Pour d’autres aventures :
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Pour la plupart des gens, trente ans est un age charniere dans une vie. Beaucoup y voient le debut de la vieillesse, d’autres meme le debut de la fin. D’apres moi, c’est surtout le debut d’une periode ou on vit intensement, de par notre maturite d’une part, de par le respect en tant qu’adulte dont les autres font preuves lorsqu’on les rencontre d’autre part, et enfin indirectement par la pression sociale exercee par notre entourage. En effet, lorsque vos amis d’enfances commencent a se marier et a avoir des enfants, il est tout a fait naturel de remettre en question votre propre mode de vie. D’apres moi, bien que je n’aie pas encore trente ans, il faut profiter de cette pression d’autant plus pour affirmer que notre propre existence est unique et ne doit pas etre influence par celle des autres. Je veux vivre ma vie intensement jusqu’a ressentir le besoin de me poser, d’avoir de veritables responsabilites en fondant une famille.
Ce point de vue, je le tiens de mon cousin de trente-quatre ans. Il a toujours ete pour moi un modele, quelqu’un d’inspirant. Puis mon cousin m’a annonce qu’il allait se marier. Tout d’abord sceptique, et meme presque choque par cette annonce, je me suis rappele que la vie est faite de changements, qu’ils soient externs ou internes, tout comme la merde solide qui se liquefie en diarrhee putrefactive dans notre trou du cul.
Nous avons recu les faire-part il y a deux mois. J’aime les mariages. On y rencontre souvent des personnes interessantes, et notamment des filles celibataires. C’est aussi l’occasion d’y boire du champagne, servi dans des melchizedek de trente litres. Trente litres de bulles, ou autant de fermentation gazeuse fetide qui s’ensuit.
En arrivant a la ceremonie du mariage, comme vous pouvez vous en douter, j’avais mange une choucroute au cassoulet et a la saucisse de Francfort marinee a la biere. Mon systeme digestif etant ainsi particulierement obstrue, je me rejouissais a l’idee de mon prochain passage sur le trone, qui serait l’occasion pour moi de ponder un etron d’une consistance et d’un volume encore jamais observes par un etre humain. J’avais hate de pouvoir m’empiffrer au buffet a volonte. Je suis un vrai Gerard Depardieu. Durant la fete, je me mettais a danser sur la piste, frenetiquement. Cette danse etait le juste tribut des treize coupes de champagne que j’avais bues au bar. Je commencais a suinter allegrement. Mes aisselles commencaient a sentir le dos de Shaquille O’Neal apres le long game. Ma transpiration se repandait partout sur mes habits, catalysant encore plus mon envie de chier.
Au moment ou nous devions porter les maries sur une chaise pour les faire sauter, je me portai volontaire. Mon fardeau etait la chaise de mon cousin, naturellement. Je du fournir un effort intense pour porter tout ceci, ce qui me fit peter fortement dans mon pantalon de costume. Au bout du troisieme saut de chaise, je me chiai dessus. Un petit obus de merde s’exfiltra de mon trou de balle, pour trouver refuge dans mon calecon. La vitesse a laquelle cette petite merde etait expulsee etait suffisamment rapide pour que cette derniere s’etale de maniere homogene sur le tissu. Mon calbute commencait alors a peser lourd.
Vint ensuite le moment du discours des jeunes maries. La mariee saisi le micro pour scander un texte qu’elle avait specialement ecrit pour l’occasion. La musique etant toujours presente, les invites et moi-meme continuions a danser. Je continuais de peter, mais je m’en foutais.
Puis, ce qui devait arriver arriva : j’avais la chiasse. La derniere decontraction de mes sphincters laisse s’echapper un torrent de merde brulante, qui tomba au sol. Ayant continue a danser durant cette diarrhea intense, je glissai et tombai sur le dos, craquant mon pantalon de costume et mon calecon par la meme occasion. C’est alors que la merde expulsee de mon anus l’etait si fortement que le jus de cul fetide arrivait directement dans le visage de la mariee, la noyant d’etron. Elle n’avait plus l’occasion de respirer et se retrouva vite asphyxiee dans ce flux de chiasse. Elle mourut rapidement.
J’avais tue la femme de mon cousin sous une feerie des eaux fecale.
