Parfois mon systeme digestif se retrouve
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abime par mon alimentation.
Du jour au lendemain, un plat de choucroute me laissa seul au monde.
Notre histoire commence dans mon trou de balle. Non attendez, plutot dans mon eosophage. Bon, finalement commencons au commencement.
Un hiver froid de 2013, je fus invite a une soiree choucroute avec quelques amis. Il y avait Robert, Jean-Eugenie et Marie-Gyslene. Nous bumes de nombreuses coupes de champagne pour entamer la soiree, et feter le recent diplome de Robert.
Lorsque le liquide petillant penetra dans ma gorge, les bulles d'air commencerent deja a prendre conscience du debut de leur fabuleux voyage. Chacune d'entre elle s'acoquinait avec sa voisine, en envisageant une tres prochaine partouze au sein de mon systeme digestif.
Le champagne coulait a flot, jusqu'a ce que Jean-Eugenie (que nous nommeront par la suite JE), visiblement emeche, declare :
"Allons donc, c'est pas tout ca, mais on a sept kilos de choucroute et de charcuterie a descendre !"
Nous nous mimes a table. Je pressentais deja le calvaire olfactif que j'allait faire subir a toute ma famille lendemain, au gouter de Noel. En effet, j'etais particulierement affame, et les 7 coupes de champagne qui ont precede le repas n'ont rien arrange.
JE se mit a l'ouvrage. Il apporta un plat de choucroute majestueux, avec du choux si clair qu'il reflechissait parfaitement la lumiere du chandelier installe pres de la table. La charcuterie, elle, tronait majestueusement sur le chou. Ce spectacle etait magnifique, et ne faisait que catalyser mon excitation.
Nous nous servimes allegrement. Les bulles de champagne venaient de penetrer dans mon estomac, et ne se doutaient pas de cet amas de nourriture qui allait se joindre a leurs ebats. La premiere bouchee fut magnifique, je trepidais d'impatience a l'idee de la prochaine, encore et encore, et encore.
MG (Marie-Gyslene) m'adressa un clin d'oeil : "Tiens donc, tu as faim toi !"
J'approuvais d'un hochement de tete, incapable de prononcer un mot, tant ma bouche etait remplie de mortadelle, de choux et de jarret.
Tout ce joli monde descendait dans mon eosophage a une vitesse folle. En un rien de temps, la choucroute avait rejoins le champagne dans mon estomac.
"VENEZ, ON FAIT PETER CE MEC A MORT !", declara le jarret. "On va surtout lui filer la diarrhee du siecle !!", repondit la bulle de champagne numero 42.
Au fur et a mesure des bouchees, je sentais que ce que je venais d'ingurgiter se deplacait deja vers mes intestins. Cependant, impossible de sortir de table pour couler mon prochain bronze, je devais me retenir.
Le jarret et la mortadelle poussaient. Je fixais mon regard sur le chandelier afin de me concentrer pour ne pas peter. Mais ces efforts furent vains...
La choucroute et le champagne avaient fusionne en un melange de gigantesque amas de gaz et de merde liquide. Le gaz poussait de plus en plus fort en direction de mon anus. Je contractais mes sphincters tant que je pouvais. "Ne pas peter, ne pas peter", me dis-je. Mais, comme le dit l'adage : Qui pete, chie.
Je ne me doutais pas une seule seconde de la tournure qu'allaient prendre les evenements.
Incapable de me retenir plus longtemps, mes sphincters se decontracterent puissamment, pour laisser ce degager un gigantesque flux de gaz saupoudre de microparticules de merde, melangees a la transpiration de mon cul et de mes couilles causes par mes efforts intenses. Cette caisse gargantuesque s'accompagnait d'un son d'une force encore jamais entendu meme de l'hippopotame a l'anus le plus pourri. Tout ce flux de gaz etait expulse avec une telle force de mon trou du cul, qu'il allait directement se loger dans les sinus de mes voisins, leur faisant partager une odeur fetide de cadavre en putrefaction.
La reaction des convives ne se fit pas attendre : "Oh mon dieu, mais tu es immonde !", declara MG.
Robert commencait alors a s'etouffer de douleur olfactive, l'odeur acide de mon liquide etant en train de lui dissoudre le canal nasal. Ses muqueuses commencerent a produire une morve jaune, d'une epaisseur encore jamais vue. JE n'eut pas la meme reaction, etant rentre enrhume d'une semaine de ski.
C'etait alors le moment du deuxieme renard. Celui-ci fut fort similaire au premier, cependant avec une odeur plus forte, le gaz essentiel de jarret de port de ce pet etant compose de restes d'un porc particulierement malade et a l'anus pourri. Robert commencait a convulser, je sentais qu'il allait bientot nous quitter.
Enfin, au moment fatidique, en l'occurence la sortie de la diarrhee ainsi formee dans mes intestins, j'ai acheve les convives. Ma merde sortait en telle quantite, qu'elle atteignait le plancher, dans une longue et epaisse trainee brune. La diarrhee se faufilait entre les sciures de bois et commencait a inonder la piece.
L'odeur etait si forte que le systeme ORL de mes trois amis explosa instantanement, les tuant sur le coup.
De nature scatophile, je me mettais a bander.
Pressentant que je finirais ma vie en prison, je decidais de me branler dans ma diarrhee.
Chaque aller-retour de mon poignet sur ma bite dure m'apportait un plaisir indescritpible. Je me jetais alors sur le parquet et me branlais litteralement dans ma merde.
Il ne me fallu que trois miniutes avant d'ejaculer. Cette jouissance intense laissa s'echapper un demi litre de sperme, qui s'echoua dans mon caca, s'y melangeant pour donner une armee de spermatozoide nourris a la soupe de caca.
Je m'etais masturbe dans ma propre merde au milieu du cadavre de mes trois amis.
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Données du topic
- Auteur
- Mangeprout
- Date de création
- 8 avril 2016 à 22:34:59
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