La jeune Marine sort beaucoup, fume beaucoup, et se rend très fréquemment au Palace ou au Keur Samba, le «meilleur night-club afro de Paris», où elle danse le zouk, selon un ancien habitué. À l’époque, son engagement politique est encore très discret.
Elle est alors inscrite comme commise d’office à la XXIIIe chambre, où elle se construit la réputation de «rempart des expulsés», en défendant bon nombre de migrants sans-papiers.