[-18] Je REDPILL sans prescription les CONSPIRATIONNISTES du forum.
On commence en douceur pour éviter les convulsions parmi les bac pros du 18-25
L’affaire des couveuses au Koweit désigne le scandale du faux témoignage fait le 14 octobre 1990, lors de l'invasion du Koweit par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait des atrocités commises contre des nouveau-nés koweitiens. Le témoignage se révéla être mensonger, après avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux.
Le 14 octobre 1990, une jeune femme koweïtienne, appelée par les médias « l'infirmière Nayirah », témoigne, les larmes aux yeux, devant une commission du Congrès des États-Unis. L'événement est retransmis rapidement par les télévisions du monde entier :
« Monsieur le président, messieurs les membres de ce comité, je m'appelle Nayirah et je reviens du Koweit. Ma mère et moi étions au Koweit le 2 août pour passer de paisibles vacances. Ma sœur aînée avait accouché le 29 juillet et nous voulions passer quelque temps au Koweit auprès d'elle…
Pendant que j'étais là, j'ai vu les soldats irakiens entrer dans l'hôpital avec leurs armes. Ils ont tiré les bébés des couveuses, ils ont pris les couveuses et ont laissé mourir les bébés sur le sol froid. J'étais horrifiée.
Je ne pouvais rien faire et je pensais à mon neveu qui était né prématuré et aurait pu mourir ce jour-là lui aussi… Les Irakiens ont tout détruit au Koweit. Ils ont vidé les supermarchés de nourriture, les pharmacies de médicaments, les usines de matériel médical, ils ont cambriolé les maisons et torturé des voisins et des amis. J'ai vu un de mes amis après qu'il a été torturé par les Irakiens. Il a 22 ans mais on aurait dit un vieillard.
Les Irakiens lui avaient plongé la tête dans un bassin, jusqu'à ce qu'il soit presque noyé. Ils lui ont arraché les ongles. Ils lui ont fait subir des chocs électriques sur les parties sensibles de son corps. Il a beaucoup de chance d'avoir survécu. »
Ce témoignage, avec d'autres comme ceux conçus par l'agence de communication Rendon Group chargée de superviser la communication de la CIA et du Pentagone, a beaucoup ému l'opinion publique internationale et a contribué à ce qu'elle soutienne l'action des puissances occidentales contre les armées de Saddam Hussein lors de la guerre du Golfe.
En fait, ce témoignage était entièrement faux. La jeune fille, coachée selon certaines sources par Michael Deaver ancien conseiller en communication de Ronald Reagan, s'appelait Nayirah al-Sabah et était la fille de l'ambassadeur du Koweït à Washington Saud bin Nasir Al-Sabah.
L'association Citizens for a Free Kuwait, organisée par le gouvernement du Koweït exilé avait commandé cette campagne à la compagnie de relations publiques Hill & Knowlton (pour la somme de 10 millions de dollars).
Par ailleurs, le gouvernement américain aurait payé 14 millions de dollars à cette compagnie pour l'avoir aidé à médiatiser la guerre du Golfe sous un jour favorable à l'intervention occidentale
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_couveuses_au_Koweït
La vidéo du témoignage : https://youtu.be/LmfVs3WaE9Y?si=dn9VZY13I5GKkDb7
N'oubliez pas de vous inoculer votre rappel vaccinal, les invoqués d'outre-tombe
Je vois que les forumeurs de l'élite sont occupés sur les topics de femmes colombiennes avec le supplément 22 cm
Mais la REDPILL, avaler, vous devez
MK-Ultra (ou MKULTRA) est un projet de la Central Intelligence Agency (CIA) visant à développer des techniques de contrôle et de programmation de l'esprit. Le projet est approuvé le 13 avril 1953 par le directeur de l'agence Allen Dulles, et prend fin au début des années 1970.
La parution d’une série d'articles du quotidien The New York Times en décembre 1974 a permis de dévoiler publiquement l’existence de programmes secrets ciblant des citoyens américains au cours des années 1950 et 1960. Ces révélations ont provoqué un retentissement national qui conduisit à la mise en place de plusieurs commissions d'enquête. Une partie de ces activités clandestines ont été menées dans le but d'exercer un contrôle sur l'esprit humain
Affaire des couveuses.
Affaire des armes de destruction massive en Irak.
Affaire des dizaines de bébés décapités (+ Couca Coula).
Affaire JFK circulez.
Affaire Epstein circulez.
En France aussi hein :
Ceux qui pensaient que le Président de la République a une fille cachée étaient des complotistes jusqu'à ce qu'on décide de nous présenter Mazarine.
Ceux qui pensaient que le Président de la République cachait un cancer en phase avancée avant même la fin de son premier septennat ont longtemps été des complotistes.
Ceux qui pensaient que le Ministre Robert Boulin ne s'était pas suicidé étaient des complotistes, d'ailleurs officiellement l'affaire est toujours en cours, 45 ans plus tard.
Mais en 2024, tout ça est fini, les complots N'EXISTENT PAS.
On a quand même des gens sérieux avec des chasseurs de fake news et des décodeurs de l'info.
" Troudcu " le mâle supérieur en quête de vérité est impatient d'avaler sa 3 ème pillule rougeâtre ?
Il veut en apprendre plus sur la fameuse fiole ?
Que le souhait de ce khey soit exaucé
Encore mieux que les bouteilles de pisse du forumeur moyen de l'élite..
Encore mieux que le disque de pisse pour tuer le voisin...
Je vous présente la FIOLE DE PISSE
Avec ça, imposez votre charisme devant les politiciens du monde entier sans avoir besoin de dire le moindre mot
Causez la mort de plus de 500 000 CIVILS en toute tranquillité et droppez leurs hydrocarbures
Effet réduit sur les Gaulois déter
Une fiole à la main, de l'anthrax à l'intérieur : cette image est devenue historique.
Le 5 février 2003, devant le conseil de sécurité des Nations unies, le secrétaire d'État américain Colin Powell -décédé ce lundi à l'âge de 84 ans- voulait ainsi démontrer la nécessité d'intervenir en Irak, assurant qu'il n'y avait «aucun doute que Saddam Hussein a des armes biologiques et la capacité d'en produire rapidement davantage» : «Et il a la capacité de répandre ces poisons et maladies mortels de façon à provoquer des morts et destructions massives. Si les armes biologiques semblent trop horribles à envisager, les armes chimiques sont tout aussi glaçantes.» En 2009, interrogé par Paris Match , l'ancien secrétaire d'État avait reconnu son erreur : «Je regrette ce que j'ai dit. Les renseignements que m'avaient fournis les services secrets étaient erronés. Il ne faut pas oublier que, trois mois auparavant, le Congrès des États-Unis avait voté à l'unanimité le soutien au président s'il décidait d'entrer en guerre.»
«Il n’existe pas de guerre de nécessité, toutes les guerres sont des guerres de choix. Nous avons fait deux choix : d’abord, celui de frapper ceux qui nous avaient attaqués en Afghanistan, et ensuite celui de prévenir une possible utilisation par l’Irak d’armes de destruction massive. Certains de mes collègues à l’Onu jugeaient que cela ne justifiait pas de s’engager dans ce conflit. Ma présentation très médiatique devant l’Onu pour légitimer l’usage de la force restera cependant comme une tache sur ma réputation», avait-il ajouté.
«L’Afghanistan était l’endroit à partir duquel nous avions été frappés, avait-il rappelé. Nous avons demandé aux talibans de nous livrer Ben Laden. Ils ont refusé, donc nous sommes intervenus. Pour l’Irak, c’est différent. Il s’agissait d’éviter que des terroristes aient accès à des armes de destruction massive. Le président Bush, mais aussi Tony Blair, Silvio Berlusconi, José Maria Aznar et beaucoup d’autres percevaient cette menace en Irak. C’est pour ça que nous avons fait cette guerre.»
"Si vous le cassez, vous payez"
Interrogé par PBS , en 2016, l'ancien chef d'État-major des armées s'était souvenu d'une de ses réunions avec George W. Bush : «Je lui ai dit : "M. le président, ce n'est pas qu'une question d'aller à Bagdad. Je sais comment le faire. Que se passe-t-il après ? Vous devez le comprendre : si vous provoquez la chute d'un gouvernement, d'un régime, devinez qui devient le gouvernement, le régime et le responsable du pays ? Vous. Donc si vous le cassez, vous payez."» Il s'était souvenu comment la décision avait finalement été prise, après des mois de réflexion : «Saddam Hussein ne nous a pas donné les preuves suffisantes qu'il ne les avait pas ou ne les développait pas. Tôt en janvier [2003], le président a tranché : "Désolé, je ne peux pas prendre le risque, dans un environnement post-11-Septembre, d'avoir quelqu'un qui a ou pourrait avoir ou travaillerait pour avoir de telles armes en violation de résolutions des Nations unies." Et il a pris la décision mi-janvier que cela nécessiterait une intervention militaire. Et il m'a demandé de présenter le dossier aux Nations unies.»
«J'ai présenté le dossier avec le directeur des renseignements derrière moi. Lui et son équipe se portaient garants pour tout. Nous n'avons rien inventé», avait-il insisté. «Nous avons donné beaucoup d'informations qui n'avaient pas deux ou trois sources, parce que j'en savais l'importance. Quand j'ai fini, j'étais plutôt satisfait. Je pensais que nous avions défendu le dossier et il y a eu de bonnes réactions pendant quelques semaines. Puis, soudainement, la CIA nous a fait savoir que les preuves s'effondraient.»
Circulez, les Bob Page n'existent pas dans la " vraie vie "
" Troudcu " le mâle supérieur en quête de vérité est impatient d'avaler sa 3 ème pillule rougeâtre ?
Il veut en apprendre plus sur la fameuse fiole ?
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Une fiole à la main, de la pisse à l'intérieur : cette image est devenue historique.
Le 5 février 2003, devant le conseil de sécurité des Nations unies, le secrétaire d'État américain Colin Powell -décédé ce lundi à l'âge de 84 ans- voulait ainsi démontrer la nécessité d'intervenir en Irak, assurant qu'il n'y avait «aucun doute que Saddam Hussein a des armes biologiques et la capacité d'en produire rapidement davantage» : «Et il a la capacité de répandre ces poisons et maladies mortels de façon à provoquer des morts et destructions massives. Si les armes biologiques semblent trop horribles à envisager, les armes chimiques sont tout aussi glaçantes.» En 2009, interrogé par Paris Match , l'ancien secrétaire d'État avait reconnu son erreur : «Je regrette ce que j'ai dit. Les renseignements que m'avaient fournis les services secrets étaient erronés. Il ne faut pas oublier que, trois mois auparavant, le Congrès des États-Unis avait voté à l'unanimité le soutien au président s'il décidait d'entrer en guerre.»
«Il n’existe pas de guerre de nécessité, toutes les guerres sont des guerres de choix. Nous avons fait deux choix : d’abord, celui de frapper ceux qui nous avaient attaqués en Afghanistan, et ensuite celui de prévenir une possible utilisation par l’Irak d’armes de destruction massive. Certains de mes collègues à l’Onu jugeaient que cela ne justifiait pas de s’engager dans ce conflit. Ma présentation très médiatique devant l’Onu pour légitimer l’usage de la force restera cependant comme une tache sur ma réputation», avait-il ajouté.
«L’Afghanistan était l’endroit à partir duquel nous avions été frappés, avait-il rappelé. Nous avons demandé aux talibans de nous livrer Ben Laden. Ils ont refusé, donc nous sommes intervenus. Pour l’Irak, c’est différent. Il s’agissait d’éviter que des terroristes aient accès à des armes de destruction massive. Le président Bush, mais aussi Tony Blair, Silvio Berlusconi, José Maria Aznar et beaucoup d’autres percevaient cette menace en Irak. C’est pour ça que nous avons fait cette guerre.»
"Si vous le cassez, vous payez"
Interrogé par PBS , en 2016, l'ancien chef d'État-major des armées s'était souvenu d'une de ses réunions avec George W. Bush : «Je lui ai dit : "M. le président, ce n'est pas qu'une question d'aller à Bagdad. Je sais comment le faire. Que se passe-t-il après ? Vous devez le comprendre : si vous provoquez la chute d'un gouvernement, d'un régime, devinez qui devient le gouvernement, le régime et le responsable du pays ? Vous. Donc si vous le cassez, vous payez."» Il s'était souvenu comment la décision avait finalement été prise, après des mois de réflexion : «Saddam Hussein ne nous a pas donné les preuves suffisantes qu'il ne les avait pas ou ne les développait pas. Tôt en janvier [2003], le président a tranché : "Désolé, je ne peux pas prendre le risque, dans un environnement post-11-Septembre, d'avoir quelqu'un qui a ou pourrait avoir ou travaillerait pour avoir de telles armes en violation de résolutions des Nations unies." Et il a pris la décision mi-janvier que cela nécessiterait une intervention militaire. Et il m'a demandé de présenter le dossier aux Nations unies.»
«J'ai présenté le dossier avec le directeur des renseignements derrière moi. Lui et son équipe se portaient garants pour tout. Nous n'avons rien inventé», avait-il insisté. «Nous avons donné beaucoup d'informations qui n'avaient pas deux ou trois sources, parce que j'en savais l'importance. Quand j'ai fini, j'étais plutôt satisfait. Je pensais que nous avions défendu le dossier et il y a eu de bonnes réactions pendant quelques semaines. Puis, soudainement, la CIA nous a fait savoir que les preuves s'effondraient.»
Circulez, les Bob Page n'existent pas dans la " vraie vie "
Durant 40 ans, près de 200 patients noirs souffrant de la syphilis ont été privés de traitement dans le cadre d’une étude médicale… Jusqu’à sa révélation retentissante dans la presse le 26 juillet 1972.
Tout commence au début des années 1930 à Tuskegee, petite ville d’Alabama d’environ 10.000 habitants. À cette époque, la syphilis prévaut dans la population noire fortement touchée par cette maladie, particulièrement dans cette région.
C’est là qu’une étude supervisée par le Service de santé publique américain (USPHS) débute en 1932. L’objectif : déterminer, à partir d’autopsies, les effets de la maladie sur le corps humain. Pour ce faire, 600 hommes noirs, âgés de 25 à 60 ans, généralement pauvres et peu éduqués sont recrutés par l’agence fédérale.
Pour les inciter à participer au programme, on promet aux hommes un transport gratuit vers et depuis les hôpitaux, des déjeuners chauds gratuits, des médicaments gratuits pour toute maladie autre que la syphilis et un enterrement gratuit à condition d’accepter d’être autopsié.
Sur les 600 personnes étudiées, un tiers s’avère ne pas être contaminé par la syphilis, alors que deux tiers présentent des signes de la maladie. Parmi ceux-ci, la moitié reçoit le meilleur traitement connu à l’époque, mais l’autre moitié, soit environ 200 hommes, n’est pas mise au courant et ne reçoit aucun traitement. Alors qu’on leur avait affirmé qu’elle ne durerait que six mois, l’étude s’étale en fait finalement sur 40 ans.
Depuis 40 ans, le service de santé publique des États-Unis mène une étude dans laquelle des êtres humains atteints de syphilis, qui ont été amenés à servir de cobayes, n’ont reçu aucun traitement médical contre la maladie et quelques-uns sont morts de ses effets tardifs, bien qu’une thérapie efficace ait été découverte.
Les titres de la presse au matin du 26 juillet 1972 font l’effet d’une bombe aux États-Unis. Peter Buxton, un ancien enquêteur de l’USPHS, qui avait exprimé des réticences morales sur l’étude en 1966, divulgue l’affaire à Jean Heller, journaliste de l’Associated Press qui décide d’envoyer l’histoire à la plupart des grands journaux américains
Cette révélation, et la réaction publique massive qui a suivi, met fin à l’expérience Tuskegee. Bilan : en quarante ans, 28 "cobayes" sont morts de la syphilis, 100 autres sont décédés de complications, et 40 femmes et 19 enfants ont contracté l’infection.
Plusieurs rapports publiés dans les années qui suivent montrent les ravages de la syphilis en l’absence de traitement. L’expérience du Service de santé publique fédéral est d’autant plus critiquée qu’un remède à la maladie a été trouvé dix ans après le début de l’étude : la pénicilline. Bien que le médicament soit devenu largement disponible dans le courant des années 40, celui-ci a toujours été refusé aux sujets de l’expérience.
L’enquête et les excuses
Après la révélation, viennent les interrogations. Une enquête est lancée en 1973 par le Sénat américain. Tous les patients sont retrouvés et traités, mais sans compensations financières.
Le 25 juillet 1973, les patients et leur famille décident de poursuivre le gouvernement américain ainsi que plusieurs personnes liées à l’étude, demandant 1,8 milliard de dollars de dommages et intérêts. Un arrangement est finalement conclu avec le gouvernement en décembre 1974, qui donne en dédommagement une somme de 10 millions de dollars.
Les excuses, elles, viendront 25 ans après la révélation de l’étude dans la presse.
"Ce que le gouvernement des Etats-Unis a fait là était honteux, et je suis désolé", déclare le président américain Bill Clinton le 16 mai 1997 face à des survivants de cette expérience et leur famille lors d’une cérémonie officielle. "Je suis désolé que votre gouvernement ait organisé une étude aussi clairement raciste, souligne le dirigeant, et je suis désolé que ces excuses aient été aussi longues à venir.
Cette expérience a engendré un véritable traumatisme au sein de la population afro-américaine et a exacerbé sa méfiance à l’égard du système de santé fédéral qui perdure encore à l’heure actuelle.
"Aujourd’hui, plus d’un quart de siècle après l’arrêt de l’étude, les appréhensions persistent. Trop d’Afro-Américains évitent de participer à des essais cliniques importants, s’abstiennent de donner leur sang ou de s’inscrire comme donneurs potentiels, et refusent même les soins médicaux de routine, y compris le traitement du VIH", peut-on lire sur le site du Centre national de bioéthique pour la recherche et les soins de santé inauguré au sein de l’Univeristé de Tuskegee, deux ans après les excuses officielles des autorités américaines.
Ce scandale est également à l’origine du rapport Belmont de 1979, rédigé par le département de la Santé américain, qui établira les principes fondamentaux de la bioéthique en ce qui concerne l’expérimentation humaine.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tude_de_Tuskegee_sur_la_syphilis
[PARTIE 1]
Laissez-moi vous présenter celui qui siège parmi les plus grands héros de notre chère nation, j'ai nommé le légendaire gendarme CHRISTIAN JAMBERT
Le 4 août 1997, le gendarme est retrouvé mort. Il se serait suicidé d'une balle dans la tête, deux jours pourtant avant son audition comme témoin principal dans l'affaire Émile Louis, affaire liée à celle des torturées d'Appoigny, l'enquête de sa vie qui allait enfin aboutir........ une carabine 22 long riffle à ses pieds.
Cet enquêteur de la section de recherche d’Auxerre avait consacré 20 ans de sa vie à réunir les preuves de la culpabilité d’un tueur en série, Emile Louis, chauffeur de car, obsédé sexuel, qui abusait des jeunes filles de la DDASS qu’il transportait. Jambert avait enquêté sur 7 de ces jeunes filles qui avaient disparu mystérieusement entre 1975 et 1980.
Malgré sa ténacité, Christian Jambert n’avait convaincu ni les juges d’Auxerre, ni ses propres collègue de la réalité d’un dossier dont on sait aujourd’hui que c’était l’une des plus grandes affaires criminelles du siècle.
Le gendarme se serait-il donné la mort à cause de l’indifférence de ses pairs ? On pouvait se posait la question… Mais 3 ans après sa mort, en 2000, Emile Louis était confondu par d’autres gendarmes au cours de sa garde à vue et il avouait les 7 meurtres ? Sur ses indications, on retrouvera les dépouilles de deux d’entre elles !
Dès 1979, le gendarme Christian Jambert, qui a enquêté sur l’affaire des disparues de l'Yonne, avait soupçonné Émile Louis d'être à l'origine de ces disparitions. Le 20 février 1980, il est chargé du dossier.
Inculpé pour le meurtre de Sylviane Lesage, Émile Louis bénéficie d’un non-lieu en 1984 malgré la relation qu’il entretenait avec la victime, chose démontrée par le gendarme Jambert. L’affaire des disparues de l’Yonne est également classée sans suite.
En 1984, Christian Jambert adresse au substitut du procureur de la République d'Auxerre, Daniel Stilinovic un rapport qui met en cause Émile Louis et des réseaux proxénètes sado-masochistes de l'Yonne qui exploitent les filles de la DDASS .
Le rapport est transmis au juge d'instruction Jacques Bourguignon qui refuse d’instruire et le procureur René Meyer n’insiste pas. Toutefois le gendarme Jambert continue son enquête et plusieurs versions s'opposent : le procureur de la République à Auxerre de l'époque, René Meyer, déclare avoir encouragé à l'oral le gendarme Jambert à continuer son enquête et son substitut confirmera cela en commission d'enquête : premier destinataire du rapport, il avait relevé la pertinence des éléments réunis par Jambert. Le rapport sera toutefois égaré et ne sera retrouvé qu'en 1996. Par la suite, Daniel Stilinovic fut radié des cadres pour faute grave dans ce dossier mais finalement blanchi et mis en retraite anticipée.
Le 2 septembre 1996, une interview de Christian Jambert est diffusée dans l'émission Perdu de vue, à la suite des démarches entreprises par Pierre Monnoir et Jeannette Beaufumé, membres fondateurs de l'Association de défense des handicapées de l'Yonne (ADHY).
Émile Louis a finalement été arrêté, condamné en appel en 2006 à Paris à la réclusion à perpétuité avec 18 ans de période de sûreté et emprisonné jusqu'à sa mort en 2013. La contribution de Christian Jambert à l'arrestation d’Émile Louis a été unanimement reconnue par tous les intervenants du dossier. Lors du procès d'Émile Louis, il a été décrit par des gendarmes comme un « enquêteur hors pair, un modèle professionnel et une personnalité remarquable ».
Plusieurs journalistes indiquent que Christian Jambert s'intéressait à l'affaire Dunand, le gendarme était persuadé que Claude Dunand et Émile Louis se connaissaient, car fréquentant notamment les mêmes lieux, ayant tous les deux travaillé à la gare routière d'Auxerre et ayant vécu dans la même ville de Migennes. Le documentaire de Thierry Fournet sur l'affaire Dunand précise que Christian Jambert fut le premier enquêteur à intervenir au domicile des Dunand juste après l'évasion d'une des victimes, Huguette, mais ce fut le SRPJ de Versailles qui se chargea de l'arrestation puis de l'enquête.
[PARTIE 2]
L'arme retrouvée aux pieds du corps sans vie du gendarme Jambert est une carabine semi-automatique de marque Gevarm chambrée pour la munition .22 LR. Ce genre d'arme était très courant car facile à acquérir avant 1995 : il suffisait d'être majeur et de présenter une carte d'identité à l'armurier pour acquérir ce type d'arme.
À l'époque, aucune autopsie n'a été réalisée en raison de l'absence du médecin légiste remplacé par un médecin urgentiste qui avait fait les premières constatations et conclu au suicide suivi par le Parquet.
Le dossier est refermé, jusqu’à ce qu’Isabelle, la fille de Christian Jambert, intriguée par les développements de l’affaire Émile Louis, se décide à demander une nouvelle enquête sur la recherche des « causes de la mort » de son père.
En mars 2004, le corps est exhumé et lors de l'autopsie de la dépouille de Christian Jambert réalisée à l’Institut médico-légal de Paris en avril, il a été constaté non pas un mais deux orifices présents sur le crâne du gendarme correspondant aux entrées de deux projectiles, tirés selon deux angles perpendiculaires. Selon l'autopsie, une première balle a pénétré dans la tempe et s'est logée au milieu du cerveau et un second projectile est entré par la bouche jusqu'à l'arrière du crâne. Le parquet ouvre alors une information judiciaire contre X pour assassinat sur la base du rapport d’autopsie jugeant les deux impacts de balles peu compatibles avec un suicide.
Une contre-expertise est alors ordonnée par les juges d'instruction chargés de l'enquête sur la mort du gendarme réalisée à l'Institut médico-légal de Lyon. Deux orifices sont également retrouvés mais les médecins légistes soulignent que les tirs n'ont pas forcément été mortels immédiatement. De plus, les médecins relèvent dans leur rapport que l'orifice de la tempe pourrait être une balle qui a ricoché à l'intérieur du crâne et serait rentrée au-dessus de la lèvre, accréditant ainsi la thèse de deux balles tirées en rafale par l'arme retrouvée à proximité du corps du gendarme. Cette deuxième autopsie réalisée sur un moulage du crâne n'exclut donc pas la piste du suicide.
En janvier 2006, un nouveau rapport d'experts de l'Institut médico-légal de Strasbourg conclut à un suicide possible à la suite d'une étude sur le moulage du crâne.
En décembre 2007, à la demande des parties civiles, une nouvelle exhumation et une quatrième autopsie a lieu à l'Institut médico-légal de Bordeaux réunissant tous les médecins légistes précédemment amenés à réaliser des autopsies ainsi qu'un expert en balistique. Le véritable crâne est présent et non un moulage. Toutes les pistes sont étudiées et le collège d'experts ne rend pas de décision unanime, la piste du suicide autant que de l'assassinat semble possible. L'un des experts, la professeur Dominique Lecomte, directrice de l'Institut médico-légal de Paris, relève que plusieurs éléments du crâne ont disparu par rapport à la première autopsie, notamment la mâchoire inférieure, une partie de l'os orbital gauche transpercé, la selle turcique, un os de la boîte crânienne sur lequel les projectiles auraient ricoché ainsi que les dents de la partie supérieure.
En février 2011, un non-lieu est rendu sur sa mort. « Contrairement à ce qu’avait affirmé l’expert balistique d’un premier collège d’experts, la carabine retrouvée à proximité du corps, et dont le fonctionnement avait été modifié par Christian Jambert pour que l’arme puisse tirer en rafale, était bien celle qui avait tiré deux balles dont les fragments avaient été retrouvés dans le crâne de l’ancien gendarme », explique le procureur d’Auxerre.
La famille du gendarme fait appel de cette décision, qui est confirmée par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris en février 2012. La famille de Christian Jambert, par l'intermédiaire de son avocat, se pourvoit en cassation.
Une petite pensée pour la sacoche du gendarme Jambert qu'il devait ouvrir 2 jours après sa mort lors du procès d'Emile Louis
Cette sacoche surprise contenait tous les éléments de son enquête personnelle qu'il menait sur son temps libre des années durant, sur un réseau très large de " politiciens français et belges " friands de " nouveautés ".
Cette sacoche n'était connu que de sa famille et il dormait en la serrant contre lui chaque nuit sans aucun exception
Le légendaire gendarme Jambert semblait un peu parano
Surtout depuis que certains " collègues " de la gendarmerie d'auxerre lui avait dit de fermer sa gueule
Le 23 septembre 2024 à 01:52:03 :
Tout le monde à l'époque savait que les armes irakiennes n'étaient qu'un prétexte et probablement inexistantes c'est bien pour ça qu'on y est pas aller. C'est absolument pas un complot le complotix tarax
Tout comme tout le monde sait maintenant que le Rhume 19 était un test de docilité, ça ne change rien au fait que ce soit un complot
Le 23 septembre 2024 à 01:52:03 :
Tout le monde à l'époque savait que les armes irakiennes n'étaient qu'un prétexte et probablement inexistantes c'est bien pour ça qu'on y est pas aller. C'est absolument pas un complot le complotix tarax
" n'étaient qu'un prétexte "
Colin qui pisse sa 8.6 du matin dans une fiole qu'il brandit au monde entier......
" C'est absolument pas un complot "
Fallait le dire à l'Australie, Le Royaume-Uni ou encore la Pologne
Combien de doses dans ton organisme de petit hominidé bipède, juste par curiosité ?
Données du topic
- Auteur
- petitgeek7
- Date de création
- 23 septembre 2024 à 00:25:08
- Nb. messages archivés
- 37
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- 35