[-18] Je REDPILL sans prescription les CONSPIRATIONNISTES du forum.
Le 23 septembre 2024 à 00:55:50 :
Affaire des couveuses.
Affaire des armes de destruction massive en Irak.
Affaire des dizaines de bébés décapités (+ Couca Coula).
Affaire JFK circulez.
Affaire Epstein circulez.En France aussi hein :
Ceux qui pensaient que le Président de la République a une fille cachée étaient des complotistes jusqu'à ce qu'on décide de nous présenter Mazarine.
Ceux qui pensaient que le Président de la République cachait un cancer en phase avancée avant même la fin de son premier septennat ont longtemps été des complotistes.
Ceux qui pensaient que le Ministre Robert Boulin ne s'était pas suicidé étaient des complotistes, d'ailleurs officiellement l'affaire est toujours en cours, 45 ans plus tard.Mais en 2024, tout ça est fini, les complots N'EXISTENT PAS.
On a quand même des gens sérieux avec des chasseurs de fake news et des décodeurs de l'info.
Secret de polichinelle, "révélé" immédiatement après l'attaque, super le complot
Je dis pas qu'il y en a pas mais si vous avez vocation a démontré ceux d'aujourd'hui prenez au moins des exemples honnêtes
[PARTIE 2]
Dans le courant de l’année 1904, les fuites à propos de ce système de fichage deviennent de plus en plus importantes. Et le 27 octobre, plusieurs journaux publient des dossiers détaillés révélant l’existence de milliers de fiches et la responsabilité du ministre de la Guerre dans leur établissement. Le lendemain, un député de la Ligue de la patrie française, Jean Guyot de Villeneuve, dénonce ce système de fichage. Pendant trois heures, à la tribune de la Chambre des députés, il lit les fiches et les dossiers qui lui avaient été remis par l’adjoint du secrétaire général du Grand-Orient, récemment converti au catholicisme. Louis André nie catégoriquement être au courant de cette opération de surveillance mais le 4 novembre, lors d’une autre séance, Guyot de Villeneuve apporte la preuve matérielle de son implication et de celle du président du Conseil, Emile Combes.
Le scandale est immense, les rebondissements et les révélations se succèdent pendant plusieurs mois. Jean Guyot de Villeneuve, pour maintenir la pression sur le gouvernement, communique au compte-goutte les fiches à la presse. Combes refuse de sanctionner les fonctionnaires, officiers ou civils, qui avaient participé à ce système de délation et de violation de la vie privée. Son obstination eut finalement raison du gouvernement qui tombe au début de l’année 1905. Si le nouveau cabinet ministériel condamne officiellement le fichage et entreprend une politique d’apaisement, il refuse lui aussi de sanctionner les délateurs. Plus grave encore, il poursuit le système des fiches en s’appuyant désormais uniquement sur les renseignements fournis par les préfets
Ce n’est qu’en 1913 que le nouveau ministre de la Guerre, Alexandre Millerand, met fin à ce système. Pour la petite histoire, Millerand s’était publiquement indigné, en 1904, de ce fichage, ce qui lui avait valu d’être exclu de la franc-maçonnerie. Sur le plan militaire, l’affaire des fiches aura de lourdes conséquences dans un contexte de tensions internationales croissantes. La délation entre officiers détruisit l’esprit de corps et créa au sein de l’armée une ambiance délétère. Pendant ces treize années de discriminations religieuses et politiques, de nombreux officiers obtinrent un avancement spectaculaire et injustifié, pendant que d’autres étaient écartés en dépit de leur valeur militaire
Ces injustices ne furent pas réparées et, en août 1914, un certain nombre d’officiers occupaient des postes qui, clairement, ne correspondaient pas à leur capacité. Pour les spécialistes d’histoire militaire, l’affaire des fiches explique en partie la promotion fulgurante de plusieurs dizaines d’officiers supérieurs, et le limogeage de plus de 150 généraux incompétents, dès les premiers mois de la guerre
J’en suis à la moitié de la première page c’est super super soft
Le genre de pink pill que tu trouves sur Wikipedia dans l’onglet « conspiration »
Le 23 septembre 2024 à 02:26:38 :
Secret de polichinelle, "révélé" immédiatement après l'attaque, super le complotJe dis pas qu'il y en a pas mais si vous avez vocation a démontré ceux d'aujourd'hui prenez au moins des exemples honnêtes
ça va venir le golem
ne t'inquiète pas, on parlera de tes gènes altérés en temps voulu
Le 23 septembre 2024 à 02:44:07 :
J’en suis à la moitié de la première page c’est super super softLe genre de pink pill que tu trouves sur Wikipedia dans l’onglet « conspiration »
Ce n'est que le début, not ready pour les interactions électrochimiques cérébrales qui ont 300ms d'avance sur " les prises de décision conscientes "
Les golems qui n'auront jamais aussi bien porté leur nom quand ils devront accepter qu'ils sont comme la pierre de Spinoza
Destruction du libre-arbitre des PNJ
Le 23 septembre 2024 à 00:55:50 :
Affaire des couveuses.
Affaire des armes de destruction massive en Irak.
Affaire des dizaines de bébés décapités (+ Couca Coula).
Affaire JFK circulez.
Affaire Epstein circulez.En France aussi hein :
Ceux qui pensaient que le Président de la République a une fille cachée étaient des complotistes jusqu'à ce qu'on décide de nous présenter Mazarine.
Ceux qui pensaient que le Président de la République cachait un cancer en phase avancée avant même la fin de son premier septennat ont longtemps été des complotistes.
Ceux qui pensaient que le Ministre Robert Boulin ne s'était pas suicidé étaient des complotistes, d'ailleurs officiellement l'affaire est toujours en cours, 45 ans plus tard.Mais en 2024, tout ça est fini, les complots N'EXISTENT PAS.
On a quand même des gens sérieux avec des chasseurs de fake news et des décodeurs de l'info.
Rainbow warrior*
Le 23 septembre 2024 à 01:11:42 :
Durant 40 ans, près de 200 patients noirs souffrant de la syphilis ont été privés de traitement dans le cadre d’une étude médicale… Jusqu’à sa révélation retentissante dans la presse le 26 juillet 1972.Tout commence au début des années 1930 à Tuskegee, petite ville d’Alabama d’environ 10.000 habitants. À cette époque, la syphilis prévaut dans la population noire fortement touchée par cette maladie, particulièrement dans cette région.
C’est là qu’une étude supervisée par le Service de santé publique américain (USPHS) débute en 1932. L’objectif : déterminer, à partir d’autopsies, les effets de la maladie sur le corps humain. Pour ce faire, 600 hommes noirs, âgés de 25 à 60 ans, généralement pauvres et peu éduqués sont recrutés par l’agence fédérale.
Pour les inciter à participer au programme, on promet aux hommes un transport gratuit vers et depuis les hôpitaux, des déjeuners chauds gratuits, des médicaments gratuits pour toute maladie autre que la syphilis et un enterrement gratuit à condition d’accepter d’être autopsié.
Sur les 600 personnes étudiées, un tiers s’avère ne pas être contaminé par la syphilis, alors que deux tiers présentent des signes de la maladie. Parmi ceux-ci, la moitié reçoit le meilleur traitement connu à l’époque, mais l’autre moitié, soit environ 200 hommes, n’est pas mise au courant et ne reçoit aucun traitement. Alors qu’on leur avait affirmé qu’elle ne durerait que six mois, l’étude s’étale en fait finalement sur 40 ans.
Depuis 40 ans, le service de santé publique des États-Unis mène une étude dans laquelle des êtres humains atteints de syphilis, qui ont été amenés à servir de cobayes, n’ont reçu aucun traitement médical contre la maladie et quelques-uns sont morts de ses effets tardifs, bien qu’une thérapie efficace ait été découverte.
Les titres de la presse au matin du 26 juillet 1972 font l’effet d’une bombe aux États-Unis. Peter Buxton, un ancien enquêteur de l’USPHS, qui avait exprimé des réticences morales sur l’étude en 1966, divulgue l’affaire à Jean Heller, journaliste de l’Associated Press qui décide d’envoyer l’histoire à la plupart des grands journaux américains
Cette révélation, et la réaction publique massive qui a suivi, met fin à l’expérience Tuskegee. Bilan : en quarante ans, 28 "cobayes" sont morts de la syphilis, 100 autres sont décédés de complications, et 40 femmes et 19 enfants ont contracté l’infection.
Plusieurs rapports publiés dans les années qui suivent montrent les ravages de la syphilis en l’absence de traitement. L’expérience du Service de santé publique fédéral est d’autant plus critiquée qu’un remède à la maladie a été trouvé dix ans après le début de l’étude : la pénicilline. Bien que le médicament soit devenu largement disponible dans le courant des années 40, celui-ci a toujours été refusé aux sujets de l’expérience.
L’enquête et les excuses
Après la révélation, viennent les interrogations. Une enquête est lancée en 1973 par le Sénat américain. Tous les patients sont retrouvés et traités, mais sans compensations financières.Le 25 juillet 1973, les patients et leur famille décident de poursuivre le gouvernement américain ainsi que plusieurs personnes liées à l’étude, demandant 1,8 milliard de dollars de dommages et intérêts. Un arrangement est finalement conclu avec le gouvernement en décembre 1974, qui donne en dédommagement une somme de 10 millions de dollars.
Les excuses, elles, viendront 25 ans après la révélation de l’étude dans la presse.
"Ce que le gouvernement des Etats-Unis a fait là était honteux, et je suis désolé", déclare le président américain Bill Clinton le 16 mai 1997 face à des survivants de cette expérience et leur famille lors d’une cérémonie officielle. "Je suis désolé que votre gouvernement ait organisé une étude aussi clairement raciste, souligne le dirigeant, et je suis désolé que ces excuses aient été aussi longues à venir.
Cette expérience a engendré un véritable traumatisme au sein de la population afro-américaine et a exacerbé sa méfiance à l’égard du système de santé fédéral qui perdure encore à l’heure actuelle.
"Aujourd’hui, plus d’un quart de siècle après l’arrêt de l’étude, les appréhensions persistent. Trop d’Afro-Américains évitent de participer à des essais cliniques importants, s’abstiennent de donner leur sang ou de s’inscrire comme donneurs potentiels, et refusent même les soins médicaux de routine, y compris le traitement du VIH", peut-on lire sur le site du Centre national de bioéthique pour la recherche et les soins de santé inauguré au sein de l’Univeristé de Tuskegee, deux ans après les excuses officielles des autorités américaines.
Ce scandale est également à l’origine du rapport Belmont de 1979, rédigé par le département de la Santé américain, qui établira les principes fondamentaux de la bioéthique en ce qui concerne l’expérimentation humaine.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tude_de_Tuskegee_sur_la_syphilis
Données du topic
- Auteur
- petitgeek7
- Date de création
- 23 septembre 2024 à 00:25:08
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