Grenoble : Il se fait TABASSER quasiment à MORT pour un téléphone
« Il a un traumatisme crânien avec une fracture du crâne et d’autres fractures sur les os de la face… », résume sa maman. « Son état semble bien évoluer mais on ignore encore s’il aura des séquelles.»
« Si je dois en avoir, je vais le découvrir au fur et à mesure, d’après les médecins. Ce sera la surprise… », ironise courageusement l’étudiant de 19 ans qui se plaint d’un « mal de crâne, pas très intense mais constant » et qui tente de se souvenir avec précision de l’agression qui a failli lui coûter la vie, le soir du mercredi 13 septembre.
« C’est un souvenir vague… Comme si je parlais d’un rêve », prévient-il.
Ce dont il est sûr, c’est que vers 18 h 30 ce soir-là, il était au téléphone avec sa mère, assis sur un banc de l’avenue Benoît-Frachon à Saint-Martin-d’Hères… et qu’il ne demandait rien à personne.
« J’ai vu une voiture arriver et se garer. Trois hommes, apparemment très jeunes et que je ne connaissais pas, en sont sortis et sont venus vers moi. Ils ont commencé à m’embêter et à tenter de prendre mon téléphone. J’ai essayé de me défendre comme je pouvais. C’est là que j’ai pris les premiers coups. Je ne me suis pas laissé faire, je me suis vraiment débattu, mais à un contre trois… », soupire-t-il.
Après lui avoir arraché son téléphone, les trois agresseurs ont continué à le frapper, à s’acharner sur lui alors qu’il était au sol. Le frappant notamment à la tête.
« Mon souvenir s’arrête là. J’ai perdu connaissance et je me suis réveillé le jeudi matin à l’hôpital ».
C’est d’abord par la presse, dit-elle, qu’elle a appris que deux suspects avaient été interpellés en possession du téléphone de son fils (« on n’a jamais retrouvé son portefeuille… », souligne-t-elle) et qu’un troisième était activement recherché [lire par ailleurs]. « Quand j’ai su qu’ils avaient été laissés libres sous contrôle judiciaire, j’avoue que je n’ai pas réagi. Ce n’était pas notre priorité, à mon mari et à moi. C’était l’état de notre fils, qui était alors encore en soins intensifs… Mais maintenant nous avons hâte qu’ils soient jugés. »
Les mêmes policiers de la Sûreté départementale enquêtent sur une autre affaire d’agression survenue le week-end dernier à Grenoble, lors de laquelle un étudiant a été très gravement blessé à coups de couteau alors qu’il sortait de soirée avec des amis, dans la nuit de samedi à dimanche.
"laissés libres sous contrôle judiciaire"
Quand est-ce que les juges rendront des comptes ?
Le 18 septembre 2023 à 23:24:35 :
"laissés libres sous contrôle judiciaire"Quand est-ce que les juges rendront des comptes ?
Le 18 septembre 2023 à 23:26:23 :
Pour qui votent les Grenoblois ?
Il y a les mêmes problèmes dans les villes du FN
Le 18 septembre 2023 à 23:26:23 :
Pour qui votent les Grenoblois ?
Ecolo
Le 18 septembre 2023 à 23:27:18 :
Ces raclures
*petits anges
Jean-Luc MÉLENCHON 38,94
Emmanuel MACRON 25,31
Marine LE PEN 10,21
Le 18 septembre 2023 à 23:24:35 :
"laissés libres sous contrôle judiciaire"Quand est-ce que les juges rendront des comptes ?
en vrai quand ils font ça et que les agresseurs passent à nouveau à l'action ils sont complices. On fait quoi du coup ? On poursuit en justice la justice ? Comment ça se passe ?
Le 18 septembre 2023 à 23:27:11 :
Le 18 septembre 2023 à 23:26:23 :
Pour qui votent les Grenoblois ?Ecolo
Mairie écolo qui a retiré les caméras de la ville
Il faut dire à ces petits anges que ce n'est pas gentil d'embêter ses camarades.
Ils auront compris la leçon.
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- 18 septembre 2023 à 23:20:27
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