[Risitas] From Human to Légume
SuppriméLe 04 mars 2017 à 15:34:16 Link-kenedy a écrit :
Baisse de moral, je vis mal la sortie du nouveau Zelda, je suis fan de la série depuis tout petit et j'attendais le nouvel épisode depuis des années
Putain khey comment tu fous le bad
Le 04 mars 2017 à 15:34:16 Link-kenedy a écrit :
Baisse de moral, je vis mal la sortie du nouveau Zelda, je suis fan de la série depuis tout petit et j'attendais le nouvel épisode depuis des années
Tain khey je voulais balancer une blague mais je me suis retenu. Faut savoir être sérieux des fois. C'est tellement triste en vrai bordel
Courage Link nous te soutenons
Prend ton temps pour nous rédiger la suite et prend soin de toi surtout
Le 04 mars 2017 à 15:34:16 Link-kenedy a écrit :
Baisse de moral, je vis mal la sortie du nouveau Zelda, je suis fan de la série depuis tout petit et j'attendais le nouvel épisode depuis des années
T'inquiète pas il a l'air nul le nouveau zelda, tout vide et testé par des journalistes vendus. Nintendo s'est foutu de notre gueule avec ce downgrade de l'extrême. Je t'assure tu rates rien
"COMMENT TRANSFORMER LA MALADIE EN ILLUMINATION"
Si une personne a une grave maladie et accepte totalement sa situation, n'aura-t-elle pas complè- tement perdu la volonté de retrouver la santé ? La détermination qui la pousserait à lutter contre la maladie n'aurait-elle pas disparu ?
Lâcher prise, c'est accepter intérieurement ce qui est sans réserve. Ce dont il est question ici, c'est de votre vie – en cet instant – et non des circonstances ou de ce que j'appelle vos conditions de vie. Nous en avons déjà parlé.
C'est ce que cela veut dire en ce qui a trait à la maladie. La maladie fait partie de vos condi- tions de vie. Elle a un passé et un futur qui se perpétuent sans fin, sauf si l'instant présent, qui a le pouvoir de racheter, est activé par votre présence consciente. Comme vous le savez, derrière les diverses circonstances qui constituent vos conditions de vie – présentes dans le temps –, il y a quelque chose de plus profond, de plus essentiel : votre vie, votre Être même dans l'éternel présent.
Comme il n'y a aucun problème dans le moment présent, il n'y a pas de maladie non plus. Quand quelqu'un adopte une croyance vis-à-vis de votre état et vous colle ainsi une étiquette sur le dos, celle-ci amène l'état à s'installer pour de bon, lui donne du pouvoir et fait d'un déséquilibre temporaire une réalité apparemment immuable. La croyance confère non seulement réalité et consistance à la maladie, mais aussi une continuité temporelle qu'elle n'avait pas auparavant. En vous concentrant sur l'instant et en vous retenant de l'étiqueter mentalement, la maladie est réduite à un ou à plusieurs des facteurs suivants : la douleur physique, la faiblesse, l'inconfort ou l'invalidi- té. C'est ce face à quoi vous lâchez prise maintenant, et non pas à l'idée de la maladie. Permettez à la souffrance de vous ramener de force dans le « maintenant », dans un état d'intense et consciente présence. Utilisez-la pour arriver à l'éveil.
Le lâcher-prise ne transforme pas ce qui est, du moins pas directement. Il vous transforme, vous. Et quand vous êtes transformé, c'est tout votre monde qui l'est. Pourquoi ? Parce que le monde n'est qu'un reflet. Nous avons déjà parlé de cela.
Si vous regardiez dans un miroir sans aimer ce que vous y voyez, il faudrait que vous soyez fou pour vous attaquer à votre réflexion. Et c'est précisément ce que vous faites lorsque vous ne vous acceptez pas. Évidemment, si vous attaquez l'image, celle-ci vous le rend coup sur coup. Par contre, si vous l'acceptez quelle qu'elle soit, si vous vous montrez amical envers elle, elle ne peut que l'être envers vous. C'est la façon de changer le monde.
Le problème, ce n'est pas la maladie, c'est vous, aussi longtemps que le mental contrôle les choses. Lorsque vous êtes malade ou invalide, n'ayez pas le sentiment d'avoir échoué d'une manière ou d'une autre, ne vous sentez pas coupable. Ne reprochez pas à la vie de vous avoir traité injuste- ment et ne vous faites pas non plus de réprimandes. Tout cela, c'est de la résistance. Si vous avez une maladie grave, servez-vous-en pour atteindre l'illumination. Tout ce qui peut arriver de « mal » dans votre vie doit vous amener vers cet état. Dissociez le temps de la maladie. Ne conférez ni pas- sé ni futur à la maladie. Laissez-la vous ramener de force dans l'intense conscience du moment pré- sent et observez ce qui se passe.
Devenez un alchimiste. Transformez le vulgaire métal en or, la souffrance en conscience, le malheur en une occasion d'éveil.
Êtes-vous gravement malade et ce que je viens de dire vous met-il en colère ? Alors, c'est le signe flagrant que votre maladie a fini par faire partie du sens que vous avez de vous-même et que vous protégez votre identité, en même temps que vous protégez votre maladie. La circonstance qui porte l'étiquette « maladie » n'a rien à voir avec ce que vous êtes vraiment.
c'est qu'un petit extrait de la fin du livre... si ça t'intéresse d'avantage voici le lien: http://tao-et-sophrologie.fr/wp-content/uploads/2010/11/Eckhart_Tolle_Le_Pouvoir_du_Moment_Present.pdf
Le 07 mars 2017 à 13:57:37 klose2081 a écrit :
"COMMENT TRANSFORMER LA MALADIE EN ILLUMINATION"Si une personne a une grave maladie et accepte totalement sa situation, n'aura-t-elle pas complè- tement perdu la volonté de retrouver la santé ? La détermination qui la pousserait à lutter contre la maladie n'aurait-elle pas disparu ?
Lâcher prise, c'est accepter intérieurement ce qui est sans réserve. Ce dont il est question ici, c'est de votre vie – en cet instant – et non des circonstances ou de ce que j'appelle vos conditions de vie. Nous en avons déjà parlé.
C'est ce que cela veut dire en ce qui a trait à la maladie. La maladie fait partie de vos condi- tions de vie. Elle a un passé et un futur qui se perpétuent sans fin, sauf si l'instant présent, qui a le pouvoir de racheter, est activé par votre présence consciente. Comme vous le savez, derrière les diverses circonstances qui constituent vos conditions de vie – présentes dans le temps –, il y a quelque chose de plus profond, de plus essentiel : votre vie, votre Être même dans l'éternel présent.
Comme il n'y a aucun problème dans le moment présent, il n'y a pas de maladie non plus. Quand quelqu'un adopte une croyance vis-à-vis de votre état et vous colle ainsi une étiquette sur le dos, celle-ci amène l'état à s'installer pour de bon, lui donne du pouvoir et fait d'un déséquilibre temporaire une réalité apparemment immuable. La croyance confère non seulement réalité et consistance à la maladie, mais aussi une continuité temporelle qu'elle n'avait pas auparavant. En vous concentrant sur l'instant et en vous retenant de l'étiqueter mentalement, la maladie est réduite à un ou à plusieurs des facteurs suivants : la douleur physique, la faiblesse, l'inconfort ou l'invalidi- té. C'est ce face à quoi vous lâchez prise maintenant, et non pas à l'idée de la maladie. Permettez à la souffrance de vous ramener de force dans le « maintenant », dans un état d'intense et consciente présence. Utilisez-la pour arriver à l'éveil.
Le lâcher-prise ne transforme pas ce qui est, du moins pas directement. Il vous transforme, vous. Et quand vous êtes transformé, c'est tout votre monde qui l'est. Pourquoi ? Parce que le monde n'est qu'un reflet. Nous avons déjà parlé de cela.
Si vous regardiez dans un miroir sans aimer ce que vous y voyez, il faudrait que vous soyez fou pour vous attaquer à votre réflexion. Et c'est précisément ce que vous faites lorsque vous ne vous acceptez pas. Évidemment, si vous attaquez l'image, celle-ci vous le rend coup sur coup. Par contre, si vous l'acceptez quelle qu'elle soit, si vous vous montrez amical envers elle, elle ne peut que l'être envers vous. C'est la façon de changer le monde.
Le problème, ce n'est pas la maladie, c'est vous, aussi longtemps que le mental contrôle les choses. Lorsque vous êtes malade ou invalide, n'ayez pas le sentiment d'avoir échoué d'une manière ou d'une autre, ne vous sentez pas coupable. Ne reprochez pas à la vie de vous avoir traité injuste- ment et ne vous faites pas non plus de réprimandes. Tout cela, c'est de la résistance. Si vous avez une maladie grave, servez-vous-en pour atteindre l'illumination. Tout ce qui peut arriver de « mal » dans votre vie doit vous amener vers cet état. Dissociez le temps de la maladie. Ne conférez ni pas- sé ni futur à la maladie. Laissez-la vous ramener de force dans l'intense conscience du moment pré- sent et observez ce qui se passe.
Devenez un alchimiste. Transformez le vulgaire métal en or, la souffrance en conscience, le malheur en une occasion d'éveil.
Êtes-vous gravement malade et ce que je viens de dire vous met-il en colère ? Alors, c'est le signe flagrant que votre maladie a fini par faire partie du sens que vous avez de vous-même et que vous protégez votre identité, en même temps que vous protégez votre maladie. La circonstance qui porte l'étiquette « maladie » n'a rien à voir avec ce que vous êtes vraiment.c'est qu'un petit extrait de la fin du livre... si ça t'intéresse d'avantage voici le lien: http://tao-et-sophrologie.fr/wp-content/uploads/2010/11/Eckhart_Tolle_Le_Pouvoir_du_Moment_Present.pdf
Données du topic
- Auteur
- Link-Kenedy
- Date de création
- 1 novembre 2016 à 17:13:29
- Date de suppression
- 29 août 2024 à 03:28:00
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