Quel abaissement plus librement consenti que de rentrer chez soi se branler ? Même si personne ne nous voit ?
La pornographie démoli l'image de la femme qui se prostitue certes, mais aussi rappelons-le, la dignité de l'homme qui y succombe.
En suscitant à répétition la honte secrète de la masturbation avec images, la masturbation rabaisse l'estime de soi d'homme déjà mal aimé des femmes -raison pour laquelle il se rabattait déjà sur la masturbation mentale, penchant que le porno va exalter par les images.
Le recours à la pornographie est la voie de garage des perdants de la selection naturelle.
Le porno achève d'écrémer les hommes, établissant les reproducteurs d'un coté qui draguent et baisent, sortent, existent et les frustrés de l'autre - ceux la se branlent, cloitrés chez eux