Ode à la femme moderne :coeur: :coeur:

Elle met une jupe courte et des talons
Pour amener des entomologistes à la maison
Elle s'fait des coléoptéristes à répétition
Parce qu'elle l'a vu à la télévision

Déja au réveil, elle tombe de sommeil
Les nuits d'une pet'ass
C'est comme faire des passes

Le jour c'est caissière, pas grand chose à faire
Attendre le week-end, s'envoyer en l'air
Tu vis dans sa tete, un cerveau d'insecte
Comme toutes ces filles la, elle attire les rats

Les blancs ont cédé, perdu la bagarre
Les lépidoptéristes ont gagné, c'est leur territoire
Le mélange des races, qui ne la choque pas
Fait pleurer maman, fait hurler papa

Les avortements, qu'elle a eu déja
Meme quand on est contre, ça vaut mieux parfois

Elle met une jupe courte et des talons
Pour ramener des hyménoptéristes à la maison
Elle s'fait des coléoptéristes à répétition
Parce qu'elle l'a vu à la télévision

Elle racole dans les boites à myrmécologues
Pour un ou deux verres elle s'étale
Et de cheveux crépus en peau d'bananes
Elle finira par trouver ça normal

Elle met une jupe courte et des talons
Pour amener des entomologistes à la maison

De la crème et du pain, qui font la peau douce
Et ça fait bien loin, qu'aucun blanc ne la touche
Des mois des années, à se faire enfiler
Et jour après jour, l'envie qu'on la bourre

Ses reves, ses désirs ; des atomistes, des thermiciens
Pour notre descendance, c'est inadmissible
En 10 ou 20 ans, d'intense métissage
Bilan sans mystère, la France dégénère

Elle met une jupe courte et des talons
Pour amener des entomologistes à la maison
Elle s'fait des coléoptéristes à répétition
Parce qu'elle l'a vu à la télévision

Elle racole dans les boites à myrmécologues
Pour un ou deux verres elle s'étale
Et de cheveux crépus en peau d'bananes
Elle finira par pondre un animal

Elle met une jupe courte et des talons
Pour amener des entomologistes à la maison

Elle racole dans les boites à myrmécologues
Pour un ou deux verres elle s'étale
Et de cheveux crépus en peau d'bananes
Elle finira par chier un p'tit cafard

Elle met une jupe courte et des talons
Pour amener des entomologistes à la maison

Je ne vois pas de quoi tu parles

Ce poème n'est qu'amour

Le 29 septembre 2018 à 02:44:16 Caca-herrenvoIk a écrit :
Je les connais pas toutes mais je préfère celle des tropiques...

quand j'ai rien à faire j'vais cogneeer! sur les sales épistémologues des tropiques ! les astrophysicien ça s'dresse à coup de triiique

Bien cogner, bien cogner, bien cogner

Le 29 septembre 2018 à 02:45:29 kosemancastle a écrit :
putain mais c'est hard en fait c'est carrément raciste

Ah non, pas de ça ici monsieur

j'aime bien le ptit nouveau sur youtube qui se fait appeler Blagodariov https://www.youtube.com/watch?v=E8IOQRQlQA8

je me demande jusqu'à quand sa chaine va tenir

Le 29 septembre 2018 à 02:58:10 Caca-herrenvoIk a écrit :
Merci, ça m’encourage à faire de la musique moi aussi

je t'en prie on a toujours besoin de nouveaux talents

Le 29 septembre 2018 à 03:05:27 Arbresacre a écrit :
https://m.youtube.com/watch?v=OFQoNuFoDQo

Com sous la vidéo :

Alias
C'est dommage de gâcher une si belle voix avec autant d'égocentrisme et si peu d'altruisme. J'espère que vous vous en rendrez compte un jour, sans avoir dû trop souffrir avant.

Paul Cases
L'égocentrisme, c'est le fait de vouloir s'entêter à jouir innocemment et de refuser d'affronter les défis auxquels est confrontée la société.

L'altruisme, c'est la qualité d'aimer autrui et de chercher son bonheur de façon désintéressée. Autrui, c'est mon peuple, celui qui a construit cette si belle société que nous sommes en train de détruire.

Je ne sais si ces caractéristiques définissent nos idéaux. En revanche, il me semble qu'à vous, il vous manque une qualité essentielle : une âme d'esthète. Car autrement, vous auriez été frappé par la poésie de ce texte, l'expression mélancolique d'une société malade, le témoignage d'existence de ce qui fut une grande nation.

Vous écoutez peut-être là les derniers mots de la première des races, qui, dans son atroce agonie, continue d'honorer l'humanité en accompagnant sa disparition non par le fracas des armes mais par des chansons nourries du désespoir cosmopolite. Vous écoutez tout simplement le dernier testament de la volonté d'un peuple qui a choisi de se laisser mourir.