[COMPLOT] la VERITE sur le fusillade de Las Vegas
Un peu de matière à la réflexion pour ceux que ça intéresse :
http://lesakerfrancophone.fr/analyse-tactique-de-la-fusillade-de-las-vegas
Analyse tactique de la fusillade de Las Vegas
Par Brandon Smith – Le 11 octobre 2017 – Source alt-market.com
J’ai laissé un peu de temps pour laisser émerger plus de détails sur la fusillade de Vegas avant d’écrire cet article. Quelques données importantes ont été publiées, mais je dois dire que cela reste l’un des incidents terroristes les plus déroutants depuis des décennies.
Les premières réflexions tactiques et stratégiques appliquées à cette attaque dénotent d’un tireur sophistiqué et expérimenté. Pourtant, la famille et la petite amie de Stephen Paddock nous ont dit qu’il n’y avait aucune indication qu’il ait eu de telles connaissances ou expériences. Il y a eu des décisions tactiques avancées dans tous les aspects de la mise en scène de l’événement, mais il y a aussi eu quelques erreurs flagrantes qui ne cadrent pas. Au-delà de cela, il y a des preuves que Paddock (le soi-disant tireur) n’a pas agi seul, pourtant, le récit officiel officiel continue de nous dire qu’il était un loup solitaire.
Maintenant, chaque événement terroriste de nos jours produit un approvisionnement sans fin de théories alternatives, certaines possibles et certaines ridicules. Je vais garder mes théories à un niveau minimum ici, parce que je ne pense pas que cela soit utile dans ce cas, au-delà du confort pour ceux qui veulent désespérément des explications. Ce que je vais faire, c’est poser quelques questions et signaler les incohérences. Mon but est simplement de montrer qu’il y a des preuves qui indiquent beaucoup plus de complexité dans cette fusillade de Vegas que les médias traditionnels et les fonctionnaires fédéraux ne sont disposés à en discuter.
Tout d’abord, regardons comment l’attaque a été mise en scène par rapport à ce qu’on nous a dit sur le contexte de Stephen Paddock.
Profil psychologique du tireur de masse
Les dispositions psychologiques sont la racine du comportement tactique. Il est important de noter que les fusillades de masse sont un phénomène extrêmement rare malgré la propagande souvent diffusée sur les pages des grands médias. Le profilage psychologique des personnes derrière ces crimes est difficile parce que le nombre de candidats est très faible. Il y a cependant quelques thèmes communs.
Par exemple, de nombreux tireurs de masse sont motivés par la vengeance ou l’envie. Les tireurs présentent souvent des signes de sociopathie, une nature égocentrique et un manque de compassion ainsi que des exemples passés d’abus et de violence envers d’autres personnes et animaux. Il y a aussi habituellement des antécédents de maladie mentale. Dans la plupart des cas, il y a un « événement déclenchant » qui conduit à une rupture psychologique et à une réaction violente.
Selon les témoignages directs des personnes qui ont connu Paddock, y compris sa petite amie, aucun de ces attributs ne semble convenir. Marilou Danley l’a qualifié de « gentil et attentionné », affirmant qu’il n’avait jamais pris aucune mesure qui l’aurait amenée à croire qu’il était capable d’une telle violence. Le seul facteur qui démontre une rupture psychologique potentielle est le fait que Paddock s’est vu prescrire du diazépam, un anti-anxiolitique, les mois précédents, qui est connu pour provoquer une certaine agressivité lorsqu’il est pris à fortes doses.
Paddock a-t-il pris cette drogue en raison d’une anxiété sans rapport et cela a-t-il déclenché sa frénésie de tir ? Ou bien son angoisse était-elle causée par le fait qu’il planifiait déjà une fusillade et que la drogue était destinée à « atténuer le poids psychologique » pour qu’il puisse plus facilement perpétrer l’attaque ?
Paddock s’est vu prescrire ce médicament une fois en 2016 et le 21 juin de cette année. Je n’ai vu aucune preuve qu’il utilisait le médicament dans les jours qui ont précédé l’attaque. La planification méticuleuse de cette attaque, ainsi que la preuve possible que Paddock louait des chambres adjacentes non loin d’importants événements musicaux depuis un certain temps, montre que cela n’a pas été provoqué par une rupture psychologique. Au contraire, il y avait un niveau considérable de pensée critique consciente et de prévoyance.
Il n’y a pas non plus de preuve d’instabilité interne ou de problèmes financiers. Paddock était un multi-millionnaire avec un portefeuille d’investissement immobilier très bien géré. Il était un ancien employé des Postes et vérificateur des comptes, ainsi qu’un employé de la multinationale de la défense Lockheed Martin (je n’ai vu aucune déclaration de Lockheed sur ce qu’il a fait exactement pour eux). Il est à noter que Paddock, âgé de 64 ans, est l’un des plus vieux tireurs de masse de l’histoire récente.
Le père de Paddock, un voleur de banque sur la liste des « plus recherchés » du FBI, n’était pas présent durant les premières années de vie des enfants Paddock selon son frère Eric, ce qui affaiblit l’idée de mauvaises influences environnementales.
Eric Paddock affirme que Stephen n’avait pas non plus de penchant idéologique ou religieux fort et ne se souciait tout simplement pas de ces questions. Je veux dire qu’il n’avait pas de lien apparent avec des opinions extrémistes. Il n’avait pas de profil sur les médias sociaux et la police prétend n’avoir rien trouvé dans ses ordinateurs ou téléphones personnels pour suggérer un motif philosophique ou politique. Jusqu’à présent, je n’ai pas vu un seul élément de preuve, concret et vérifié, prouvant que Paddock croyait à autre chose qu’à gagner de l’argent, à jouer et à voyager dans le monde pour s’amuser.
Personnellement, je trouve cela extrêmement difficile à croire. Stephen Paddock était, à toutes fins pratiques, le parfait « homme normal », un fantôme qui se fondait complètement dans le bruit ambiant, si bien que sa propre famille et sa petite amie n’avaient aucune idée du fait qu’il amassait les armes et avait l’entraînement nécessaire pour programmer l’attaque de Vegas.
Le savoir-faire tactique d’une personne
C’est la zone qui soulève le plus de questions pour moi au sujet de l’incident de Vegas. En tant que tireur tactique chevronné et aussi tireur à longue distance, j’ai immédiatement reconnu certains facteurs étranges. Par exemple, le choix de son perchoir, deux chambres adjacentes au 32e étage du Mandalay Bay Hotel, était plutôt efficace pour plusieurs raisons.
Si vous avez la chance d’étudier des méthodologies de combat anti-snipers ou de discuter avec des anciens combattants impliqués dans des actions anti-snipers en zone urbaine, vous apprendrez que les meilleurs tireurs d’élite ont tendance à choisir des perchoirs à mi-hauteur. Je veux dire qu’ils ne choisissent jamais les points les plus hauts ni les points les plus bas, et ne tirent jamais des points les plus proches ou des points les plus éloignés. Les tireurs d’élite bien entraînés peuvent parfois tirer à partir de 900 mètres ou plus, mais ils préfèrent tirer de la « distance idéale », environ 250 à 350 mètres d’un point élevé se fondant dans une texture opaque au milieu d’un bâtiment ou d’une structure.
Ils le font parce que lorsque les gens (y compris les soldats de combat entraînés) se font tirer dessus, leurs yeux ont naturellement tendance à rechercher les points les plus élevés en arrière-plan et les points les plus proches au premier plan. Choisir des positions à mi-distance rend les tireurs d’élite plus difficiles à repérer rapidement et plus difficiles à repousser.
Je tiens à souligner que les tireurs de masse non entraînés sont plus susceptibles d’entrer dans une foule et de commencer à tirer à bout portant afin d’assurer des coups directs sur les cibles. Paddock a choisi la position d’un tireur qualifié, dont vous pouvez voir une photo dans cet article du New Yorker. Ce n’était PAS la meilleure position possible, mais une très bonne position.
Le choix de Paddock de tirer de cette position dans un grand hôtel avec un bon taux de remplissage a donné une belle couverture à son attaque ; quiconque aurait tenté de le supprimer en ripostant aurait risqué de tuer des personnes innocentes dans le bâtiment. Seule une personne ayant une compréhension du combat anti-sniper, armé un fusil adapté aurait eu la capacité d’arrêter l’attaque de l’extérieur. Le Nevada est un État très souple pour la législation sur le port d’arme dissimulé, et attaquer une foule à courte distance sur le terrain aurait été un scénario à haut risque. Le tir du Mandalay était la chance la plus probable de faire un nombre élevé de victimes sans rencontrer d’opposition, mais cela nécessitait un entraînement approprié.
La première chambre Paddock utilisée dans le Mandalay à l’angle du 32e étage avait une vue dégagée sur la zone de concert et le nord. Elle a une portée en diagonale d’environ 350 mètres et une portée directe d’environ 200 mètres. Lorsqu’ils tirent d’une position élevée, les tireurs d’élite alignent des cibles et les balles tombent en fonction d’une distance linéaire plus courte ou de la « distance balistique réelle » (base du sol vers la cible) plutôt que de la portée directe de leur perchoir à la cible. Ceci est dû au fait que la gravité n’affecte la balle que par rapport à la distance balistique réelle et que l’élévation de la portée doit être ajustée à cette distance. Ce n’est pas aussi facile qu’il semble de toucher les cibles d’une position élevée, même avec une arme « automatique ».
Il a été récemment déclaré par la police de Las Vegas que la « note » trouvée près du corps de Paddock a été griffonnée avec des calculs pour la chute des balles depuis sa position. Ces calculs peuvent être faits avec de nouveaux télémètres laser, mais Stephen a apparemment choisi de les faire sur papier. Le détective Casey Clarkson de Las Vegas était sur le terrain du concert pendant l’attaque et a raconté « Je suis impressionné par sa précision » (en référence à Paddock) dans une interview avec 60 Minutes. Encore un autre élément de preuve montrant que Paddock (ou quelqu’un d’autre) avait un entraînement intensif de tireur.
Les deux chambres adjacentes du Mandalay offraient une couverture étendue des approches possibles pour les premiers tirs contre lui. La première chambre a donné au tireur une bonne couverture du concert et de l’approche nord du Las Vegas Blvd. La deuxième chambre donnait au tireur un très large angle de couverture vers l’approche sud du Mandalay ainsi que l’entrée principale de l’hôtel. On peut noter un savoir-faire tactique bien visible.
Finalement, Paddock aurait placé de petites caméras de surveillance dans la salle proche de sa chambre. Un outil précieux qu’un tireur pourrait utiliser pour surprendre les forces de l’ordre, maintenir une plus longue période d’efficacité du tireur et permettre éventuellement une évasion. La police de Las Vegas est citée indiquant que Paddock avait l’intention de se soustraire à la capture. Cela correspond au reste de sa mise en scène tactique. Son suicide ne l’est pas.
Choses qui ne collent pas
Encore une fois, je ne vais pas entrer dans de grandes discussions sur des théories, ici. Je vais seulement citer quelques exemples de preuves et de récits qui, pour moi, n’ont aucun sens. Commençons…
Le motif. Aucun motif apparent. Paddock menait une vie de luxe ou quasiment. Il avait une relation heureuse avec sa petite amie et n’avait donné aucune indication d’instabilité ou d’affiliation idéologique. Il n’avait pas de casier judiciaire. Il était également bien au-delà de la tranche d’âge moyenne des personnes couramment impliquées dans de tels crimes. Il ne correspond à aucune des caractéristiques des tireurs de masse.
L’arsenal. Paddock a mis beaucoup de réflexion et de planification dans la position de son perchoir. Il avait aussi prévu une potentielle voie pour s’échapper. Il avait les connaissances et l’expérience nécessaires pour calculer des trajectoires de tir précises à partir d’une position élevée à une certaine distance. Mais pour une raison quelconque, l’homme de 64 ans a décidé qu’il était justifié d’amener au moins 23 armes et des centaines de kilos de munitions dans dix valises séparées dans sa chambre du Mandalay Bay. Une personne avec une telle intelligence affichée dans la planification de cet événement sait que la plupart de ces fusils n’étaient pas nécessaires pour atteindre l’effet désiré. Ils étaient très lourds et les déplacer dans le Mandalay Bay ne présentait que des risques inutiles d’être découvert. Sauf, bien sûr, si le plan original impliquait plusieurs tireurs.
Une année étrange ? La famille et les connaissances ont mentionné la propension de Paddock à « disparaître » l’année précédant l’attaque de Vegas. Et, il y a le fait que 33 des 47 armes à feu possédées par Paddock ont été achetées au cours des 12 derniers mois.
Les appels à la sécurité. Paddock a appelé la sécurité de l’hôtel au moins deux fois pour se plaindre de la « musique forte » à l’étage en dessous de lui le jour de la fusillade. Pourquoi un tireur de masse se soucie-t-il ou prend-il le risque de trop attirer l’attention ?
Les fenêtres. Pourquoi, après une planification si minutieuse, Paddock a-t-il exposé sa position en brisant deux fenêtres séparées dans ses chambres adjacentes ? Il y a d’autres façons de fournir un axe de tir moins exposé. Très étrange. Presque comme si la décision de tirer avait été prise soudainement, ce qui ne correspond pas au reste du récit ou des preuves.
Une alarme de chambre « indépendante » mène la sécurité directement à Paddock. Le bureau des shérifs de Las Vegas indique que la sécurité a été directement dirigée vers l’étage d’où Paddock tirait par une « alarme de porte » déclenchée par quelqu’un à trois chambre de la sienne. Maintenant, les autorités ont été forcées d’admettre que cette alarme et la confrontation entre la sécurité et Paddock ont eu lieu AVANT qu’il ne commence sa fusillade. Cela signifie que la police aurait dû être alertée de la présence de Paddock et de son emplacement exact avant l’attaque. Qui a déclenché cette alarme qui a aidé à donner la position de Paddock si tôt, et pourquoi ?
Les caméras de surveillance. Paddock avait une longueur d’avance sur la sécurité, le SWAT et tous ceux qui s’approchaient de ses chambres. Il a tiré sur les agents de sécurité de l’hôtel par sa porte blessant l’employé Jésus Campos. Il avait également des milliers de cartouches de munitions, y compris des cartouches .308 qui pouvaient facilement être tirées à travers plusieurs murs de l’étage de sa chambre d’hôtel. Pourquoi Paddock se préparait-il à s’échapper, utilisant ses caméras pour lui permettre de glisser entre les mains de la sécurité de l’hôtel, équipant les alentours pour anéantir toute une équipe de SWAT qui tenterait de forcer sa chambre, mais décide de se mettre une balle avant que le SWAT ne tente même de pénétrer ? Certaines personnes pourraient soutenir qu’il n’y a pas de logique à l’esprit d’un « fou », mais encore une fois, je n’ai vu aucune preuve que Paddock était fou au-delà de l’acte criminel lui-même. De plus, l’hôtel avait sa propre équipe de surveillance dans le hall près des chambres de Paddock. Personne n’a remarqué un homme plaçant des caméras dans cette zone ?
Plusieurs tireurs ? Le shérif du comté de Las Vegas, Joseph Lombardo, aurait dit qu’il était logique de supposer que Paddock « avait eu de l’aide à un moment donné » dans la mise en scène de l’attaque de Vegas. Pour moi, c’est absolument clair dans la planification tactique. Paddock ne semble pas avoir les antécédents ou la formation pour avoir choisi et mis en scène ce perchoir.
Le rapport suggérant qu’un chargeur de téléphone a été trouvé qui n’appartenait pas à Paddock a depuis été réfuté par la police, ainsi que le rapport que sa clé de chambre a été utilisée pour accéder à sa chambre pendant que Paddock était parti. Bien sûr, la surveillance d’un hôtel prouvant cela d’une façon ou d’une autre devrait être mise à la disposition du public.
Il y a cependant plusieurs témoignages de témoins selon lesquels il pourrait y avoir eu un deuxième tireur, y compris les premiers interviews des premiers intervenants sur la scène. À qui on a dit qu’un tireur se trouvait au 29e étage ainsi qu’au 32e étage. Tous ces témoignages ont été rejetés en raison de la « panique » et du brouillard de la guerre.
La femme mystère. Un témoin sur place au concert a déclaré qu’une femme (et son petit ami apparent) se sont approchés des gens près de la scène 45 minutes avant l’attaque, leur disant qu’ils allaient tous mourir. Elle a ensuite été escortée hors du lieu par la sécurité. Qui était cette femme ? Essayait-elle de menacer les spectateurs ou de les avertir ? Ou était-ce une coïncidence ?
Conclusion
À mon avis, il n’y a tout simplement aucun moyen qu’un homme avec l’histoire et l’arrière-plan de Stephen Paddock ait commis seul ce carnage de Vegas. Il n’y a aucun motif, aucune preuve évidente de maladie mentale, aucun marqueur idéologique et rien à gagner. L’expertise tactique globale affichée montre une très bonne formation. Les théories abondent. Il est possible qu’il ait été utilisé. Il est également possible qu’il ait été secrètement radicalisé et formé, comme l’a toujours affirmé EI depuis l’attaque. Ou, peut-être, il n’a jamais tiré une seule cartouche et d’une façon ou d’une autre, il a fini avec une balle dans la tête dans une pièce pleine de fusils surplombant Las Vegas Blvd. et des dizaines de spectateurs morts.
L’aspect le plus dérangeant de cet événement et du récit des médias dominants, cependant, est ce que ce récit insinue. Il insinue que n’importe qui, même apparemment normal, pourrait un jour simplement « péter les plombs » et assassiner de grandes quantités de personnes en toute impunité. C’est le récit anti-second Amendement personnifié, parce que si « n’importe qui » est capable d’une telle horreur et que le motif est inexistant, la simple existence d’un accès aux armes à feu signifie que nous sommes entourés par des millions de tireurs de masse latents. C’est-à-dire que nous sommes censés craindre tout le monde autour de nous, tout le temps. Je vais écrire sur la solution à ce problème dans mon prochain article. En attendant, je suggère à tout le monde de méditer sur les bizarreries de cet événement et de continuer à se poser des questions.
Brandon Smith
http://lesakerfrancophone.fr/les-limites-de-la-credulite
Pour suivre les liens vidéos numérotés il faut ce rendre sur le site du Saker francophone.
Les limites de la crédulité
Par Dmitry Orlov – Le 17 octobre 2017 – Source Club Orlov
Le terme péjoratif de « théorie du complot » est automatiquement jeté sur n’importe qui ayant la témérité de questionner la véracité des histoires diffusées par les médias américains dominants : refusez de croire ce dont ils vous nourrissent, et vous êtes automatiquement étiqueté comme « théoricien du complot ». Mais que se passe-t-il si vous refusez de théoriser, d’attaquer, d’attribuer, d’insinuer ou d’offrir des versions alternatives, et si simplement vous soulignez que ce qui est prétendu être vrai n’est rien de moins que très peu probable ? Bien sûr, tout est possible ; par exemple, il est possible que chaque personne qui lit cet article attrape instantanément le hoquet. Mais ce n’est pas le plus probable. Si quelqu’un vous disait que tous ceux qui ont lu cet article ont effectivement eu le hoquet, je pense que vous seriez parfaitement en droit de dire que « c’est trop peu vraisemblable pour être vrai ». Vous pourriez refuser d’y croire sans être méprisé comme un « théoricien du complot » et sans être poussé à fournir une sorte de compte rendu alternatif parce que vous n’êtes pas obligé de donner un sens à l’absurdité de quelqu’un d’autre.
Le récent massacre à Las Vegas fournit un bon terrain d’essai pour cette approche.
Il y a beaucoup de détails bizarres dans le compte rendu officiel qui réclameraient une analyse minutieuse, mais nous ne prendrons pas la peine de le faire – parce que ce n’est pas notre travail. Au lieu de cela, nous allons simplement regarder les témoignages oculaires et nous nous poserons une question simple : quelle est la probabilité que toutes ces personnes avancent ce qu’elles ont annoncé d’elles-mêmes ?
Voici une liste de liens vers des vidéos de personnes qui disent avoir été témoins du massacre.
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Si vous les regardez, vous constaterez que toutes ces personnes ont spontanément et instantanément formé la même impression de ce qui se passait et l’ont ensuite exprimée en termes identiques : elles pensaient toutes que ce qu’elles entendaient étaient des « feux d’artifice » ou des « pétards » Et la plupart d’entre elles ont utilisé les mots « pop-pop-pop » pour décrire le bruit. Il y a quelques faits à prendre en compte.
Tout d’abord, ces personnes assistaient à un concert de musique country en plein air et, à ce moment-là, le niveau sonore était généralement supérieur à 100 dB, alors que le tireur étant censé être à 300 mètres, le bruit au bout du canon (150 dB à courte portée) devrait avoir été atténué par la distance, bien en dessous de ces 100 dB. Ainsi, le son des tirs lointains n’aurait pas du être suffisamment démarqué du bruit de fond pour être instantanément perceptible par tous.
Deuxièmement, les tirs automatiques ne sonnent pas du tout comme des feux d’artifice. Voici comment les tirs automatiques typiques sonnent. Et voici à quoi ressemblent généralement le bruit de feux d’artifice. Quelle est la probabilité que 59 personnes aient simultanément, instantanément, pensé que l’un sonnait comme l’autre ? Au risque d’être qualifiés de « théoricien du complot », proposons une alternative : quelqu’un à mis ces mots dans leur bouche – quelqu’un d’incompétent, qui n’a même pas pris la peine de vérifier si les mots avaient un sens.
En plus des innombrables variations sur le thème « Comme des pétards qui éclatent, pop-pop-pop ! », nous avons de nombreuses personnes qui pensent spontanément qu’« il y avait du sang partout » et que « c’était comme une zone de guerre » :
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Il y avait « du sang partout » à l’hôpital Sunrise, un centre de traumatologie de niveau II relativement modeste, qui a accueilli 214 patients, dont environ les deux tiers avaient subi des blessures par balle. Là-bas, Renae Huening, une infirmière en traumatologie, a suivi « une traînée de sang » depuis le parking jusqu’à l’hôpital, où « l’odeur du fer » accablait ses sens. Elle s’est vite retrouvée « glissant » dans des flaques de sang jusqu’à ce qu’elle en soit « couverte ». Jacqueline Rodriguez, aide-soignante, a couru vers son lieu de travail pour trouver « une mare de sang sur toute la zone d’accueil des ambulances ». Le Dr Dan Inglish a été stupéfait par ce qu’il a vu : « Les gens saignaient partout… » Jessica Weisberger, 8 ans au service des urgences, a prononcé ces mots : « le sang semblait être partout, (…) honnêtement, tout semblait plein de sang ». Dorita Sondereker, directrice des services d’urgence à l’hôpital Sunrise, a rappelé qu’il y avait « du sang partout, je veux dire des corps sur des civières partout ». Amber Ratto, une ambulancière, a répété qu’il y avait « du sang jusque dans les couloirs, partout ». Le Dr Michael Seiff a observé « du sang partout (…) du sang partout sur le sol (…) la puanteur du sang » et Jon Dimaya, une infirmière, a sympathisé avec le personnel d’entretien ménager, qui a désespérément essayé de garder le flot de sang à distance : « Je dois avoir heurté chacun d’entre eux nettoyant le sol chaque minute », et elle a rappelé que « le sol était taché de sang tout le temps ». Le Dr Christopher Fisher a décrit des blessures qui étaient « littéralement partout » et une scène qui rappelle « une zone de guerre (…) avec du sang dans les couloirs ». Le technicien Tom Kaiser a été choqué par les « quantités abondantes de sang », tandis que le Dr Allen McIntyre l’a dit aussi clairement qu’il le pouvait : « Il y avait du sang partout ».
Il en a été de même à l’University Medical Center, qui a traité 104 patients. « Il y avait des traînées de sang de la zone des ambulances aux couloirs de l’hôpital et dans les unités chirurgicales ; c’était comme une zone de guerre », a déclaré le PDG Mason Van Houweling. « C’était comme une zone de guerre », a indiqué le Dr Jay Coates, un chirurgien en chef en traumatologie ; « il y avait une zone des traumas remplie d’au moins 70 personnes et des patients empilés partout. » Robert Smith, un spécialiste cardiovasculaire, a confirmé la terrible scène : « Il y avait du sang dans le parking (…) des traînées de sang à environ 20 pieds depuis l’entrée. » À l’intérieur, le Dr Dale Carrison a évoqué un environnement de « chaos contrôlé, d’hôpital médical de combat (…) du sang partout ».
De retour sur le site du massacre, Jeff Buchanan, chef adjoint des pompiers du comté de Clark, ne pouvait pas croire « toutes les traces de sang, les empreintes de sang, la mise en commun des fluides corporels ». Lundi, il a reconnu qu« il y avait des taches de sang partout ». Il ne suffisait pas non plus de fuir le site pour éviter de voir beaucoup de sang partout : Maria Beth Stanfeld s’est retirée à l’hôtel MGM après avoir vu du « sang sur les vêtements des gens » seulement pour trouver l’ascenseur à l’arrêt parce qu’« il y avait du sang partout dans l’ascenseur ». Taylor Winston, un ex-Marine assistant au concert, a décidé de réquisitionner un véhicule pour transporter les blessés. Après avoir trouvé les clés à l’intérieur du premier véhicule qu’il a vérifié, il est entré en action, évacuant 30 blessés à l’hôpital Desert Springs en seulement deux voyages. Plus tard, le vétéran de l’armée Rod Ledbetter retourna à son entrainement, mais il se débattait toujours avec ce qu’il voyait : « Il y avait du sang partout : Excalibur, Louxor, sur les habits, sur la rue principale. » Tara Spangler, assise dans un restaurant de l’autre côté de la rue de Mandalay Bay, pouvait voir la foule paniquée venir vers elle : « Il y avait du sang partout, et ce n’était même pas leur sang. »
Nikita Ronolo se tenait à côté d’un homme qui a subi un tir mortel : « [Il] est juste tombé par terre, du sang partout (…) et j’ai eu du sang sur ma robe. » Après avoir vu un homme en prendre une, Taylor Benge s’est regardé : « Mon jean est couvert de sang, mon t-shirt est couvert de sang, les jambes entières de ma sœur sont couvertes de sang ! » Sara Lake a été protégée du barrage de balles par un inconnu qui a ensuite été touché à la tête : « J’étais couverte de son sang », se souvient plus tard Sara. Lani Langton a vu des « gens ensanglantés exactement partout (…) J’ai seulement eu beaucoup de sang d’autres personnes sur moi, alors les gens pensaient que j’avais été touché ». Pour l’officier vétéran du LAPD John Kline, l’horreur de la nuit évoquait « une zone de guerre ». Bill Shermett, qui a survécu à l’épreuve avec sa petite amie, a essayé de transmettre l’expérience : « On voyait des gens touchés partout, du sang sur tout le monde. Ce n’est pas comme à la télé. Quand on voit des gens saigner partout, c’est une vraie merde ! »
Et donc nous avons 28 personnes qui ont vu du « sang partout », un nombre important d’entre elles qui étaient d’avis que « c’était comme une zone de guerre ». Certaines d’entre elles étaient des spectateurs qui n’avaient jamais vu une grande quantité de sang ou des combattants vétérans qui en ont vu leur part. Et pourtant leurs impressions étaient identiques, et formulées en termes similaires. Quelle est la probabilité que tous ces gens aient simultanément, instantanément formé la même impression et l’expriment dans des termes presque identiques ? Gardez également cela à l’esprit : les blessures par balle ne saignent pas toujours abondamment et elles saignent rarement après les 10 premières minutes, car après cela les vaisseaux sanguins proches se contractent par spasme. De plus, le saignement est de loin l’effet le plus simple d’une blessure par balle à traiter : il suffit d’appliquer une pression directe sur une blessure par balle à son point d’entrée et de sortie pendant environ 10 minutes.
En plus des témoignages de témoins oculaires non crédibles, il existe également des statistiques officielles peu crédibles. Les chiffres définitifs, annoncés tôt le lendemain, ont atteint le chiffre exact de 59 morts et 527 blessés, et ils n’ont pas été mis à jour depuis. Parmi les blessés, pas une seule personne n’est décédée par la suite. Il semble que les deux seules options étaient la mort instantanée ou la guérison rapide. Les grandes foules de victimes, comme celle-ci, tendent à former des distributions normales : certaines meurent immédiatement, d’autres survivent pendant un certain temps ; certaines récupèrent rapidement, certaines nécessitent plusieurs cycles de chirurgie, quelques-unes restent handicapées pour la vie et quelques autres persistent à rester dans le coma. Une distribution bimodale telle que celle à laquelle on nous demande de croire est possible mais extrêmement improbable.
De plus, nous avons des éléments de preuve particulièrement absurdes : certains entretiens avec des blessés sont assez amusants, comme des personnes qui auraient été touchées aux poumons ou avec des balles logées dans leur moelle épinière, aussi fraîches que des roses et répondant joyeusement aux questions de la caméra. Et puis il y a ce personnage, qui a été interviewé par George Stephanopoulos et a dit que son ami a reçu une balle dans la poitrine trois fois. Apparemment, Stephen Paddock était un tireur surhumain. Pensez-y : il était à 500 mètres et au 32e étage et pourtant il a réussi à frapper une seule personne à la poitrine trois fois ! Même un tireur d’élite bien préparé et tirant avec soin des coups simples serait très peu susceptible d’atteindre un tel résultat. Les trois coups dans la poitrine ont réussi à manquer tous les organes vitaux, parce que voici la victime deux jours plus tard, souriante et prête à retourner à la maison à North Pole, en Alaska. (Qui a écrit ce scénario pourri ?) Si vous croyez que Paddock a touché quelqu’un à la poitrine trois fois avec un tir automatique mais n’a pas réussi à le tuer, alors vous croirez probablement n’importe quoi ! Mais peut-être le plus révélateur, si vous regardez la vidéo, vous remarquerez quelque chose appelé « duperie joyeuse » : le plaisir de pouvoir manipuler quelqu’un, souvent rendu visible aux autres en lâchant un sourire à un moment inapproprié. En outre, tous les regards latéraux « racontent » que cette personne ment. Tout ce qu’il faut, c’est un mauvais mensonge, et toute le récit commence à vaciller.
La vérité sur cette affaire peut ne jamais être connue alors que les spéculations à ce sujet abondent. Notez cependant que j’ai refusé de m’engager dans une théorie spéculative. Au lieu de cela, j’ai choisi de souligner l’évidence : ce qu’on nous demande de croire est tellement improbable que cela mérite d’être rejeté d’emblée, avec tous ceux qui osent insulter notre intelligence de cette manière. En fin de compte, une seule question reste : à quel point êtes-vous crédules ?
Dans le cas où la réponse est « extrêmement crédule », je vous garde ce bijou pour la fin : une vidéo d’un gars qui a reçu une balle à l’arrière de la tête. La balle est entrée sous le cuir chevelu et est sortie après avoir voyagé sous la peau pendant trois pouces. Le dos de son crâne n’a pas été rasé ou bandé ; apparemment, il vient de guérir instantanément de lui-même. Il n’y avait pas non plus de traumatisme crânien ou cérébral comme on pourrait le supposer. Vous feriez mieux de le croire !
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par Catherine pour le Saker Francophone
La date peut aussi se retrouver dans le tatouage du chanteur Jason Aldean, un J pour Jason et le valet de pique et un A pour Aldean et l’as de pique. Au black Jack, le valet vaut 10 et l’as 1 (ou 11), comme le 10/1 (1er octobre).
il y a aussi l'histoire des flash au 4 ème étage non élucidé alors que paddock est au 32 em étage .
qui pourrais détruire la théorie du loup solitaire .
d'ailleur dans les photo prise après la tuerie de l'hotel la partie du 4 èm étage est pas visible si je ne m'abuse .
Le 26 octobre 2017 à 19:24:56 colt-defense a écrit :
il y a aussi l'histoire des flash au 4 ème étage non élucidé alors que paddock est au 32 em étage .
qui pourrais détruire la théorie du loup solitaire .d'ailleur dans les photo prise après la tuerie de l'hotel la partie du 4 èm étage est pas visible si je ne m'abuse .
La photo est bien visible sur des footages amateurs, et la vitre n'est pas brisée. Or, les fenêtres de l'hôtel n'ouvrent pas.
http://numidia-liberum.blogspot.fr/2017/10/faux-drapeau-le-massacre-de-las-vegas.html
les témoignages rapportés sont troublants si ils sont vrai .
45 minutes après que l'avertissement "vous allez tous mourir" a été proclamé, une fusillade aux armes automatiques a commencé à descendre sur environ 22.000 personnes participant à ce festival. La première preuve que quelque chose clochait était le fait que l'artiste qui était sur la scène s'est est rapidement éloigné, et que les lumières de la scène ont été éteintes. Puis, mystérieusement, des projecteurs ont été allumés et orientés sur la foule pour mieux l’éclairer. La panique et le carnage ont suivi.
Si c'est vrai, ce bordel
Tu devrais plutôt te renseigner sur ce qu'a apporter cet attentat, non?
Le 26 octobre 2017 à 19:44:50 FeelsBatMan a écrit :
Mais ça t'apporte quoi de savoir qu'il y a anguille sous roche?
Tu devrais plutôt te renseigner sur ce qu'a apporter cet attentat, non?
Et donc, qu' apporte cet attentat? L' obligation pour les hôtels de se munir de portiques détecteurs de métaux? L' interdiction des bump stock? Faire monter la haine des droitards contre les antifas?
Eclaire nous donc stp, d' avance merci.
Le 26 octobre 2017 à 19:16:30 Tresorderackham a écrit :
La date peut aussi se retrouver dans le tatouage du chanteur Jason Aldean, un J pour Jason et le valet de pique et un A pour Aldean et l’as de pique. Au black Jack, le valet vaut 10 et l’as 1 (ou 11), comme le 10/1 (1er octobre).
Ok, j' en parlerai à mon cheval.
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- khey_of_light9
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- 26 octobre 2017 à 18:44:15
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