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Un trèfle à quatre feuilles est souvent vu comme porte-bonheur.
La chance est un concept qui exprime la réalisation d'un événement, positif, améliorant une situation humaine, ou même par extension toute entité vivante, sans nécessairement qu'il y ait un lien de cause à effet entre le désir et sa réalisation, positive.
La chance relève de l'amélioration d'une situation sans lien causale avec les actions de l'individu, sans action maîtrisée sur le résultat positif atteint. L’étymologie latine du mot et son usage ne peuvent s'appliquer uniquement si l’événement et le résultat sont "tombés" sur un individu en améliorant notablement sa situation. Tout autre explication sémantique, relève plutôt de l'interprétation intellectuelle, managériale, de tendance de mode ou encore de propos de "gourou" à la mode.
Vu sous cet angle, il s'agit d'une superstition si la personne se croit visée par les événements positifs.
Sommaire [masquer]
1 Hors de tout contrôle
2 Jugement fallacieux
3 En tant qu'essence
4 Placebo
5 Comment avoir de la chance ?
6 Articles connexes
7 Références
Hors de tout contrôle[modifier | modifier le code]
La chance existe en dehors de tout contrôle qu'une personne peut exercer sur un événement et sur son résultat. il faut néanmoins un individu pour la qualifier de chance et en faire une lecture positive, autrement cela n'est qu'un événement sans aucun sens, pour personne.
Si un individu se sent visé par l'événement, on peut alors considérer que la chance existe de façon "magique". Certains croient qu'une personne a de la chance, la cultive ou la « provoque ». La chance peut donc être qualifiée de manière irrationnelle :
constitutionnelle : la chance comme propriété intrinsèque. Un endroit de naissance et une constitution génétique en sont des exemples typiques.
circonstancielle : la chance apparaît selon les circonstances. Les accidents et les épidémies en sont les manifestations les plus connues.
cultivée : la chance est le fruit d'une activité intentionnelle. Les exemples les plus frappants sont liés à la sagesse acquise après coup.
Certaines personnes ne croient pas au hasard ou au déterminisme. Dès lors, il leur faut trouver une autre raison pour exprimer la réalisation d'un événement hors de leur contrôle. C'est justement la chance qui sert de raison.
Jugement fallacieux[modifier | modifier le code]
Un rationaliste approche la chance comme l'application de la théorie des probabilités, tout en refusant toutes croyances non scientifiques. Il estime que la chance est une croyance qui naît de raisonnements fallacieux. Le « croyant » voit A survenir, suivi de B. Même si les deux événements n'ont pas de liens causals, il y détecte un lien de cause à effet.
Le cas le plus célèbre de ce type de situation s'est déroulé aux Pays-Bas. À une certaine époque, le nombre de cigognes dans les villages variait de la même façon que le nombre d'enfants. Certaines personnes prétendaient que les cigognes apportaient les enfants, c'est-à-dire qu'elles étaient la cause de ces naissances. Aujourd'hui, nous savons que le toit plat de ces maisons favorisent la sécurité des cigognes. Également, les familles chauffaient plus régulièrement la maison lorsqu'un nouveau-né était présent et les cigognes nichent près des cheminées chaudes. Il s'agit d'événements corrélés, mais pas causals.
Si une personne marche près d'un immeuble briquelé et qu'elle reçoit une brique, il est possible de déterminer les causes physiques qui ont mené à la chute : joints mal faits, immeuble vieillissant, etc. La chute n'est donc plus une fonction des « paramètres » de la personne. Vu de cette façon, toute personne qui marche près de cet immeuble a une chance égale à toute autre de recevoir une brique.
Toujours selon cette approche, la chance est une façon d'exprimer une suite d'événements, bons ou mauvais, survenant sur une longue période de temps. Souhaiter « bonne chance » à quelqu'un n'allongera pas cette période, ce n'est qu'exprimer son désir qu'elle soit plus longue.
En tant qu'essence[modifier | modifier le code]
Il existe aussi toute une panoplie de croyances spirituelles ou surnaturelles envers la chance. Les croyances sont très variées, comme en Amérique du sud où les gens se font aider par des prêtres, lors de rituels, etc. où des personnes possédant des "dons, croyant aux anges". Elles affirment qu'il est possible d'augmenter leur chance en évitant certaines situations[réf. nécessaire].
Placebo[modifier | modifier le code]
Certains encouragent la croyance dans la chance comme étant irrationnelle, mais cela peut favoriser la pensée positive et ainsi améliorer les réponses d'une personne face à une maladie, par exemple. D'autres, tels Jean-Paul Sartre et Sigmund Freud, croient que la chance a plus à voir avec un système de contrôle des événements. Selon cette approche, quelqu'un qui affirme qu'il est malchanceux agit probablement de façon à se mettre dans des situations destructrices. De l'autre côté, les personnes qui se croient chanceuses récoltent peut-être le fruit de leurs choix de vie : recherche du bonheur et vie sociale entretenue, deux activités qui sont probablement des facteurs de protection contre le stress.
Si des personnes vivent des événements « chanceux » et « malchanceux » de façon aléatoire, ceux qui croient en leur chance y verront un bon ou un mauvais augure. Attitude probablement auto-renforcée, elle favorise leur adaptation à l'environnement.
Comment avoir de la chance ?[modifier | modifier le code]
Comme disait Churchill; "La chance n’existe pas; ce que vous appelez chance, c’est l’attention aux détails". Selon Philippe Gabilliet, avoir de la chance, c'est avoir la capacité à gagner les concours de circonstances, c'est avoir la capacité à créer autour de soi un environnement favorable1.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
chance, sur le Wiktionnaire Chance, sur Wikiquote
Probabilité
Superstition
Seven Sisters (What Happened to Monday) est un film de science-fiction américano-belgo-britanniquo-français1 réalisé par Tommy Wirkola, sorti en 2017.
Il est présenté hors compétition sur la Piazza Grande au Festival international du film de Locarno 2017.
Sommaire [masquer]
1 Synopsis
2 Fiche technique
3 Distribution
4 Production
4.1 Genèse et développement
4.2 Distribution des rôles
4.3 Tournage
5 Accueil
5.1 Accueil critique
5.2 Box-office
6 Notes et références
7 Liens externes
Synopsis[modifier | modifier le code]
Face à la surpopulation de la Terre, les autorités ont décidé d’instaurer la politique de l'enfant unique. Cette mesure est appliquée sévèrement par le Bureau d’Allocation des Naissances (Child Allocation Bureau), dirigé par Nicolette Cayman. Quelques années plus tard, Karen, la fille de Terrence Settman, donne naissance à des septuplées. Alors que la mère ne survit pas à l'accouchement, Terrence décide de garder secrète l’existence de ses sept petites-filles malgré la loi. Toutes prénommées d’un jour de la semaine, elles devront rester confinées dans leur appartement. Elles partagent alors une identité unique lorsqu'elles sortent à l’extérieur : celle de leur mère Karen Settman. Cet incroyable secret demeure préservé pendant des années. 30 ans plus tard, en 2073, le stratagème tombe en miettes lorsque Lundi disparait mystérieusement2…
Le scaphisme est un mode d'exécution, attesté dans l'Antiquité et attribué aux Perses, dans lequel le corps de la victime, à l'exception de la tête, des mains et des pieds, est enfermé dans un réceptacle. Ce mot vient du grec σκάφη (skaphè, pl. skaphai), qui peut désigner tout corps creusé, en particulier une auge ou une barque.
Sources historiques Modifier
Plutarque rapporte dans sa biographie du roi de Perse Artaxerxès II (ive siècle/ve siècle av. J.-C.) que cette peine fut appliquée à un Perse du nom de Mithridate, qui s'était vanté d'avoir tué au combat Cyrus le Jeune, frère ennemi du roi, ôtant ainsi au roi l'honneur de ce fait d'armes. Plutarque décrit le supplice ainsi (traduction d'Amyot, légèrement modernisée) :
« L'on prend deux auges, faites exprès si égales que l'une n'excède point l'autre en longueur ni en largeur, et l'on couche sur les reins à la renverse celui qu'on veut punir, dedans l'une d'icelles, et puis le couvre l'on de l'autre, et les coud-on l'une à l'autre : de sorte que les pieds, les mains et la tête du patient sortent dehors par des trous que l'on y fait expressément : le demeurant du corps demeure couvert et caché au-dedans. On lui donne à manger tant comme il veut, et s'il ne veut manger, on le contraint par force en lui poignant les yeux avec des alênes : puis quand il a mangé, on lui donne à boire du miel détrempé avec du lait, et on lui en verse non seulement en la bouche, mais aussi sur tout le visage en le tournant de sorte que le soleil lui donne toujours dedans les yeux, tellement qu'il a la face sans cesse toute couverte de mouches, et faisant dedans ces auges toutes les nécessités qu'il est force que l'homme buvant et mangeant fasse, il vient à s'engendrer de l'ordure et pourriture de ces excréments, des vers qui lui rongent tout le corps jusques aux parties nobles : puis quand ils voient que le patient est mort, ils lèvent l'auge de dessus et trouvent sa chair toute mangée par cette vermine qui s'engendre, jusque dans ses entrailles. Mithridate donc après avoir langui l'espace de dix-sept jours en cette misère, finalement mourut à toute peine. »
Les spécialistes de Plutarque[1] pensent que sa relative antipathie pour les Perses peut lui avoir fait emprunter sans critique cette description à Ctésias, qu'il considérait lui-même comme un historien peu fidèle.
On le retrouve attesté dans les siècles suivants par plusieurs auteurs :
Le néoplatonicien Eunape de Sardes, qui reproduit à peu près la description de Plutarque dans son ouvrage de vitis philosophorum au début du ve siècle (il sait de plus que les Perses appelaient ce supplice skapheusis)
Le chroniqueur byzantin Jean Zonaras au xiie siècle.
Antonio Gallonio (Trattado degli instrumenti di martirio …, Rome, 1591 ; tr. fr. Traité des instruments de martyre et des divers modes de supplice employés par les païens contre les chrétiens; tortures et tourments des martyrs chrétiens, 1605)
Johann Jacob Hofmann, Lexicon Universale, 1698.
Ces ouvrages font la comparaison avec les supplices infligés aux martyrs du christianisme primitif, par exemple à saint Marc d'Arethusa (Syrie), qui, lié à un arbre et enduit de miel et d'un bouillon de poisson, fut piqué à mort par des guêpes et des moustiques. Cœlius Rhodiginus (1469–1525) mentionne dans ses Lectiones antiquae une peine analogue de l'Antiquité, le cyphonisme, dans laquelle le condamné était lié à un pilori (cyphon), enduit de miel et exposé aux insectes. Selon le dictionnaire Webster de 1913, cette peine « est encore en usage dans certaines nations orientales ».
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- 10 septembre 2017 à 15:42:24
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