Salutations ô 18-25.
Aujourd'hui j'aimerai faire part d'une expérience vécue que fit mon "auto-sodomisation" (je ne sais pas quel est le terme exacte ou correcte pour décrire cela).
Il faut savoir qu'avant cela jamais je n'avais pratiqué seul ou avec quelqu'un la sodomie.
Cela remonte au 28 octobre. Une belle journée qui prenait fin, alors que je rentrai chez moi après avoir séjourné chez un ami. Comme à mon habitude je prend une douche pour me laver et me détendre. Et alors que je me savonnais, me vint une envie de démangeaison inqualifiable provenant de mon anus.
J'utilisai alors mon majeur comme "grattoir" sur mon orifice et au même moment une idée farfelue me
traversa l'esprit : " Que ressent-on lors d'une pénétration anale? "
Après avoir vu certains films dans lesquels les acteurs ne s'en plaignent pas du moins, ma curiosité me poussa à pousser le bouchon un peu plus loin. J'arrêtai de me gratter l'anus pour commencer à m'enfoncer le doigt lentement. Le bout du doigt rentra et je soupirai en gémissant : " aaah ".
Au départ cela m'a procuré la même sensation que lorsque je défèque. Mon trou était chaud et la texture de la peau assez douce. Mon doigt était coincé entre les muscles qui refermait mon orifice. En continuant de pousser un peu plus, je fis rentrer la moitié de mon majeur. Et le bout de mon doigt avait atteint un "vide", j'étais rentré dedans. J'avais un peu mal et je grimaçais sans arrêt. Mais rien de bien méchant alors je me suis mit à faire des vas et vient jusqu'à ce que le mouvements soit plus simple à exécuter.
Une autre idée me traversa lorsque je porta mon attention sur mon entrejambe. Comme un calcul logique dans ma tête qui s'effectuait je m'extirpais le doigt de l'anus, avant d'attraper mon pénis et commencer à me masturber. En moins d'une minute j'étais assez excité, un afflux de sang maintenait mon pénis en érection moyenne. Je tenta de mettre le gland contre orifice. C'était plus gros et j'avais du mal.
Je m'étais assis dans la salle de bain pour simplifier la tâche.
Le gland avait du mal a tenir en place et je du forcer pour le rentrer, ce qui ne fut pas très agréable. Mon organe reproducteur n'était pas assez long et n'arrêtait pas de se retirer.
Après avoir réussi à m'être pénétré je n'eu pas la possibilité de pouvoir continuer plus loin.
Mon pénis était tordu j'avais un peu mal mais cela me procurait au même moment, une légère satisfaction sexuelle à mon pénis..
Ma mère remarqua que je m'éterniser dans la salle de bain. Du coup elle frappa à la porte et demandât : " Tout va bien là-dedans? " D'une rapidité éclipsante je retirai mon entrejambe de mon anus avec un stress jusque là incomparable. La porte n'ayant pas de loquet je craignais qu'elle puisse entrer et découvrir ce que je manigance.
Alors je me suis redressé avant d'accourir à la porte pour la bloquer lorsqu'elle l'ouvrit pour me surprendre nu le sexe rigide. Elle referma la porte aussitôt avec stupeur en poussant un court cri. Le malaise s'installa pendant quelques jours chez nous.
Mais le fait de savoir qu'elle ne m'a pas surpris en train de me sodomiser me rassure.
Même si ce n'était une expérience phénoménale je dirais en conclusion que la sodomie est comme du fromage. Certains aiment, d'autre n'aiment pas. Il faut s'y habituer
