Question cinéphiles : Un khey peut m'expliquer ceci?
Le 22 novembre 2024 à 23:28:44 :
je sais pas j'habite pas ici je touche la baton de style et je suis au RSA
OK merci du up
Le 22 novembre 2024 à 23:29:35 :
Le 22 novembre 2024 à 23:28:44 :
je sais pas j'habite pas ici je touche la baton de style et je suis au RSAOK merci du up
derine
Jean-Pierre Mocky est un cinéaste français connu pour son éclectisme et son indépendance artistique. La transition entre des projets comme L’Affaire du Collier de la Reine (1946), un film classique et sage qu’il coécrit, et Un linceul n’a pas de poches (1974), une œuvre plus provocante et sulfureuse, s’explique par plusieurs facteurs :
1. Évolution de l’époque et des mœurs
Le contexte socioculturel entre 1946 et 1974 a radicalement changé. Les années 60 et 70 ont vu une libéralisation des mœurs, marquée par la révolution sexuelle et l’émergence de thématiques plus crues dans le cinéma, telles que la sexualité, la corruption ou la critique sociale. Mocky a toujours cherché à refléter son époque avec mordant, ce qui l’a naturellement conduit vers des œuvres plus transgressives.
2. Indépendance et liberté créative
Dans les années 70, Mocky s’éloigne de plus en plus des grandes maisons de production pour produire ses propres films. Cela lui donne une totale liberté pour explorer des sujets et des styles qui lui sont chers, souvent plus subversifs, grotesques ou provocants. Il n’hésite pas à aborder des tabous ou à critiquer les institutions, ce qui inclut des aspects très directs sur la sexualité.
3. Un regard satirique et désabusé
Un linceul n’a pas de poches est adapté d’un roman de Horace McCoy, auteur américain spécialisé dans des récits sombres et cyniques. Ce film dénonce les compromissions de la société, avec une satire mordante du pouvoir et de la morale. La représentation crue de la sexualité et des obsessions humaines sert ici à souligner le caractère corrompu et décadent des protagonistes.
4. Une carrière marquée par des contrastes
Mocky a toujours cultivé un style inclassable. Capable de réaliser des œuvres sérieuses ou historiques comme L’Affaire du Collier de la Reine, il se tourne aussi vers la comédie sociale, le polar ou la satire. Sa filmographie témoigne de sa volonté de briser les conventions, et il s’adapte à son époque tout en restant fidèle à son tempérament frondeur.
En résumé, Mocky a évolué avec son temps, passant d’un jeune scénariste en 1946 à un réalisateur mature, pleinement maître de son art dans les années 70. Son virage vers des œuvres plus provocantes reflète non seulement les transformations sociétales mais aussi son désir de bousculer les normes cinématographiques.
Ils valent un clou ses films ? Je ne connais Mocky qu'à partir du Strip-Tease ^^ ?
Et donc son film de 74 tu le qualifierais d'un film d'obsédé ? Y'a beaucoup de cul ? Moi quand y'a du cul ça m'intéresse toujours (enfin, du cul de femme ^^)
Le 22 novembre 2024 à 23:31:43 :
Ils valent un clou ses films ? Je ne connais Mocky qu'à partir du Strip-Tease ^^ ?Et donc son film de 74 tu le qualifierais d'un film d'obsédé ? Y'a beaucoup de cul ? Moi quand y'a du cul ça m'intéresse toujours (enfin, du cul de femme ^^)
Ce n'est pas vraiment bon non khey. Mais vas y hein
Le 22 novembre 2024 à 23:32:15 :
C'est de la merde Mocky
J'ai attendu de voir deux de ses films, mais là j'ai très envie de dire oui khey tu as raison
Le 22 novembre 2024 à 23:35:47 :
Un des seuls réalisateurs à ne pas avoir réussi à bien exploiter Bourvil
Même Galabru
Données du topic
- Auteur
- Diogenedebxl
- Date de création
- 22 novembre 2024 à 23:27:58
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