Lui aussi
« Quand j'écrivais l'empoisonnement de madame Bovary, j'avais si bien le goût de l'arsenic dans la bouche, j'étais si bien empoisonné moi-même que je me suis donné deux indigestions coup sur coup, – deux indigestions réelles, car j'ai vomi tout mon dîner. »
– Gustave Flaubert, Lettre à Hippolyte Taine, 20 novembre 1866