête et le monde de l'esprit.
- Un cheval détale sur le turf suburbain, et le long des cultures et des boisements, percé par la peste carbonique. Une misérable femme de drame, quelque part dans le monde, soupire après des abandons improbables. Les desperadoes languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures. De petits enfants étouffent des malédictions le long des rivières. -
Reprenons l'étude au bruit de l'œuvre dévorante qui se rassemble et remonte dans les masses.
Je suis d'accord que les universitaires payés par nos impôts pour trouver un sens à ça sont des merdes
Ca n'enlève pas la puissance d'évocation géniale, et je ne pense pas qu'il s'agisse de découvrir LE sens du poème qui n'existe probablement pas. C'est être à côté de la plaque et de la poésie.
Après ce poème que tu as mis n'est pas mon préféré Essaye Villes, ou Les Ponts, ou Conte.
Le 14 janvier 2019 à 17:00:49 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 16:56:20 fghjkk58563 a écrit :
c'est du pur charabia, ceux qui tentent d'expliquer ça sont juste des branleursDimanche
Les calculs de côté, l'inévitable descente du ciel et la visite des souvenirs et la séance des rythmes occupent la demeure, la tête et le monde de l'esprit.
- Un cheval détale sur le turf suburbain, et le long des cultures et des boisements, percé par la peste carbonique. Une misérable femme de drame, quelque part dans le monde, soupire après des abandons improbables. Les desperadoes languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures. De petits enfants étouffent des malédictions le long des rivières. -
Reprenons l'étude au bruit de l'œuvre dévorante qui se rassemble et remonte dans les masses.Je suis d'accord que les universitaires payés par nos impôts pour trouver un sens à ça sont des merdes
Ca n'enlève pas la puissance d'évocation géniale, et je ne pense pas qu'il s'agisse de découvrir LE sens du poème qui n'existe probablement pas. C'est être à côté de la plaque et de la poésie.
Après ce poème que tu as mis n'est pas mon préféré Essaye Villes, ou Les Ponts, ou Conte.
je ne nie pas son talent sur certains poèmes que moi même j'aime énormément mais il faut avouer que ce que l'on raconte sur lui me parait fort exagérè
un peu comme quand quelqu'un dit que c'était un génie (je plaisante)
Le 14 janvier 2019 à 17:04:56 fghjkk58563 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:00:49 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 16:56:20 fghjkk58563 a écrit :
c'est du pur charabia, ceux qui tentent d'expliquer ça sont juste des branleursDimanche
Les calculs de côté, l'inévitable descente du ciel et la visite des souvenirs et la séance des rythmes occupent la demeure, la tête et le monde de l'esprit.
- Un cheval détale sur le turf suburbain, et le long des cultures et des boisements, percé par la peste carbonique. Une misérable femme de drame, quelque part dans le monde, soupire après des abandons improbables. Les desperadoes languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures. De petits enfants étouffent des malédictions le long des rivières. -
Reprenons l'étude au bruit de l'œuvre dévorante qui se rassemble et remonte dans les masses.Je suis d'accord que les universitaires payés par nos impôts pour trouver un sens à ça sont des merdes
Ca n'enlève pas la puissance d'évocation géniale, et je ne pense pas qu'il s'agisse de découvrir LE sens du poème qui n'existe probablement pas. C'est être à côté de la plaque et de la poésie.
Après ce poème que tu as mis n'est pas mon préféré Essaye Villes, ou Les Ponts, ou Conte.
je ne nie pas son talent sur certains poèmes que moi même j'aime énormément mais il faut avouer que ce que l'on raconte sur lui me parait fort exagérè
un peu comme quand quelqu'un dit que c'était un génie (je plaisante)
Il faut être excessif pour interpeller, comprends moi khey
Non mais tout le délire du voyant et d'un sens secret profond derrière chaque ligne de son oeuvre est évidemment ridicule.
J'ai même trouvé un article assez long où il est question du titre "A une Raison", où l'auteur s'interroge longuement dans le novlangue universitaire sur l'emploi de 'Une" plutôt que "La" dans le titre
Le 14 janvier 2019 à 17:09:48 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:04:56 fghjkk58563 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:00:49 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 16:56:20 fghjkk58563 a écrit :
c'est du pur charabia, ceux qui tentent d'expliquer ça sont juste des branleursDimanche
Les calculs de côté, l'inévitable descente du ciel et la visite des souvenirs et la séance des rythmes occupent la demeure, la tête et le monde de l'esprit.
- Un cheval détale sur le turf suburbain, et le long des cultures et des boisements, percé par la peste carbonique. Une misérable femme de drame, quelque part dans le monde, soupire après des abandons improbables. Les desperadoes languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures. De petits enfants étouffent des malédictions le long des rivières. -
Reprenons l'étude au bruit de l'œuvre dévorante qui se rassemble et remonte dans les masses.Je suis d'accord que les universitaires payés par nos impôts pour trouver un sens à ça sont des merdes
Ca n'enlève pas la puissance d'évocation géniale, et je ne pense pas qu'il s'agisse de découvrir LE sens du poème qui n'existe probablement pas. C'est être à côté de la plaque et de la poésie.
Après ce poème que tu as mis n'est pas mon préféré Essaye Villes, ou Les Ponts, ou Conte.
je ne nie pas son talent sur certains poèmes que moi même j'aime énormément mais il faut avouer que ce que l'on raconte sur lui me parait fort exagérè
un peu comme quand quelqu'un dit que c'était un génie (je plaisante)Il faut être excessif pour interpeller, comprends moi khey
Non mais tout le délire du voyant et d'un sens secret profond derrière chaque ligne de son oeuvre est évidemment ridicule.
J'ai même trouvé un article assez long où il est question du titre "A une Raison", où l'auteur s'interroge longuement dans le novlangue universitaire sur l'emploi de 'Une" plutôt que "La" dans le titre
ah oui quand même
il faut bien s'occuper j'imagine, c'est triste je ne les comprends pas, ces gens la pourraient se lancer dans la création au lieu de faire ce genre de bêtises mais bon...
Le 14 janvier 2019 à 17:30:26 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:24:09 DieuDieux a écrit :
écrivain français le plus surcôté qui soitTu confonds avec Stendhal
De là à dire que Stendhal est surcôté
En revanche Rimbaud est un très grand poète c'est une évidence...
Un génie, je ne sais pas mais un grand, c'est une évidence.
Le 14 janvier 2019 à 17:32:45 Boulainvilliers a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:30:26 Cthulhu21 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 17:24:09 DieuDieux a écrit :
écrivain français le plus surcôté qui soitTu confonds avec Stendhal
De là à dire que Stendhal est surcôté
En revanche Rimbaud est un très grand poète c'est une évidence...
Un génie, je ne sais pas mais un grand, c'est une évidence.
Je déteste Stendhal personnellement. Je lis beaucoup de romans français et Le Rouge et le Noir est de loin un des plus mauvais que j'ai eu entre les mains.
Oui, Rimbaud est évidemment capital, on est d'accord Et son jeune âge donne un côté Guinness Book à son oeuvre qui n'en aurait même pas besoin.
Rimbaud est loin d’être un de ces déchets surréalistes qui écrivaient n’importe quoi par pure transgression bourgeoise (ce qui est logique, puisque ce mouvement s’est amorcé après sa mort ). Ses textes ont un sens, bien qu’il soit difficile à déceler.
Je pense sincèrement que Faurisson est le seul à l’avoir compris.
Données du topic
- Auteur
- Cthulhu21
- Date de création
- 14 janvier 2019 à 16:50:58
- Nb. messages archivés
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