Sujet sérieux, on m'explique pourquoi la société détruit les hommes ?
Quand je dis détruire les hommes, c'est leur enlever leur virilité et prôné l'égalité voir domination des femmes.
Dans son plus récent ouvrage, Fausse route (Odile Jacob), Élisabeth Badinter, essayiste, philosophe et écrivaine, exprime son inquiétude face aux dérives actuelles du féminisme. Dérives quand, par exemple, on idéalise la maternité et prône le retour des mères au bercail. Ou quand on élargit le concept de harcèlement sexuel au point de le confondre avec le flirt. Car en renvoyant toutes les femmes au statut de victimes et tous les hommes à celui d’exploiteurs et de prédateurs, le féminisme occidental risque de creuser encore plus le fossé entre les sexes.
Nos 12 questions à Élisabeth Badinter…
1. Qu’est-ce qui vous a poussée à parler de déroute du féminisme ?
Élisabeth Badinter : Il y a diverses raisons. Entre autres, j’ai été renversée par le procès qu’on a intenté à un universitaire français accusé de harcèlement sur une de ses étudiantes de 33 ans, parce qu’il lui aurait peut-être mis la main sur le genou dans un taxi. Une poursuite en justice était-elle nécessaire ? La jeune femme aurait pu simplement le remettre à sa place. Des femmes victimes, il y en a en Afghanistan et dans la plus grande partie du monde. Mais arrêtons de dire que toutes les femmes sont victimes de tous les hommes, ce n’est pas vrai !
2. En France, on avance que 10 % des femmes souffrent de violence conjugale. Qu’en pensez-vous ?
Soit dit en passant, c’est trois fois plus qu’au Canada, d’où je viens de recevoir les résultats d’une enquête menée en 2002. Comment expliquer cet écart dont personne ne semble s’étonner ? Quand on regarde les chiffres français de plus près, on constate que le concept de violence conjugale a été étendu à l’extrême et il implique même les remarques désagréables et les tensions conjugales. Alors que ce genre de « violence » va dans les deux sens puisqu’il y a aussi des femmes qui maltraitent ainsi leurs maris.
3. Où commence la violence et où s’arrête-t-elle ?
Quand votre mari vous demande de regarder un film pornographique avec lui, s’agit-il de violence ? Quand un homme qui n’est pas votre supérieur hiérarchique vous fait des avances, est-ce qu’il faut immédiatement recourir à la loi ? Est-ce qu’on n’est pas capable de répondre « fous-moi la paix » sans tout de suite se considérer comme une victime ? Les femmes ne sont pas des bébés ou des enfants impuissantes.
4. En somme, le harcèlement sexuel a une définition si large maintenant qu’on se demande comment on va arriver à se faire draguer !
Comme le dit la féministe américaine Katie Roiphe, « pour recevoir des attentions sexuelles désirées, il faut en recevoir qui ne sont pas désirées ». Penser que les femmes sont les victimes impuissantes d’obsédés sexuels, que l’obsession sexuelle est quasiment dans tous les gestes, dans toutes les paroles, rechercher la transparence dans tous les rapports hommes-femmes, c’est la caricature même du puritanisme. Tant qu’on n’est pas contraint par la force, chacun peut faire ce qu’il veut.
5. Quel bilan faites-vous de deux décennies de combat féministe ?
Après des années de lutte pour l’égalité, les femmes ont pu constater que les hommes ne suivaient pas… Alors qu’elles faisaient toujours la double journée de travail, au bureau puis à la maison. En France, les femmes les mieux formées sont plus souvent au chômage que les hommes. Pour une fille, même bardée de diplômes, trouver un premier emploi s’avère toujours beaucoup plus long que pour un garçon. Je crois que la deuxième génération des filles, celles qui ont vu leurs mères s’agiter, divorcer, etc., se sont dit : « Pas nous. »
6. Une sorte de ras-le-bol des superwomen ?
Les jeunes femmes n’ont pas envie de lutter, de tout assumer comme leurs mères. C’est pour ça qu’elles sont de plus en plus nombreuses à avoir envie de retourner à la maison. J’en veux aux féministes de ne plus se battre pour avoir davantage de garderies ou d’aide pour la garde à domicile. On encourage le travail à temps partiel, donc les travaux les plus mal payés. Quand on accepte ça, comment peut-on après critiquer les 20 % d’écart de salaire entre les deux sexes ? Car l’égalité passe par l’égalité des salaires. Et pour qu’il y ait égalité des salaires, la société doit donner aux mères la possibilité de faire garder leurs enfants dans les meilleures conditions.
7. On a l’impression que les féministes veulent souligner les différences entre les sexes, plutôt que leur égalité. De ce point de vue, la maternité est un plus pour les femmes, non ?
Refaire de la maternité le centre de la vie des femmes, c’est extrêmement dangereux. Nous avons une espérance de vie de 80 ans, et la maternité représente au plus 20 ans dans la vie d’une femme. Au plus ! On ne joue pas toute son existence sur 10 ou 15 ans de sa vie !
8. Mais le fait d’être mère ne donne-t-il pas des qualités distinctives aux femmes dans le domaine professionnel ou en politique, par exemple ?
On entend dire que cette puissance maternelle ferait des femmes des êtres plus attentifs aux autres que les hommes, plus dévoués, qu’elles feraient de la politique de façon moins égoïste, moins ambitieuse, plus concrète… Mais ça n’a pas de sens ! Quiconque connaît un peu les femmes politiques sait que ce n’est pas vrai. Quand on veut faire de la politique, on tient à imposer la loi. Et on impose la loi avec des qualités plus spécifiquement viriles, traditionnelles, que les femmes possèdent, mais certainement pas avec ce discours un peu gnangnan d’une femme à l’écoute des autres et sans ambition personnelle.
9. Quand on soutient que les femmes sont plus à l’écoute, plus concrètes, etc., ne dénie-t-on pas aux hommes ces qualités ?
Exactement. L’homme devient alors le complément négatif de la femme. C’est une grande impasse. Je suis depuis longtemps imprégnée du propos de l’anthropologue Margaret Mead, qui dit que « quand un sexe souffre, l’autre souffre aussi ». Je considère que le féminisme actuel fait fausse route chaque fois qu’il met l’accent sur la femme comme victime, ce qui implique une vision de l’homme comme bourreau.
10. Aujourd’hui, aucun rôle n’est fixe, ce qui peut être très déconcertant pour les hommes comme pour les femmes.
On ne peut pas à la fois demander la liberté et vouloir que les rôles et les identités soient définis d’avance. La liberté va de pair avec un éventail de choix, qui est certes source d’angoisse. Mais si vous voulez le retour des modèles, vous mettez un frein à la liberté. Cela dit, les êtres humains ont un besoin frénétique d’acquérir le sens de leur identité sexuelle et ce long processus passe par une phase où, enfant, on adopte les stéréotypes.
11. Du genre les camions pour les garçons, les poupées pour les filles ?
Oui, et j’en ai fait l’expérience avec mes enfants. Avec les copines de mon âge, on se disait qu’il fallait les mêmes jouets pour tous. On a été démenties de façon royale ! Au bout de très peu de temps, on a dû admettre que nos théories ne tenaient pas. Pour pouvoir être libre à l’égard de son identité sexuelle, il faut déjà pouvoir acquérir cette identité. Après, on en fait ce qu’on veut. Tant qu’un homme ne sait pas qu’il est un homme, il tombe dans le machisme, c’est évident. Tous les machos sont de malheureux bébés à peine certains qu’ils sont des garçons !
12. Pensez-vous qu’il y a un espoir de réconciliation entre les sexes ?
Oui. Parce qu’on vit mieux avec l’autre que sans l’autre. Homme ou femme, on rêve de trouver le compagnon de sa vie, avec qui finir sa vie dans l’amour. Même si on peut très bien vivre tout seul. Comme ce désir de vivre à deux est très fort, je crois qu’on va prendre conscience un jour ou l’autre qu’on a fait fausse route.
Les femmes n’ont ni le sentiment, ni l’intelligence de la musique, pas plus que de la poésie ou des arts plastiques ; ce n’est chez elles que pure singerie, pur prétexte, pure affectation exploitée par leur désir de plaire. Elles sont incapables de prendre une part désintéressée à quoi que ce soit, en voici la raison. L’homme s’efforce en toute chose de dominer directement soit par l’intelligence, soit par la force ; la femme, au contraire, est toujours et partout réduite à une domination absolument indirecte, c’est-à-dire qu’elle n’a de pouvoir que par l’homme, et c’est en lui seul qu’elle exerce une influence immédiate. En conséquence, la nature porte les femmes à chercher en toutes choses un moyen de conquérir l’homme, et l’intérêt qu’elles semblent prendre aux choses extérieures est toujours une feinte, un détour, c’est-à-dire pure coquetterie et pure singerie. Rousseau l’a dit : « Les femmes en général n’aiment aucun art, ne se connaissent à aucun et n’ont aucun génie. » Ceux qui ne s’arrêtent pas aux apparences ont pu le remarquer déjà. Il suffit d’observer par exemple ce qui occupe et attire leur attention dans un concert, à l’opéra ou à la comédie, de remarquer le sans-façon avec lequel, aux plus beaux endroits des plus grands chefs-d’œuvre, elles continuent leur caquetage. S’il est vrai que les Grecs n’aient pas admis les femmes au spectacle, ils ont eu bien raison ; dans leurs théâtres l’on pouvait du moins entendre quelque chose. De notre temps, il serait bon d’ajouter au mulier taceat in ecclesia, un taceat mulier in theatro, ou bien de substituer un précepte à l’autre, et de suspendre ce dernier en gros caractères sur le rideau de la scène.
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
Les émotions avant la logique
Les femmes sont irrationnelles et incohérentes. Elles ont la capacité de raisonner logiquement mais leurs émotions prennent naturellement le dessus. Leur hormone sexuelle dominante, l’oestrogène, est la raison principale à cela. Le taux d’oestrogène d’une femme augmente fortement durant sa phase ovulatoire ce qui l’amène souvent à des changements d’humeurs et contradictions inexplicables. Une partie des femmes ne peuvent même pas supporter la pillule contraceptive pour les mêmes raisons.
Cette émotivité rend les femmes beaucoup plus manipulables que les hommes. J’ai rarement entendu un homme se plaindre de s’être fait avoir par une « belle parleuse ». En revanche, mentir et vendre du rêve à une femme fonctionne à merveille. Si je voulais faire grincer des dents, je dirai même que c’est la raison pour laquelle le pouvoir a donné le droit de vote aux femmes (et aussi aux jeunes, en abaissant l’âge de 21 à 18 ans). Car ces deux catégories sont les plus manipulables, c’est à dire soumises à l’idéologie dominante. Ils ne feront certainement pas la révolution demain et ne voteront même jamais à contre-courant.
Utilisez votre logique. N’écoutez pas ce qu’elle dit, mais regardez ce qu’elle fait. Elle prétend n’aimer que les mecs gentils et romantiques mais finit toujours dans le lit du mec un peu autoritaire et borderline ? Je vous laisse conclure.
Homme actif, femme passive
Les sacrifices et efforts réalisés par l’homme ne peuvent pas être appréciés par la femme. Pour elle, c’est normal, c’était attendu. Elle ne s’en rend même pas compte. Une femme est quotidienement couverte de subtils services rendus, de petites choses qui facilitent sa vie. Quelle est la dernière fois que quelqu’un vous a spontanément proposé un coup de main, payé quelque chose hors évènement particulier ou fait un compliment gratuit qui a ensoleillé votre journée ?
Imaginez que quelqu’un vous offre le café tous les matins pendant 1 an. Au bout de quelque mois, vous ne serez plus reconnaissants. Ce sera l’habitude, la norme. Vous n’y prêterez même plus attention. Mais le jour ou ça s’arrêtera, cela vous manquera. Et vous apprécierez d’autant plus le retour de ce putain de café gratuit.
Les femmes se font offrir le café tous les jours, sans coupure. Explication partielle du succès du mec qui ne fait aucun effort pour la femme (le fameux « bad boy »), car le moindre effort de sa part sera instantanément remarqué et apprécié. Le gentil mec qui offre le café tous les jours, lui, n’est jamais récompensé.
Tous vos efforts ne peuvent être réellement appréciés que si ils sont rares.
« Un couple, ça se construit »
Je n’ai jamais entendu un homme prononcer cette phrase. Quand on se met en couple, on n’attend en réalité rien de la femme, si ce n’est du calme et du sexe. Mais la femme, elle, attend tout de l’homme. Elle a des critères précis. Un couple devrait naturellement fonctionner comme une amitié ou une relation familiale. On apprécie juste les moments passés avec eux, sans attentes particulières. Une femme attend des sacrifices de la part d’un homme. Elle veut qu’il change pour elle, qu’il se conforme à son idéal. Réfléchissons, dans quelle situation doit-elle faire des efforts pour lui ? Exactement. Jamais.
Quand un homme se montre trop amoureux, la femme flippe et perd son désir. Car être amoureux met une pression sur l’autre, qui est obligé de rendre de l’amour sous peine de décevoir. Rendre n’existe pas dans le vocabulaire féminin. Elle prend juste, dans tous les sens du terme. Tous les hommes aimeraient pouvoir se confier à leur femme : avouer leurs sentiments, leurs faiblesses, leurs tracas. Mais à chaque déclaration de faiblesse, même si elle ne l’avouera jamais, elle perd du désir pour lui. Son statut passe progressivement d’amant à ami.
Un homme doit être dominant, non pas par une violence quelconque, mais dans le sens où la femme se repose sur lui, pas l’inverse. Il est l’élément qui maintien le couple grâce à ses sacrifices et décisions. Les femmes ne peuvent pas supporter 2 phrases : « je ne sais pas » et « comme tu veux ». Vous êtes censé savoir, vous êtes censé décider.
Attachement non réciproque
Nous pouvons aimer une femme de manière quasi-inconditonnelle car notre attachement à elle est profond, de par notre investissement personnel et nos efforts fournis. On est toujours attaché aux choses pour lesquelles on s’est impliqué. Car, à moins d’être dingue, des efforts fournis supposent une attente de résultat. Imaginez bosser sur un projet pendant 1 an, en y consacrant toute votre énergie, pour finalement le voir s’effondrer du jour au lendemain. Vous allez avoir le coeur brisé et surtout n’allez pas accepter de l’abandonner comme ça, car vous y êtes attaché, vous l’aimez.
Les enfants ne pourront jamais autant aimer leurs parents que ceux-ci les aiment, car ce sont les parents qui ont fait les efforts et investi leurs ressources (temps, argent, amour, etc.). Les enfants profitent seulement de tout ça, ils n’ont eu aucun effort à faire. Les femmes ne pourront jamais aimer les hommes comme ceux-ci les aiment, pour les mêmes raisons. D’où la hiérarchie suivante, simplement basée sur la quantité d’investissement personnel : Homme -> Femme -> Enfant.
L’amour féminin est temporaire
Son amour semble se dissiper aussi vite qu’il est apparu. Sa recherche constante du meilleur mâle et sa haute émotivité l’empêche d’aimer de manière inconditionnelle. Elle ne vit que sur les émotions, et a un besoin quotidien de se rappeler que vous êtes le bon. La communauté des PUA (Pick-Up Artists, qui sont des dragueurs) appelle ça des shit-test. Elle teste vos limites, pour voir si vous ne vous écroulez pas à la moindre difficulté, ce qui reviendrait dans son esprit à un acte de faiblesse, chose qu’elle ne peut supporter.
Cet amour éphémère pose un problème pour la vision masculine du couple. Elle peut difficilement supporter la routine et se lasse très vite. D’où sa propension à créer du drame à partir de rien. Elle doit ressentir quelque chose, tout le temps, pour se sentir connectée à l’homme, car son amour pour lui n’est que de l’engouement.
« Pourquoi tu ne me dis jamais que tu m’aimes ? » Besoin d’émotions pour se sentir connectée à lui.
« C’est évident que je t’aime, sinon je t’aurai déjà quittée. » La logique suffit. C’est pour lui une évidence.
Incompréhension partagée
L’incompréhension de l’amour féminin empêche l’homme de voir si la femme l’aime ou pas. Il veut croire qu’il puisse être aimé pour ce qu’il est, et non pas pour son utilité ou les émotions qu’il transmet à la femme. Il va donc « construire » sa relation en faisant les efforts qu’il attend en fait d’elle, puisque c’est sa vision masculine de l’amour. Il va rester lui-même. Pourquoi changerait-il puisqu’elle l’a choisi comme ça ?
La routine s’installera dans le couple et sera de plus en plus pesante pour elle. Elle finira par ne plus l’aimer sans qu’il le sache, aveuglé par sa propre perception de l’amour. Une fois qu’il aura compris ce qu’il se passe, ce sera déjà trop tard. Sa réponse logique va être d’essayer de se souvenir de ce qu’il faisait au début. Il ne comprendra jamais que rien n’a changé, et que c’est justement ça le problème. Cette vie plate, confortable et insatisfaisante (pour elle) a détruit son couple. Le manque d’émotions a tué l’amour et le désir de la femme.
Les hommes sont les vrais romantiques
Ce sont les hommes qui se trouent le cul pour déborder d’imagination et innover. Une femme, elle, comme toujours, profite de l’instant. Ce qu’elle perçoit comme romantique n’est jamais quelque chose de planifié, ça doit venir « comme ça », au hasard. Car planification veut dire obligation d’appréciation. C’est à dire que l’homme attend quelque chose en retour, et ça, la femme ne peut pas l’assumer. Elles n’aiment pas se faire aborder, elles préfèrent les rencontres « naturelles ». Il faut forcer ce « hasard » et lui faire croire que cela en est un. Car si on attend que le vrai hasard fasse les choses, rien ne se passe.
L’homme marié qui trompe sa femme avec une plus désirable ne la quittera jamais pour sa maîtresse. Il est excité par la jeune, mais aime sa femme. Car il peut dissocier amour et désir. Quand une femme trompe son conjoint, elle n’a plus de désir pour lui et donc plus d’amour. 75% des divorces sont initiés par les femmes. Une rupture est souvent incroyablement plus douloureuse pour un homme, à cause de son attachement réel et profond. 75 % des gens qui se suicident sont des hommes. On estime que 60 % de ces suicides le sont suite à une rupture amoureuse.
Ces différentes représentations de l’amour sont à la base des incompréhensions et déceptions entre hommes et femmes. Chacun voit l’amour selon son propre paradigme mais n’imagine pas que l’autre puisse avoir des attentes et besoins différents.
Les femmes aiment de manière opportuniste. Les hommes par sacrifice
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- Auteur
- merlinIebleu
- Date de création
- 22 septembre 2017 à 17:10:17
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