Le psychanalyste LACAN ?
Le 03 août 2024 à 00:58:19 PuddingDeChia a écrit :
Non, non tu n'as pas perdu trois heuresJe suis très réceptive à l'idée que la psychanalyse s'intéresse à la singularité du sujet et offre un lieu /cadre ou ledit sujet va pouvoir s'entendre
exactement pareil !! cet intérêt pour la singularité du sujet, pour la manière propre selon laquelle l'Autre vit en lui, pour l'histoire du bricolage de sa structure mentale, ça m'a vraiment séduit, je trouve ça incroyable. Lacan était un grand génie, alignable au range des plus grands de ce monde
Le 03 août 2024 à 01:01:20 -henriette7 a écrit :
Le 03 août 2024 à 00:57:26 :
Le 03 août 2024 à 00:55:01 -henriette7 a écrit :
J avais entendu une anecdote sur lui , il etait en conference , y avait une survivante de la shoah à sa conference , et le mec lui a fait une sorte de caresse sur la joue , un " geste à peau" pour detourner le sens de " gestapo" . La meuf s est senti super bien apresDepuis cette anecdote j en ai conclu que cetait un sacré fils de pute , et les gens qui le suivent des attardés
https://www.youtube.com/watch?v=VA-SXCGwLvY&pp=ygUNbGFjYW4gZ2VzdGFwbw%3D%3D
1. elle se sent pas magiquement mieux après
2. pourquoi ça serait un fdp ? pourquoi est-ce bête ?Cest au mieux comparable à la methode coué
bouffon
Le 03 août 2024 à 00:06:51 :
Le 02 août 2024 à 23:54:24 ForumInculte a écrit :
Lacan postule que le sujet se constitue à travers le langage et le réseau des relations sociales. La famille naturelle est emblématique de ce réseau, un site primaire où l'ordre imaginaire coalesce avec le symbolique, favorisant le développement du sujet naissant au sein d'un réseau de signifiants de parenté.En revanche, l'individualisme pur et dur - tel qu'il a été romancé par la ruée vers l'or en Californie - défend un faux récit de séparation de ce réseau, engendrant une forme de subjectivité nihiliste - un sujet aliéné par le Nom du Père, pris au piège des erreurs de reconnaissance de l'Imaginaire et ne parvenant pas à s'intégrer pleinement dans le domaine du Symbolique.
(Soit dit en passant, je ne pense pas que la ruée vers l'or ait été une bonne chose, mais plus ou moins aventureuse, antisociale, avec des jeux d'argent et de hasard, alors que les principales réserves d'or étaient déjà détenues par les oligarques financiers de l'époque).
C'est la base de ce que l'on peut critiquer chez une certaine forme de gauchisme, caractérisé par son refus de l'interdiction œdipienne et son ignorance de la vraie nature du (des) patriarcat(s) et de la tradition, en tant que communauté d'enfants fugueurs (c'est à dire, ni homme, ni femme, ni adulte - désir abstrait, infini, récursif, sans coupure, ni limite, ni distinction claire - anti-aristotélicien dans l'accent toujours mis sur l'exception comme minant le tout, plutôt que de traiter l'universel dans ses limites inhérentes et de travailler pragmatiquement à partir de ce point et de ne pas s'attarder dans la perversité et le doute philosophique sans fin. La philosophie ne consiste pas à poursuivre, mais à trouver, selon moi).
Cette forme moderne d'aliénation culmine dans une subjectivité (libérale) fragmentée, perpétuellement à la recherche d'un sentiment insaisissable de plénitude que le mythe de l'individualisme ne peut réconcilier avec la nature fondamentalement sociale de l'existence humaine, telle qu'elle est incarnée par la famille naturelle.
L'absence de véritables valeurs familiales dans une bonne partie de l'Occident contemporain - où, par exemple, les enfants de la classe ouvrière sont encore souvent censés quitter la maison à dix-huit ans et se débrouiller seuls d'une manière ou d'une autre (souvent jetés aux loups, malheureusement) - ne trouve pas non plus de réconfort dans le camp conservateur, qui, malgré sa valorisation vocale de ces valeurs, ne parvient pas à offrir des solutions substantielles aux conditions socio-économiques sous-jacentes qui minent les structures familiales.Mais qu'est-ce que tu racontes ? Le sujet n'est pas aliéné par le NDP, il est aliéné par le langage et cette aliénation n'est pas une aliénation quelconque, c'est pour Lacan une aliénation inévitable pour tous les êtres humains qui sont des êtres de langage, des parlêtres.
Rien à voir avec l'individualisme et la subjectivité nihiliste. Si on pense à partir d'un cadre théorique lacanien, c'est l'époque qui décide de cette subjectivité, pas le fonctionnement normal des êtres humains ??
Justement, la doctrine lacanienne est éminemment réactionnaire et conservatrice. Elle justifie le pire politiquement
Je trouve ta critique sociale très confuse et idéaliste. Tu évoques des phénomènes (« gauchisme, individualisme, famille naturelle ») d'une manière vague sans aucun support concret social/historique. Et ton analyse n'a aucune base économique, pas une seule mention du capitalisme
Je t'aurais bien éduqué plus en longueur sur le sujet mais je n'en ai pas le temps, et encore moins l'envie.
Le 03 août 2024 à 01:23:59 ForumInculte a écrit :
Le 03 août 2024 à 00:06:51 :
Le 02 août 2024 à 23:54:24 ForumInculte a écrit :
Lacan postule que le sujet se constitue à travers le langage et le réseau des relations sociales. La famille naturelle est emblématique de ce réseau, un site primaire où l'ordre imaginaire coalesce avec le symbolique, favorisant le développement du sujet naissant au sein d'un réseau de signifiants de parenté.En revanche, l'individualisme pur et dur - tel qu'il a été romancé par la ruée vers l'or en Californie - défend un faux récit de séparation de ce réseau, engendrant une forme de subjectivité nihiliste - un sujet aliéné par le Nom du Père, pris au piège des erreurs de reconnaissance de l'Imaginaire et ne parvenant pas à s'intégrer pleinement dans le domaine du Symbolique.
(Soit dit en passant, je ne pense pas que la ruée vers l'or ait été une bonne chose, mais plus ou moins aventureuse, antisociale, avec des jeux d'argent et de hasard, alors que les principales réserves d'or étaient déjà détenues par les oligarques financiers de l'époque).
C'est la base de ce que l'on peut critiquer chez une certaine forme de gauchisme, caractérisé par son refus de l'interdiction œdipienne et son ignorance de la vraie nature du (des) patriarcat(s) et de la tradition, en tant que communauté d'enfants fugueurs (c'est à dire, ni homme, ni femme, ni adulte - désir abstrait, infini, récursif, sans coupure, ni limite, ni distinction claire - anti-aristotélicien dans l'accent toujours mis sur l'exception comme minant le tout, plutôt que de traiter l'universel dans ses limites inhérentes et de travailler pragmatiquement à partir de ce point et de ne pas s'attarder dans la perversité et le doute philosophique sans fin. La philosophie ne consiste pas à poursuivre, mais à trouver, selon moi).
Cette forme moderne d'aliénation culmine dans une subjectivité (libérale) fragmentée, perpétuellement à la recherche d'un sentiment insaisissable de plénitude que le mythe de l'individualisme ne peut réconcilier avec la nature fondamentalement sociale de l'existence humaine, telle qu'elle est incarnée par la famille naturelle.
L'absence de véritables valeurs familiales dans une bonne partie de l'Occident contemporain - où, par exemple, les enfants de la classe ouvrière sont encore souvent censés quitter la maison à dix-huit ans et se débrouiller seuls d'une manière ou d'une autre (souvent jetés aux loups, malheureusement) - ne trouve pas non plus de réconfort dans le camp conservateur, qui, malgré sa valorisation vocale de ces valeurs, ne parvient pas à offrir des solutions substantielles aux conditions socio-économiques sous-jacentes qui minent les structures familiales.Mais qu'est-ce que tu racontes ? Le sujet n'est pas aliéné par le NDP, il est aliéné par le langage et cette aliénation n'est pas une aliénation quelconque, c'est pour Lacan une aliénation inévitable pour tous les êtres humains qui sont des êtres de langage, des parlêtres.
Rien à voir avec l'individualisme et la subjectivité nihiliste. Si on pense à partir d'un cadre théorique lacanien, c'est l'époque qui décide de cette subjectivité, pas le fonctionnement normal des êtres humains ??
Justement, la doctrine lacanienne est éminemment réactionnaire et conservatrice. Elle justifie le pire politiquement
Je trouve ta critique sociale très confuse et idéaliste. Tu évoques des phénomènes (« gauchisme, individualisme, famille naturelle ») d'une manière vague sans aucun support concret social/historique. Et ton analyse n'a aucune base économique, pas une seule mention du capitalisme
Je t'aurais bien éduqué plus en longueur sur le sujet mais je n'en ai pas le temps, et encore moins l'envie.
c'est bien dommage
Le 03 août 2024 à 01:26:56 Hylnir a écrit :
Le stade du miroir était intéressant, mais dans la globalité à déchiffrer, quelle horreur... Les travaux que j'ai dû faire sur ses retranscriptions ahi, je n'en garde pas toujours un bon souvenir
t'as travaillé sur quoi de lui khey ?
Le 02 août 2024 à 23:45:04 :
Le 02 août 2024 à 23:29:43 :
Le 02 août 2024 à 23:29:12 :
Le 02 août 2024 à 23:27:57 Psychaedaelic a écrit :
Le 02 août 2024 à 23:27:17 :
> Le 02 août 2024 à 23:26:29 Psychaedaelic a écrit :
>> Le 02 août 2024 à 23:21:21 :
> >> Le 02 août 2024 à 23:20:28 Psychaedaelic a écrit :
> > >Pertinent mais psychanalyse = astrologie d'un pt de vue scientifique, ah ok
> >
> > en quoi c'est de l'astrologie ? Après la version jungienne effectivement c'est de la religion
>
> Psychanalyse = 0 scientifique = Jung et donc ?
>
> J'ai donné mon avis perso, y a rien à tirer de concrètement sciementifique de la psychanalyse, ça s'était déjà fait.
explique ton raisonnement khey, tu m'as juste répété la même chose en ajoutant des =
Bah la psychanalyse n'est pas scientifique, je me répéterai bien 26x mais je suis que niveau 2
1. c'est quoi la science
2. en quoi la psychanalyse y déroge1. Google
2. 0 preuveya quand meme bon nombres de patients atteints de diverses pathologies mentales qui s'en ont sorti avec les therapies psy.
Et donc le rapport avec la psychanalyse ?
Le 03 août 2024 à 00:53:19 :
perdu 3h de ma vie putain de forum de cons
Ptdr, ça s'intéresse à la psy et ça montre les crocs de l'ego des que possible. Tu representes parfaitement ta discipline sectaire.
Mais il parle de maniere absconse
Le 03 août 2024 à 01:26:56 :
Le stade du miroir était intéressant, mais dans la globalité à déchiffrer, quelle horreur... Les travaux que j'ai dû faire sur ses retranscriptions ahi, je n'en garde pas toujours un bon souvenir
J'ai expliqué dès le 1er post que c'était à dégager t'inquiète
Le 03 août 2024 à 02:20:36 :
Ceux qui parlent de Lacan ou le citent ont l'air d'avoir détecté des messages dans ce qu'il a voulu dire.
Mais il parle de maniere absconse
Il a peut être de très bonnes idées mais ne sait absolument pas s'exprimer. A partir de là tu veux en tirer quoi ?
Je connais mal, mais je ne peux pas me l'encadrer lorsqu'il parle, un peu à l'image de Derrida d'ailleurs, ces deux types ne m'inspirent pas confiance. Et spécifiquement Lacan, sur le propos même, du peu que j'ai entendu, j'ai envie de rejoindre les anglais qui bashent la French theory en disant que c'est du vent tourné de façon pédante et alambiquée. Mais c'est avis basé sur pas grand chose à part quelques vidéos.
Foucault ou Deleuze ne me font pas cet effet du tout, a contrario
Le 03 août 2024 à 02:25:32 :
Je connais mal, mais je ne peux pas me l'encadrer lorsqu'il parle, un peu à l'image de Derrida d'ailleurs, ces deux types ne m'inspirent pas confiance. Et spécifiquement Lacan, sur le propos même, du peu que j'ai entendu, j'ai envie de rejoindre les anglais qui bashent la French theory en disant que c'est du vent tourné de façon pédante et alambiquée. Mais c'est avis basé sur pas grand chose à part quelques vidéos.Foucault ou Deleuze ne me font pas cet effet du tout, a contrario
Voilà, la on dirait du Lacan. C'est illisible.
Citations de Lacan :
Qu’un homme puisse éjaculer à la vue d’une pantoufle ne nous surprend pas, ni non plus qu’il s’en serve pour ramener le conjoint à de meilleurs sentiments, mais personne assurément ne peut songer qu’une pantoufle puisse servir à apaiser la fringale, même extrême, d’un individu.
Faire l’amour, comme le nom l’indique, c’est de la poésie. Mais il y a un monde entre la poésie et l’acte. L’acte d’amour, c’est la perversion polymorphe du mâle, cela chez l’être parlant. Il n’y a rien de plus assuré, de plus cohérent, de plus strict quant au discours freudien.
J’ai joué l’année dernière sur un lapsus orthographique que j’avais fait dans une lettre adressée à une femme -tu ne sauras jamais combien je t’ai aimé -é au lieu de ée. On m’a fait remarquer depuis que cela voulait peut-être dire que j’étais homosexuel. Mais ce que j’ai articulé précisément l’année dernière, c’est que, quand on aime, il ne s’agit pas de sexe.
Voilà un homme dont une femme ne doit pas avoir à se plaindre, un caractère génital, et donc qui doit veiller comme il faut, à ce que la sienne, quand il la baise, n’ait plus besoin après de se branler. Au reste, Freud ne nous dissimule pas qu’elle en est très éprise, et qu’elle l’agace sans cesse.
Mais voilà, elle ne veut pas être satisfaite sur ses seuls vrais besoins. Elle en veut d’autres gratuits, et pour être bien sûre qu’ils le sont, ne pas les satisfaire. C’est pourquoi à la question : qu’est-ce que la spirituelle bouchère désire ?, on peut répondre : du caviar.
Le 03 août 2024 à 02:28:01 :
Citations de Lacan :Qu’un homme puisse éjaculer à la vue d’une pantoufle ne nous surprend pas, ni non plus qu’il s’en serve pour ramener le conjoint à de meilleurs sentiments, mais personne assurément ne peut songer qu’une pantoufle puisse servir à apaiser la fringale, même extrême, d’un individu.
Faire l’amour, comme le nom l’indique, c’est de la poésie. Mais il y a un monde entre la poésie et l’acte. L’acte d’amour, c’est la perversion polymorphe du mâle, cela chez l’être parlant. Il n’y a rien de plus assuré, de plus cohérent, de plus strict quant au discours freudien.
J’ai joué l’année dernière sur un lapsus orthographique que j’avais fait dans une lettre adressée à une femme -tu ne sauras jamais combien je t’ai aimé -é au lieu de ée. On m’a fait remarquer depuis que cela voulait peut-être dire que j’étais homosexuel. Mais ce que j’ai articulé précisément l’année dernière, c’est que, quand on aime, il ne s’agit pas de sexe.
Voilà un homme dont une femme ne doit pas avoir à se plaindre, un caractère génital, et donc qui doit veiller comme il faut, à ce que la sienne, quand il la baise, n’ait plus besoin après de se branler. Au reste, Freud ne nous dissimule pas qu’elle en est très éprise, et qu’elle l’agace sans cesse.
Mais voilà, elle ne veut pas être satisfaite sur ses seuls vrais besoins. Elle en veut d’autres gratuits, et pour être bien sûre qu’ils le sont, ne pas les satisfaire. C’est pourquoi à la question : qu’est-ce que la spirituelle bouchère désire ?, on peut répondre : du caviar.
Qui lit cancer.
Le phallus, en mettant l’accent sur un organe, ne désigne nullement l’organe dit pénis avec sa physiologie, ni même la fonction qu’on peut, ma foi, lui attribuer avec quelque vraisemblance comme étant celle de la copulation. […] Il vise de la façon la moins ambigüe son rapport à la jouissance.
Tout est vanité sans doute, vous dit-il, jouis de la femme que tu aimes. C’est-à-dire, fais anneau de ce creux, de ce vide qui est au centre de ton être. Il n’y a pas de prochain si ce n’est ce creux même qui est en toi, le vide de toi-même.
Un sujet est ce qui peut être représenté par un signifiant pour un autre signifiant. Cela n’est-il pas calqué sur le fait que, dans ce que Marx déchiffre, à savoir la réalité économique, le sujet de la valeur d’échange est représenté auprès de la valeur d’usage ? C’est dans cette faille que se produit et que choit ce qui s’appelle la plus-value. Ne compte plus à notre niveau que cette perte. Non identique désormais à lui-même, le sujet ne jouit plus. Quelque chose est perdu qui s’appelle le plus-de-jouir.
Le niveau anal est le lieu de la métaphore - un objet pour un autre, donner les fèces à la place du phallus. Vous saisissez là pourquoi la pulsion anale est le domaine de l’oblativité, du don et du cadeau.
qu'est ce qui t'as poussé à t'intéresser à lacan l'op ?
étudiant en psycho ou t'es juste un intello ?
Ainsi l’universel de ce qu’elles [les femmes] désirent est de la folie : toutes les femmes sont folles, qu’on dit. C’est même pourquoi elles ne sont pas toutes, c’est-à-dire pas folles-du-tout, arrangeantes plutôt : au point qu’il n’y a pas de limites aux concessions que chacune fait pour un homme : de son corps, de son âme, de ses biens. […] Ce qui la conduit à la mascarade qu’on sait, et qui n’est pas le mensonge que des ingrats, de coller à L’homme, lui imputent. Plutôt l’à-tout-hasard de se préparer pour que le fantasme de L’homme en elle trouve son heure de vérité. Ce n’est pas excessif
Les gens qui ne veulent pas de moi, moi, je ne cherche pas à les convaincre. Il ne faut pas convaincre. Le propre de la psychanalyse, c’est de ne pas vaincre, con ou pas.
Le caractère fondamentalement transbiologique de la paternité, introduite par la tradition du destin du peuple élu, a quelque chose qui est là originellement refoulé, et qui resurgit toujours dans l’ambiguïté de la boiterie, de l’achoppement, et du symptôme, de la non-rencontre, dustuchia, avec le sens qui demeure caché.
Au niveau de la pulsion anale -un peu de détente ici- ça ne semble plus aller du tout. Et pourtant, se faire chier ça a un sens ! Quand on dit ici, on se fait rudement chier, on a rapport à l’emmerdeur éternel.
Données du topic
- Auteur
- FossileVivant
- Date de création
- 2 août 2024 à 22:57:18
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