Bérégovoy, suicidé et retrouvé dans le canal ?

Un mois après avoir quitté Matignon, Pierre Bérégovoy est découvert, par son chauffeur et son garde du corps, inanimé près de Nevers le 1er mai 1993, sur la berge du canal de la Jonction, le ministre ayant demandé aux deux hommes de le laisser seul pour se promener sur le chemin de halage11. L'enquête de police conclut, de manière formelle, au suicide de Pierre Bérégovoy au moyen de l'arme de service de son officier de sécurité Sylvain Lesport. Elle détermine qu'il s'est emparé du Manurhin .357 Magnum de son garde du corps dans la boîte à gants de la Renault 25 lors d'une halte précédente au lieu-dit du « Peuplier-seul » le long du canal de Sermoise-sur-Loire. Lors de cet arrêt, il a demandé de rester seul dans la voiture pour passer un coup de fil, pouvant ainsi se saisir de l'arme

Ce brave homme politique retrouvé suicidé avec l'arme de son chauffeur, il n'en pouvais plus j'imagine

Faut dire, c'est vachement contraignant d'être premier ministre en France

Son garde du corps qui a malencontreusement oublié son 357 dans sa boîte a gant

Heureusement son grand ami Mitterrand a fait une magnifique cérémonie en hommage à son premier ministre

Circulez, y'a rien à voir

noyé dans 20 centimètre.

avait des traces aux poignets, surement à cause des brindilles retrouvées sur place. On estime qu'il a glissé sur un nénuphar.

La nature est plus dangereuse qu'on ne le pense. L'homme oublie trop souvent le proverbe bulgare : "il faut se méfier de l'eau qui dort" !

Le 13 février 2018 à 23:40:23 Acknowledge a écrit :
C'est surtout que c'est le premier suicidé de deux balles de l'histoire

Mais non monsieur, vous faîtes erreur, je laisse la parole à notre police scientifique

Alors heu oui, donc heu, il arrive très souvent que lors d'un suicide, notamment dans le dos ou derrière la tête, avec le recul un deuxième coup parte, c'est très fréquent

Bien, alors nous en convennons que c'est un SUICIDE