[FIC] CELESTIN AFFRONTE L'AYATOLLAH IRANIEN !

D. S'allonger par terre et faire le mort. Dans les films, ça marche, non ?

Vous vous étendez par terre comme un cadavre, sans réfléchir, afin d'échapper à l'attention du terroriste, que vous entendez crier dans la rue.

- Achtung, meine lieben Kinder ! Papa Rudolf pas content !

Bordel de bonsoir ! J'espère qu'il va m'ignorer !

- Curieux ! Un jeune homme étendu par terre !

Vous paniquez et vous réagissez, découvrant la personne qui s'approche de vous.

- Pitié ! Pitié ! Me tuez pas ! Je veux vivre ! Euh... je suis jeune ! Euh... j'ai toute la vie devant moi !

- ...

- Pitié ! Je veux pas mourir ! S'il vous plait ! J'ai une famille qui, euh, m'attend, je, quelque part !

- ... T'as fini, sale gosse malaisant ?

- Pitié !

L'homme en question porte effectivement un uniforme SS, et il tient un fusil d'assaut entre les mains, qu'il braque sur vous.

- Vous allez me tuer ?

- Nein ! Je vais juste te renvoyer à Treblinka !

- Trebli-quoi ?

- Treblinka ! Treblinka, ma parole !

- C'est quoi ?

- Quoicoubeh !

- ...

- ...

- ...

- POST ou CANCER !

- Hein ?!

- Deux ?

- Vous... vous venez du forum ?

- Ah, je vois, mon p'tit. Toi aussi, t'es un "khey" ?

- Euh... ouais ! Mais... vous êtes trop vieux pour le 18-25, non ?

- Peut-être, mais encore assez jeune pour 39-45 !

Soudain, un homme habillé en cow-boy débarque promptement dans votre direction, à califourchon sur un cheval qui semble sortir tout droit d'un western. Le type braque son pistolet du XIXème siècle sur vous deux, fumant en même temps un cigare qui ajoute à son charisme de dingue.

- Mains en l'air, tous les deux. Fini de jouer, les caïds.

- Mais ?! Vous êtes qui, vous, encore ?

- Tu vas bientôt le savoir, si tu continues à faire le bandit dans ma ville.

- Ferme-la, qui t'a invité, bonhomme ? Enlève moi ce flingue, ou je t'envois direct à Belzec !

Le cow-boy jette un regard au fusil du fugitif.

- Pose-moi ça, c'est une réplique que t'as volé dans un musée.

- ... Hum. Ouais, c'est bon, tu veux, quoi, maintenant ?

- Vous êtes qui, monsieur ?

- Je suis John James Jersey, et ici, c'est moi qui fait régner la loi. Au nom de la loi, je vous arrête pour trouble à l'ordre public. Suivez-moi et dépêchez-vous.

Le 15 avril 2024 à 15:19:12 :
La suite ?

Ce soir, je crois bien !

Le 15 avril 2024 à 16:19:48 :

Merci pour le up !

Bon, finalement, la sweet sera pour demain, il me manque quelques idées

Pour l'instant, je vais lire la fic d'un autre kheyou, histoire de m'intéresser aux œuvres des autres

Le dénommé John James Jersey vous conduit à travers les rues jusqu'au poste de police, situé dans le centre-ville de Dunkerque. Des passants vous regardent avec étonnement en train de marcher sous la garde du cow-boy, son cheval et son pistolet.

- Par ici ! On est arrivé ! Laissez-moi que dire que votre nouveau logement n'offrira aucun confort !

- Je... je veux pas d'ennuis monsieur, moi à la base j'étais pas impliqué dans ce-

- Hep hep hep, n'essaye pas de m'entourlouper, j'en ai connu des plus jeunes que toi, des brigands ! Mes yeux ne me mentent jamais, tu n'échapperas pas à la loi !

- Mais j'ai fait quoi ?!

- T'aurais dû t'enfuir comme les autres quand je t'ai remarqué, maintenant ce bonhomme pense que tu participais à mes folies.

- Allez, Sofia, je fais vite ! Tu m'attends ici, hein ?

- Huhuhuhhh !

- Allez, les gredins, on entre !

Vous mettez le pied dans le bâtiment de la police. Un officier, assis derrière le comptoir à l'accueil, salue John et vous observe de la tête aux pieds.

- Ah, ce bon vieux John !

- Comment vont les affaires, Vincent ?

- Comme sur des roulettes ! Dis-moi, qu'est ce que tu nous ramènes aujourd'hui ? On dirait que t'as pêché un sacré spécimen !

L'officier Vincent désigne le khey en uniforme allemand.

- T'aimes mon look, pas vrai, mec ?

- Hé, le nazillon ! J'aime pas trop comment tu t'adresses à moi ! D'ailleurs, mes collègues vont rapidement te retirer ce torchon d'uniforme !

- ...

- C'est mon authentique uniforme que tu qualifies de torchon, espèce de... de... de torchon ?

- Ouais, ouais, on parle bien de ça ! Et d'ailleurs, le crasseux, tu feras un petit tout sous la douche ! Et je parle des douches à eau, au cas-où, le nazillon !

- Tu touches à un bouton de ma tenue et je fais effondrer tout le commissariat !

- T'es sûr ?

- Il va se calmer, le boche !

Un groupe de policiers se présente à côté de vous.

- Hep ! T'inquiètes pas Vincent, on s'occupe de ces deux puanteurs !

- Mais euh... je pue pas !

- Ferme-la, et suivez-nous ! Vous allez apprécier votre séjour ici !

- ...

- Ca, gamin, ça veut dire qu'on va détester cet endroit...

- Ouais-ouais, j-j-je m'en d-doute bien !

- Bref, ces deux-là ne sont plus un danger maintenant. J'y vais, ma pause donut a assez patienté comme ça.

- Merci, John ! Du très bon boulot, comme d'hab !

- Allez ! Direction le sous-sol pas très rassurant, mes loulous !