Topic de JamesUnderwood :

Enculer Marion Maréchal le Pen ?

Avec la marseillaise à fond :bave:

Sur le drapeau français :bave:

Et qu'elle porte le bonnet phrygien[[sticker:p/1kki]] .
La baiser et voir son regard partir en couille :bave:

Le 29 avril 2017 à 12:38:25 JeuneRebeuRiche a écrit :
Je valide [[sticker:p/1lmh]]

[[sticker:p/1lmh]][[sticker:p/1lmh]] ALLONS MA QUEUE ET MES BOULES, LE JOUR DU GLAND EST ARRIVE [[sticker:p/1lmh]]

Le 29 avril 2017 à 12:39:15 Hulkamania a écrit :
La baiser et voir son regard partir en couille :bave:

PUTIN TU ME FAIT BANDER [[sticker:p/1lmh]]

Je veux ! :bave:

Le 29 avril 2017 à 12:40:00 KamelAfrica1 a écrit :
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493462395-ejwnymsnwyamanbdgacwzafonoggeimjebinqru37-g-5j0vs5lddaznuf1cvezul8osvdku0q9wxrlsldsv1vkpuz26hhlcshwdsk8rgpk-egsp2smyz4aqhqqmhymqibzselr5-gc6qcjf-tqtfjyfiukc76puntfn5zkti-os.png

Chevalier Dupont-Aignan valide pour une séance de branlette. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493460395-dupont.png

Le 29 avril 2017 à 12:37:47 JamesUnderwood a écrit :
Avec la marseillaise à fond :bave:

Sur le drapeau français :bave:

Et elle cosplay en Jeanne d'arc. :bave:
Et elle hurle "SOUILLE MOI COMME LES ANGLAIS PENDANT LE PROCÈS"

J'habite non loin de l'Assemblée Nationale. En conséquence, j'ai pour l'habitude de croiser députés et ministres : Manuel Valls, Christiane Taubira, Bruno Le Roux, Christian Jacob, Jean-Frédéric Poisson, je les ai tous croisés.

Mais Marion Maréchal Le Pen est la seule que j'ai sodomisé, et durement.

Je ne vous le cache pas, mes sensibilités politiques sont plutôt à gauche. Je n'ai jamais eu de problèmes à me considérer comme progressiste, et je n'y vois rien qui sorte de l'ordinaire. Je ne suis pas particulièrement véhément avec mes opinion politiques. Mais Marion Maréchal Le Pen, elle, reconnaît sa proie dès qu'elle la voit. Car Marion Maréchal Le Pen est un prédateur. Un prédateur avec un anus affamé.

J'étais assis à la terrasse d'un café non loin de l'Assemblée quand je la vis pour la première fois. A première vue, je la reconnaissais vaguement mais n'étais pas sûr que ce fût elle. Après quelques instants, je me résolus à l'évidence : il s'agissait bien de Marion Maréchal Le Pen, et la sirène de l'extrême-droite me lançait des oeillades que je n'osais penser suggestives.

Retournant à mon livre et à mon café, je ne la vis pas se lever et s'approcher de moi. Quand je relevai les yeux, Marion Maréchal Le Pen était là, droite, me toisant du regard.

"L'étranger d'Albert Camus, hein ?
- Oui, répondis-je. C'est un très bon livre.
- Un très bon livre si vous êtes un crypto-communiste sans culture, fit-elle comme une évidence.
- Euh, peut-être, je sais pas..."

Elle soupira.

"Je n'ai pas assez de temps pour lister tout ce que tu ne sais pas. Puis-je m'asseoir ?"

J'acquiesçai.

Elle s'assit et ne dit rien. Marion Maréchal Le Pen n'appréciait visiblement pas les bavardages plaisants. Hésitant, je repris la lecture de mon livre, ce qui sembla l'énerver.

Un jeune chevelu passa non loin, montrant tous les signes du militant d'extrême-gauche - sans doute étudiant à Sciences Po. Elle l'arrêta et lui dit brutalement :

"1. Coupe-toi les cheveux. 2. Prends une douche. 3. Trouve-toi un boulot, espèce de sale hippie. Tu es probablement trop drogué pour te souvenir de cette liste donc écris-la, si tu sais écrire".

Le jeune hippie, violemment émasculé et secoué dans ses convictions, s'en fut d'un pas pressé. Marion Maréchal Le Pen se tourna vers moi, un étrange mélange de désir animal et de haine dans ses yeux.

"Qu'est-ce que penses du Brexit ? Excellente décision ou très bonne décision ?
- Et bien, c'est une décision stupide. Le Royaume-Uni a besoin du commerce avec l'Union européenne et des opportunités qu'elle offre pour son marché des services. Par ailleurs les Britanniques veulent l'accès au marché unique sans la liberté de mouvement, ce qui est une absurdité. Le Brexit révèle surtout que les plus vieux ont trahi les jeunes générations.
- On dirait que tu ne soutiens pas la souveraineté nationale, dit-elle d'une voix venimeuse.
- La souveraineté nationale n'est pas un absolu et a de moins en moins de sens dans notre monde de plus en plus mondialisé. Nos économies sont tellement liées qu'il semble logique d'exercer certaines compétences en commun pour réguler ça semble du bon sens - pourvu qu'il y ait les procédures démocraties, bien entendu.
- Oui ? Oui ?, chuchota-t-elle, l'excitation palpable dans sa voix.
- Et puis très franchement, il ne faut pas oublier que les Etats-Nations ne sont que des constructions sociales, comme l'a très bien démontré Perry Anderson, et donc que c'est un concept qui peut être dépassé.
- Tu habites où ?
- ...euh, pas loin, à 5 minutes...
- Amène-moi."

Quand nous arrivâmes à mon appartement, elle l'inspecta, et me regarda, un peu dépitée.

"Je pensais que tu aurais au moins un drapeau algérien et quelques drapeaux français à moitié brûlés.
- C'est ridicule. J'aime mon pays.
- Oui, oui, c'est ça, dit-elle. Tu n'as rien de méchant à dire sur le général de Gaulle ?
- Comme quoi ?
- Comme dire que c'était un fasciste, un dictateur, un réactionnaire - le genre de trucs que disent les gauchistes.
- Pour être honnête, je n'aime pas trop ce qui est dit sur le général de Gaulle, ou les accusations qu'ont lancé les manifestants de 68 à son égard. Par ailleurs, je n'oublie pas l'homme de la Résistance, ni le respect dû à la fonction présidentielle. Voulez-vous quelque chose à boire ?
- Je crois que c'était une erreur de venir ici, fit-elle en partant.
- Cela dit, il y a plusieurs politiques du général avec lesquelles je ne suis pas d'accord..."

Elle s'arrêta.

"Lesquelles ?
- Je sais pas, nommez en une.
- Amène-moi à boire d'abord."

Avec chaque argument que j'exprimais qui allait à l'encontre de l'un de ses points de vue, elle retirait un vêtement. Très vite, elle était assise nue sur mon canapé, caressant nonchalamment ses poils publien impeccablement taillés en ticket de métro. Dans son regard, je voyais certes de la luxure, mais non encore une invitation. La boule qui s'était nouée dans ma gorge n'était dépassée en taille que par celle qui grandissait dans mon caleçon.

J'étais nerveux car nous étions tombés d'accord sur deux points - la possibilité d'augmenter la part des énergies renouvelables dans le panier énergétique français et l'importance de l'investissement public - et je remarquai que ses tétons délicats n'étaient plus durs. Fort heureusement pour moi, Marion Maréchal Le Pen était déterminée.

"Que penses-tu, dit-elle, provocatrice, de la proposition du FN de réinstaurer le protectionnisme ?"

Je soupirais avec soulagement. Ce n'était pas une question, mais une promesse, presque aussi explicite que si elle m'avait demander d'aller chercher un moyen contraceptif.

"Je crois que c'est un exemple typique de l'incurie économique du programme du FN.
- Que veux-tu dire ?, demanda-t-elle suavement." Je remarquai que ses tétons durcirent et pointèrent à nouveau. Elle s'agenouilla, me poussa et souleva mes jambes en l'air.

"Le protectionnisme est une idée économique dépassée qui n'aura que des effets économiques négatifs sur les Français".

Je sentais son souffle chaud aérer mon fondement alors qu'elle me soulevait les testicules. "Oui ? Oui ?"

"C'est un transfert de richesse des ménages français vers les plus grandes entreprises françaises. Protégées, elles n'auront plus besoin d'être plus compétitives, de proposer des meilleurs produits à des prix plus attractifs". Cela devenait difficile de maintenir un argumentaire cohérent alors que sa langue lustrait mon anus.
"Ne...t'arrête...pas !..." supplia-t-elle, la tête enfouie dans mon cul.
- En réalité le protectionnisme est une solution de repli et de fermeture qui fera du mal au consommateur et enrichira des grands patrons, alors que l'ouverture des frontières économiques a démontré qu'elle était économiquement et moralement plus utile et efficace".

Elle se leva d'un coup, et se jeta sur le canapé à quatre pattes. Elle me regarda par-dessus son épaule, une faim dévorante dans son regard. Elle pointa vers son bel anus rose pulsant.

"Tu vois ça ?"

Je hochai de la tête.

"Je veux que tu le détruises".

Je l'encule toute la nuit avec mon sexe d'etranger !!

M'endormir la bite dans son cul

Le 29 avril 2017 à 12:41:45 Max-kilian a écrit :

Le 29 avril 2017 à 12:37:47 JamesUnderwood a écrit :
Avec la marseillaise à fond :bave:

Sur le drapeau français :bave:

Et elle cosplay en Jeanne d'arc. :bave:
Et elle hurle "SOUILLE MOI COMME LES ANGLAIS PENDANT LE PROCÈS"

JE VAIS JOUIR PUTAIN [[sticker:p/1lmh]][[sticker:p/1lmh]][[sticker:p/1lmh]]

Le pavé de JeanCroutenard :rire:
AYAAAAAA https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

Données du topic

Auteur
JamesUnderwood
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29 avril 2017 à 12:37:47
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