[HOMME LIBRE] Je ne travaillerai JAMAIS

Le 31 mars 2024 à 05:53:51 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:40 :

Le 31 mars 2024 à 05:29:56 :
Je pense vraiment que je pourrais me tuer si je devais prendre un boulot là. Peu importe le salaire, les jours de télétravail, je m'en fous.

Le fait, pour survivre, de devoir rendre des comptes, mettre un réveil le matin, laisser des esclaves me parler d'égal à égal ou, pire, comme s'ils étaient mes supérieurs (!!!), me mettre en avant, me vendre, me déplacer, je ne pourrais vraiment pas.

Je n'ai aucune idée de comment les gens font pour encaisser ça honnêtement. Le smicard comme l'ingénieur financier vivent des vies qui ne leur appartiennent pas, je ne peux vraiment rien envisager de pire.

Honnêtement, si on exclut la question de ceux qui la peuplent, je pense que la prison est préférable au travail. Je ne parle pas de salariat mais bien de travail. On a beau être un esclave à son compte, on reste un esclave.

Je ne sais pas pourquoi les gens ne choisissent pas le RSA (à la limite ça, ce sera peut être bientôt fini) ou simplement de vivre chez leurs parents. C'est objectivement mieux sur tout les plans.

Le travail c'est la mort. C'est du suicide. Signer un contrat de travail, ça devrait être considéré comme un meurtre comme un autre.

ahiiii

je suis pas un esclave mais je vie au crochet de mes parents

Tu te sent pas trop mal quand maman te demande de faire la vaiselle

Ta juste pas un père qui est assez deter pour te foutre dehors Célestin calme-toi avec ta révolution d'homme libre.

Son père est assez deter pour continuer sa vie en gardant un parasiste de ce genre chez lui justement

Je vis pas chez mes parents.
Les esclaves zombifiés bordel, le cerveau démoli par les 35h, incapables de lire un post jvc.

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Le mieux serait d'être rentier et d'avoir un minimum de revenus pour pouvoir toujours faire quelque chose et de profiter de la vie.

Sauf que ça représente une extrême minorité des gens.

Si je pouvais avoir au moins 10/20k par mois de rentes

Avoir une vie confortable sans compromis et être libre.

Malheureusement il va falloir cotisé plus de 40 ans pour avoir une retraite misérable.

c quoi les disponibilités?

bosser 5 jours sur 7 c horrible

par contre bosser en temps partiel c le juste milieu je trouve

Le 31 mars 2024 à 05:55:09 :

Le 31 mars 2024 à 05:50:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:40:52 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

meme chose pour moi, on conditionne les esclaves avec l'esclavage de l'école deja pour qu'ils l'acceptent facilement une fois adultes

Je me demande toujours si être un homme libre c'est pas inné, génétique d'une certaine façon. Je sais que j'avais des prédispositions: je n'ai jamais supporté l'école. Quand j'étais petit je m'enfuyais de l'école en escaladant le grillage.

Au lycée je sortais en slip la nuit pendant l'hiver pour chopper la crève et ne pas aller en cours.

Quand j'étais petit aussi je m'étais enfui de l'école et j'ai toujours rêvé de m'enfuir le plus loin possible sans savoir où me diriger

Lors de mes 3 ans je m'étais enfui de l'école pendant qu'on retournait en classe en passant par le sas ou les bennes de l'école étaient rangées et qui menait vers dehors, c'est des éboueurs qui m'ont retrouvés en train de m'amuser dans la boue en tapant des pieds

Oui putain la sensation de liberté les quelques fois où j'ai séché le collège. Sortir par le portail en toute sérénité, aller traîner en ville, laisser le collège derrière toi

Maintenant je ressens moins ce frisson vu que je m'y suis habitué, c'est juste devenu normal pour moi de vivre totalement libre, sans aucune obligation, sans aucune contrainte.

Le 31 mars 2024 à 05:57:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Oui, ça s'appelle des cinglés, notre époque en produit pas mal. Il y a aussi des scatophiles et des gens qui aiment se prendre des coups de genoux dans les burnes.

Le 31 mars 2024 à 05:59:36 :
Le mieux serait d'être rentier et d'avoir un minimum de revenus pour pouvoir toujours faire quelque chose et de profiter de la vie.

Sauf que ça représente une extrême minorité des gens.

Si je pouvais avoir au moins 10/20k par mois de rentes

Avoir une vie confortable sans compromis et être libre.

Malheureusement il va falloir cotisé plus de 40 ans pour avoir une retraite misérable.

10k ?
putain donnez moi 600 sans déconner
Je suis en Argentine et ici avec 600 tu vis dans un appart de 35m², dans un excellent quartier de la capitale, tu bouffes au restau de temps en temps et tu te déplaces en uber quand t'as la flemme de marcher.

Mais comme j'ai dit, même en France, et même avec un budget encore plus juste, ça reste préférable au travail.

Le 31 mars 2024 à 06:02:14 :

Le 31 mars 2024 à 05:57:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Oui, ça s'appelle des cinglés, notre époque en produit pas mal. Il y a aussi des scatophiles et des gens qui aiment se prendre des coups de genoux dans les burnes.

J'ai une collègue comme ça qui dit ne pas aimer être au boulot pour rien faire et me parle de conscience professionnelle, elle a pas un QI super élevé et ne trouve pas ça normal que j'essaye d'en faire le moins possible au boulot sans que les supérieurs le remarquent

Le 31 mars 2024 à 06:00:46 :
c quoi les disponibilités?

bosser 5 jours sur 7 c horrible

par contre bosser en temps partiel c le juste milieu je trouve

Disponibilité ça veut dire qu'en gros tu peux te barrer quelques années et ton boulot t'attend. Non rémunéré. Pas mal de fonctionnaires font ça pour tester des projets (je n'aurai jamais de projets personnellement, car homme libre).

Le 31 mars 2024 à 06:02:14 Odeur2Sueur a écrit :

Le 31 mars 2024 à 05:57:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Oui, ça s'appelle des cinglés, notre époque en produit pas mal. Il y a aussi des scatophiles et des gens qui aiment se prendre des coups de genoux dans les burnes.

Tout est dit

Le 31 mars 2024 à 06:04:41 :

Le 31 mars 2024 à 06:02:14 :

Le 31 mars 2024 à 05:57:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Oui, ça s'appelle des cinglés, notre époque en produit pas mal. Il y a aussi des scatophiles et des gens qui aiment se prendre des coups de genoux dans les burnes.

J'ai une collègue comme ça qui dit ne pas aimer être au boulot pour rien faire et me parle de conscience professionnelle, elle a pas un QI super élevé et ne trouve pas ça normal que j'essaye d'en faire le moins possible au boulot sans que les supérieurs le remarquent

Ouais t'inquiète j'ai déjà parlé à des gens comme ça. Je sais pas s'ils croient à ces conneries ou s'ils ont juste peur de dire ce qu'ils pensent vraiment.

Une connaissance de la salle m'avait sorti ça quand je lui avais demandé pourquoi il restait pas au RSA chez ses parents: "moi si je bosse pas je me fais chier". Sachant que le mec, le boulot qu'il venait de trouver c'était agent de sécu dans un supermarché et qu'avant ça c'était SNCF propreté. Consternant.

Après c'est triste à dire mais il faut peut être encore du bétail pour qu'il y ait des hommes libres, des supérieurs.

Le 31 mars 2024 à 06:09:12 Odeur2Sueur a écrit :

Le 31 mars 2024 à 06:04:41 :

Le 31 mars 2024 à 06:02:14 :

Le 31 mars 2024 à 05:57:45 :

Le 31 mars 2024 à 05:37:14 :
Vraiment quand tu as goûté à la liberté tu peux pas t'arrêter. J'ai commencé quand j'étais en 1ère année de prépa, en séchant. J'ai tout de suite été accro. Puis mon année suivante de prépa, là j'étais absent plus de la moitié du temps, et la bourse qui tombait sans rien foutre. Et à la fac, n'en parlons pas.

J'ai réussi à vivre comme ça des années, une année j'avais plus de 1500 par mois en faisant RIEN quoi. (j'étais dans une de ces écoles d'ingé qui rémunèrent leurs étudiants contre engagement décennal envers l'état)

Je pense que si les gens acceptent d'être des esclaves c'est juste qu'ils n'ont jamais goûté à ça. Pour moi il n'y a aucun doute: on pourrait m'offrir n'importe quel boulot, le boulot rêvé des normies même, avec un salaire mirobolant, je préfèrerai toujours, et de loin, un RSA touché sans rien foutre.

Il existe des gens qui détestent l'inactivité de la même manière que tu détestes travailler

Oui, ça s'appelle des cinglés, notre époque en produit pas mal. Il y a aussi des scatophiles et des gens qui aiment se prendre des coups de genoux dans les burnes.

J'ai une collègue comme ça qui dit ne pas aimer être au boulot pour rien faire et me parle de conscience professionnelle, elle a pas un QI super élevé et ne trouve pas ça normal que j'essaye d'en faire le moins possible au boulot sans que les supérieurs le remarquent

Ouais t'inquiète j'ai déjà parlé à des gens comme ça. Je sais pas s'ils croient à ces conneries ou s'ils ont juste peur de dire ce qu'ils pensent vraiment.

Une connaissance de la salle m'avait sorti ça quand je lui avais demandé pourquoi il restait pas au RSA chez ses parents: "moi si je bosse pas je me fais chier". Sachant que le mec, le boulot qu'il venait de trouver c'était agent de sécu dans un supermarché et qu'avant ça c'était SNCF propreté. Consternant.

Après c'est triste à dire mais il faut peut être encore du bétail pour qu'il y ait des hommes libres, des supérieurs.

Oui, encourageons-les à travailler plus comme le font les zélites en fait. Zélites qui ont le rappelle n'en glande pas une avec un salaire à 20k.

Le 31 mars 2024 à 06:17:21 :
La vrai question c'est qu'est ce que tu fais de tes journées, quand tu es au RSA, sport, lectures, jeux vidéos, et après .... Le moindre truc coûte de l'argent.

JV pas trop pour moi, pas du tout en fait. Et le reste qui coûte du fric, on parle de quoi ? La bouffe, l'élec, internet ? C'est évidemment pris en compte, et après ? Tu imagines pas à quel point on dépense peu d'argent quand on est pas un ravagé du consumérisme qui claque des centaines d'euros à la moindre pulsion.

C'est aussi ça le problème dans ces discussions, je me retrouve souvent à parler avec des gens qui pensent qu'il faut 3000e pour "vivre dignement". Leur définition de "vivre dignement" c'est évidemment s'acheter un iphone par mois, avoir 40 abonnements OF et services de streaming, claquer 600 balles en jeux sur steam, manger Uber eats à tous les repas (la dark kitchen """coréenne""" de Rachid, en attendant le nouveau pays à la mode) C'est juste anormal en fait de vivre comme ça.

Si tu estimes qu'un RSA ne suffit pas à vivre, la réponse c'est pas de courir après plus d'argent, mais de faire un retour sur toi même pour déterminer si tes "besoins" sont vraiment des besoins. J'ai vraiment du mal à prendre au sérieux un "homme" qui estime que ses petits luxes sont indispensables personnellement.

Le 31 mars 2024 à 06:26:01 :
Je gère des gens au RSA ou AAH.
Quasiment tous des cassos qui vivent dans des porcheries..
Ce délire de vie de roi aux minimas sociaux j'y ai jamais vraiment cru, mais depuis que je fais ce job, encore moins

Tu me validerais un dossier AAH pour dépression ou autisme asperger mec ? Quelle CAF ?