Si vous deviez rejoindre un Dieu du Chaos dans 40K

Lequel choisiriez-vous ?

Vu la frustration de la majorité d'entre vous avec les femmes je pense que vous irez CASH chez Slaneesh mais je suis curieux de savoir

Khorne c'est low tier, la.plipart des gens veulent l'armée pour le coté aventure et service à la patrie, donc sans soif de sang, assez peu d'intérêt, bof.

Nurgle, tristement sous côté. Seule divinité bienveillante, en cela qu'elle aime vraiment ses enfants. Enfants d'ailleurs qui perdent totalement la sensation de la souffrance au profit d'une quiétude physique totale. Malgré la maladie et la laideur, la contrepartie est cool.

Slaanesh c'est l'hédonisme à l'excès, la baise, le sexe, la drogue, les plaisirs malsains etc. On detourne le simple plaisir excessif pour le tordre, je peux comprendre l'intérêt à court terme, mais pour l'éternité c'est un choix terrible.

Tzentch, c'est un pacte luciferien. On se sait esclave de ses projets, mais en obtenant en contrepartie une connaissance de plus en plus approfondie du monde, la maîtrise de ses lois, tout en conservant son libre Arbitre, contrairement aux trois autres.

Si je devais noter, ce serait
Tzentch>Nurgle>Slaanesh>Khorne.

"Nurgle, tristement sous côté. Seule divinité bienveillante, en cela qu'elle aime vraiment ses enfants. Enfants d'ailleurs qui perdent totalement la sensation de la souffrance au profit d'une quiétude physique totale

Je pense que beaucoup de monde ignore ce petit detail, ca expliquerait pourquoi personne ne veut le rejoindre

Le 23 mai 2023 à 01:21:28 AtomiseurDeCul a écrit :
nurgle c'est le seul qui est cool avec toi, alors oui t'as la peste et la peau qui pèle, mais ca change pas du khey moyen

T'es litteralement un cancer vivant, mais tu ne ressens plus la douleur et t'es dans un etat de bonheur absolu comme si t'etais defoncé en permanence

Le 23 mai 2023 à 01:34:21 PerfectionFive a écrit :
Je me lance pour Nurgle
Je serais moche mais je serais bien et je pourrais toujours baiser des femelles purulentes

Papa Nurgle t'accueille les bras grands ouverts