MACRON veut allumer une GUERRE au MAGHREB

il veut nourrir l'irredentisme marocain en ressortant des archives du ministere des colonies de l'epoque qui reveleraient que tout le sud de l'algerie faisait parti de l'empire cherifien avant d'etre annexé à l'algerie francaise morceaux par morceaux jusqu'en 1940 ..

tout en allant inaugurer un consulat de la France au sahara occidental pour "sceller" la reconnaissance francaise de son appartenance au maroc

tout ça est du au chantage des services secrets marocains en etroite relation avec le Mossad d'apres le journaliste du Figaro Georges malbrunot

la politique de la france a toujours été d'etre neutre vis a vis de ces 2 pays pour etre celui qui calme le jeu

Macron qui est soumis au chantage de son iphone avec des dossiers compromettants, va tout casser

Macron cherche surtout à créer le chaos total, en faisant une croix sur l'héritage gaulliste dans la diplomatie française - qui prônait le réalisme politique dans les relations bilatérales avec les pays du Maghreb - au profit d'une ligne plus revancharde, cédant aux caprices des nostalgiques de l'Algérie Française et des impérialistes marocains.

Dans le même temps, il en profite pour réhabiliter les crimes coloniaux en Algérie, galvanisant ainsi la droite radicale et poussant à l'hostilité une gauche radicale, très portée sur le décolonialisme depuis le génocide palestinien de 2023.

Créer le chaos pour Macron, c'est une manière de pousser le RN et LFI à la guerre culturelle afin de pouvoir passer aux yeux du Français lambda pas trop politisé comme l'homme providentiel qui permet de modérer le débat public (alors qu'il est le premier à jeter de l'huile sur le feu)

Il y a quelque chose de très poutiniste chez Macron bizarrement.

Le 28 octobre 2024 à 01:15:13 :
Ben le Maroc a toujours été les pions de la France, même lors de la guerre d'Algérie, ils étaient complices de la France.

Le Maroc, depuis Lyautey, jouit de liens privilégiés avec la droite française (qui voyaient dans le Maroc une sorte de cadeau de consolation après l'avènement de la république en France) perdurant encore aujourd'hui ; au point que même des figures politiques, pourtant très islamophobes et/ou viscéralement laïcs, adoptent des positions très favorables au Maroc (qui, rappelons-le, est une monarchie de droit divin qui punit le blasphème très sévèrement)