Le bonheur de retenir sa crotte
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Ce sentiment d'être rempli et le bonheur de se savoir délivré bientôt.
J'imagine que c'est pareil à un accouchement.
Le 03 août 2017 à 03:30:03 EmpereurIdiAmin a écrit :
Le 03 août 2017 à 03:27:55 Soualem a écrit :
T'es du genre à aimer la sodo toi non?Tu penses que la sodo, c'est la même chose ? C'est pas une teub que j'ai dans le cul. En tout cas, pas la teub d'un inconnu. Mais ma merde... C'est une partie de moi qui me donne du plaisir.
Le 03 août 2017 à 03:27:28 CacaMoisiDeChat a écrit :
Putain c'est exquis
Comme je suis d'accord... Il n'y a pas plus grand plaisir.
Le 03 août 2017 à 03:31:23 CacaMoisiDeChat a écrit :
D'ailleurs, cela fait maintenant 4 jours que je me retiens de chier
Moi, ça fait que deux jours. Je lutte (de plaisir) depuis 20 h avec un étron qui veut s'échapper. Une lutte à mort pour le plaisir de mon gros cul... Hmmmmm
STADE ANAL :
Selon la théorie freudienne, cette période se joue de 2 à 3 ans en moyenne. L'enfant découvre le plaisir que lui procure le fait de retenir les matières fécales (rétention) ou de les expulser (défécation). C'est aussi, à cet âge, la période d'opposition. Dans le stade anal et selon la théorie, la perte des excréments est assimilée, par le jeune enfant, à la perte d'une partie de son corps ; l'enfant peut en être angoissé. Le « fruit social » de ce stade anal est l'autonomie dans l'espace.
Vers deux ans, l'enfant commence à maîtriser ses sphincters, et l'anus devient, selon la théorie du stade anal, une zone érogène sous l'influence de l'exigence de propreté exprimée par les parents. L'anus, zone de passage entre l'intérieur du corps et le monde extérieur, est soumis à la volonté de l'enfant qui s'aperçoit qu'il peut empêcher l'expulsion et en retire donc un plaisir de rétention découlant de l'application de sa volonté. Il prend progressivement conscience du soulagement lié au fait de laisser sortir : c'est la découverte du plaisir d'expulsion. Selon cette théorie, il est fréquent que l'enfant s'intéresse à ses selles et les manipule, les explore ou les exhibe (comme il le fait également avec ses jouets).
Le boudin fécal stimule la zone érogène, et est perçu par l'enfant, selon cette théorie, comme une partie de son corps qu'il perd. Cette partie est valorisée et peut donc servir de monnaie d'échange. Aimer signifie à ce stade donner et garder, la possessivité est l'un des aspects dominants du stade anal. L'enfant peut satisfaire sa mère en laissant sortir à l'endroit et au moment où celle-ci le souhaite. Il peut également s'opposer à elle en retenant, c'est le développement d'un sentiment de toute-puissance chez l'enfant. C'est la mère qui imprimera la notion de saleté et le sentiment de dégoût, créant chez l'enfant l'assimilation de ses rejets à un plaisir défendu, à l'interdit. L'enfant peut concevoir la rétention comme une opposition à la mère. L'expulsion est une expression de l'agressivité.
C'est une transition vers un niveau affectif plus complexe durant laquelle l'enfant passe de l'expérimentation du clivage (succession / alternance de sentiments opposés vis-à-vis d'un même objet) à celle de l'ambivalence (mélange de sentiments opposés ressentis simultanément de manière entremêlée).
Le 03 août 2017 à 03:35:00 HommeCultivey a écrit :
STADE ANAL :
Selon la théorie freudienne, cette période se joue de 2 à 3 ans en moyenne. L'enfant découvre le plaisir que lui procure le fait de retenir les matières fécales (rétention) ou de les expulser (défécation). C'est aussi, à cet âge, la période d'opposition. Dans le stade anal et selon la théorie, la perte des excréments est assimilée, par le jeune enfant, à la perte d'une partie de son corps ; l'enfant peut en être angoissé. Le « fruit social » de ce stade anal est l'autonomie dans l'espace.
Vers deux ans, l'enfant commence à maîtriser ses sphincters, et l'anus devient, selon la théorie du stade anal, une zone érogène sous l'influence de l'exigence de propreté exprimée par les parents. L'anus, zone de passage entre l'intérieur du corps et le monde extérieur, est soumis à la volonté de l'enfant qui s'aperçoit qu'il peut empêcher l'expulsion et en retire donc un plaisir de rétention découlant de l'application de sa volonté. Il prend progressivement conscience du soulagement lié au fait de laisser sortir : c'est la découverte du plaisir d'expulsion. Selon cette théorie, il est fréquent que l'enfant s'intéresse à ses selles et les manipule, les explore ou les exhibe (comme il le fait également avec ses jouets).
Le boudin fécal stimule la zone érogène, et est perçu par l'enfant, selon cette théorie, comme une partie de son corps qu'il perd. Cette partie est valorisée et peut donc servir de monnaie d'échange. Aimer signifie à ce stade donner et garder, la possessivité est l'un des aspects dominants du stade anal. L'enfant peut satisfaire sa mère en laissant sortir à l'endroit et au moment où celle-ci le souhaite. Il peut également s'opposer à elle en retenant, c'est le développement d'un sentiment de toute-puissance chez l'enfant. C'est la mère qui imprimera la notion de saleté et le sentiment de dégoût, créant chez l'enfant l'assimilation de ses rejets à un plaisir défendu, à l'interdit. L'enfant peut concevoir la rétention comme une opposition à la mère. L'expulsion est une expression de l'agressivité.C'est une transition vers un niveau affectif plus complexe durant laquelle l'enfant passe de l'expérimentation du clivage (succession / alternance de sentiments opposés vis-à-vis d'un même objet) à celle de l'ambivalence (mélange de sentiments opposés ressentis simultanément de manière entremêlée).
Rien que de lire ça, ça me fait bander, sérieux.
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Données du topic
- Auteur
- EmpereurIdiAmin
- Date de création
- 3 août 2017 à 03:26:58
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