"L'objectif était de lui faire réaliser qu'il ne peut pas se comporter de cette manière. Mais l'adolescent est de retour. Il côtoie tous les jours sa petite victime. Le directeur général adjoint à l'administration de l'Aide à la jeunesse a justifié cette décision. L'adolescent aurait réalisé qu'il n'avait pas agi correctement. Il a réintégré le centre car "un écartement aurait pu le déraciner"."
Ça reste un pourri, hein. Bien les juges corrompus qui préfèrent passer pour des gens justes plutôt que de passer pour des juges relous mais pour le bien de tous ?