[OFFICIEL] François Fillon 2017

Le 27 mars 2017 à 19:10:52 IMPERATOR-XXI a écrit :
FILLON PRÉSIDENT

c'est dingue comment l'oligarchie journalistique s'en bats complètement les couilles du scandale d'état du cabinet noir d'Hollande.

JOURNALISTES COMPLICES

Il y a une fatwa médiatique contre Fillon

Je pense que Fillon fait l'objet d'une cabale car catholique et incarnation d'une ancienne France.

Néanmoins, même sans cela, hors de question pour moi de voter pour lui. Tout comme Sarkozy il aurait eu de mauvais résultat eu égard à ses promesses qu'il n'aurait qu'à moitié appliqué, empêtré dans des affaires (et en tant que libertarien, mon avis est que abuser de l'argent du contribuable devrait vous mener à la peine de mort), le paysage politique aurait été le même au final.

Je voulais voter NDA (Ololol tu vas faire élire Macron)mais finalement je voterai blanc et n'attend qu'une chose, de voir la France imploser, car c'est bel et bien ce qui va se passer.

Le 30 mars 2017 à 14:27:05 Latiole a écrit :
Je pense que Fillon fait l'objet d'une cabale car catholique et incarnation d'une ancienne France.

Néanmoins, même sans cela, hors de question pour moi de voter pour lui. Tout comme Sarkozy il aurait eu de mauvais résultat eu égard à ses promesses qu'il n'aurait qu'à moitié appliqué, empêtré dans des affaires (et en tant que libertarien, mon avis est que abuser de l'argent du contribuable devrait vous mener à la peine de mort), le paysage politique aurait été le même au final.

Je voulais voter NDA (Ololol tu vas faire élire Macron)mais finalement je voterai blanc et n'attend qu'une chose, de voir la France imploser, car c'est bel et bien ce qui va se passer.

Pas catholique, sa religion c'est le mondain, avide d'argent, sa religion est celle de pharaon

http://cdn3-new-parismatch.ladmedia.fr/var/ifop/31-03-2017.pdf?version=14aa3f6b

Fillon au plus bas, plus que 2,5 pts d'écart entre lui et Mélenchon. La honte que ça va être le 23 avril pour lui

Le 31 mars 2017 à 19:14:54 chirac2017 a écrit :
http://cdn3-new-parismatch.ladmedia.fr/var/ifop/31-03-2017.pdf?version=14aa3f6b

Fillon au plus bas, plus que 2,5 pts d'écart entre lui et Mélenchon. La honte que ça va être le 23 avril pour lui

Macron 26% alors qu'il enchaîne bourdes sur bourdes

François Fillon (prononcé [fʀɑ̃ˈswafiˈjɔ̃]), né François Charles Amand Fillon1 le 4 mars 1954 au Mans, est un homme d'État français. Il est successivement membre du Rassemblement pour la République (RPR), de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et de Les Républicains (LR).

Entré en politique en tant qu'assistant parlementaire du député Joël Le Theule, il reprend son fief électoral dans la Sarthe, où il exerce, entre 1981 et 2007, les mandats de député, de maire de Sablé-sur-Sarthe, de président du conseil général, puis de sénateur. Il est également, de 1998 à 2002, président du conseil régional des Pays de la Loire. Des dernières années 1980 à la fin des années 1990, il est proche de Philippe Séguin et du « gaullisme social ».

Il est ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement d'Édouard Balladur (1993-1995), puis ministre des Technologies de l'Information et de la Poste (1995) et ministre délégué chargé de la Poste, des Télécommunications et de l'Espace (1995-1997) dans les deux gouvernements d'Alain Juppé. Après la réélection de Jacques Chirac à l'Élysée, François Fillon est ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité (2002-2004) ; il accomplit des réformes structurelles sur la durée du travail et sur les retraites. En tant que ministre de l'Éducation nationale et « numéro deux du gouvernement » (2004-2005), il fait voter la loi Fillon pour l'éducation.

Le 17 mai 2007, à la suite de la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, il est nommé Premier ministre, conduisant trois gouvernements et étant l'unique chef de gouvernement de la législature. Il quitte ses fonctions le 10 mai 2012, après la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. Il est le deuxième Premier ministre, après Georges Pompidou, dans l'ordre de durée de présence en continu à Matignon.

Il est élu député de Paris en juin 2012. Candidat à la présidence de l'UMP en novembre 2012, il conteste les résultats annoncés par les instances du parti qui placent Jean-François Copé à sa tête ; il décide alors de la création d'un groupe parlementaire distinct du groupe UMP, le Rassemblement-UMP, qui est dissous après quelques semaines d'existence, à la suite de la conclusion d'un accord avec Copé.

Candidat à la primaire de la droite et du centre de 2016, il défend un programme libéral-conservateur. Il l’emporte au second tour face à Alain Juppé et devient le candidat de son camp pour l'élection présidentielle de 2017.Élection présidentielle de 2017
Primaire de la droite et du centre de 2016
Article connexe : Primaire française de la droite et du centre de 2016.

François Fillon se déclare candidat à la primaire « ouverte » de la droite et du centre le 9 mai 2013, au cours d'une visite au Japon152, puis confirme sa candidature le 15 avril 2015153,154. Revendiquant son intégrité, il prend pour slogan « Le courage de la vérité »155. Tirant les « leçons » de son « expérience », il définit ses priorités : présenter un projet pour la France et une équipe chargée de le mettre en œuvre longtemps à l'avance et faire adopter par le Parlement dix mesures fortes dans les trois mois qui suivent l'élection présidentielle pour « débloquer la situation économique »154. Tout au long de sa campagne, il assume la « radicalité » de son programme156,157. Il s'engage à ne pas se représenter s'il remporte l'élection présidentielle158.
Logotype de François Fillon pour la primaire de la droite et du centre.

En septembre 2015, il publie son livre-programme, Faire, détaillant la stratégie de « la thérapie de choc » qu'il veut administrer à la France en 2017 et pour « redonner à la France sa « liberté » »159,160. Avec près de 75 000 exemplaires écoulés en 2015, il s'agit du 2e livre de personnalité politique le plus vendu cette année-là161. Son ouvrage Vaincre le totalitarisme islamique, publié en septembre 2016, s'est écoulé à plus de 52 000 exemplaires à la fin de l'année, en 8e position des livres de personnalités politiques pour l'année 2016162.

En octobre 2016, alors qu'il est crédité d'une bonne prestation pendant le premier débat télévisé mais qu'il reste dans les études d'opinion largement distancé par Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, voire par Bruno Le Maire, il affirme qu'il ne croit pas les sondages et qu'il sera finalement élu. Il annonce qu'il nommera « un commando de quinze ministres » dont il annoncera les noms peu après la primaire163,164. Dans les derniers jours de la campagne, sa candidature rencontre un écho positif dans l'opinion165.

Au premier tour de la primaire, le 20 novembre, il obtient 1 890 266 voix, soit 44,1 % des suffrages exprimés, devant Alain Juppé, qui obtient la deuxième place avec 28,6 % des voix166. Il s'agit, pour Jean-Daniel Lévy, directeur du département Politique et Opinion de Harris Interactive, d'une dynamique d'une puissance inédite dans l'histoire électorale française ; selon lui, « jamais un candidat n’avait réussi à émerger d’une manière aussi nette et rapide aux yeux des Français167. »

Après les résultats du premier tour, François Fillon engrange les soutiens de Nicolas Sarkozy168, de Bruno Le Maire169, de Jean-Frédéric Poisson170 et d'Hervé Morin, président du Nouveau Centre171. Près de 50 % des parlementaires ou des membres du bureau politique des Républicains se prononcent en sa faveur, contre moins de 25 % pour Alain Juppé172. Il enregistre également le soutien de personnalités d'extrême droite, dont des « anciens membres du Front national, en rupture de ban avec leur parti »173,174. Pendant l'entre-deux tours, 215 députés et sénateurs de la droite et du centre lui apportent leur soutien en dénonçant les attaques virulentes d'Alain Juppé depuis la fin du premier tour de la primaire175,176.

Le 27 novembre 2016, à l'issue d'un second tour ayant mobilisé 4,4 millions d'électeurs, François Fillon l'emporte largement sur Alain Juppé, avec 66,5 % des voix177. Le conseil national des Républicains valide sa nomination le 14 janvier 2017178.
Campagne présidentielle
Article connexe : Élection présidentielle française de 2017.

Peu après la primaire, ses propositions concernant la sécurité sociale créent de la confusion179 et plusieurs de celles-ci disparaissent temporairement de son site de candidat180. De même qu'il supprime sa proposition controversée de réserver à la Sécurité sociale le remboursement des seules affections graves, il diminue fortement le plan d’économies envisagé pour les collectivités locales. Au lieu de baisser « 20 milliards » d’économies sur les dotations des collectivités locales d'ici 2022, il annonce le 22 mars réduire de plus de moitié cet objectif à « 7.5 » 181