Topic de GAOMaster :

[KJ] Ici on écrit des poemes

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Je crie, je crie, mais tu ne m'entends pas
Tu dis être là mais je ne te vois pas
Nos âmes sont désynchronisées.
Notre relation commence à s'effondrer.

Je souffre, je souffre, remarque moi
Je ne suis pas aussi fort que tu le crois
J'ai besoin d'amour, un signe que j'compte pour toi
Tes mots réchauffaient mon cœur, mais ils sont maintenant si froids.

J'attends, j'attends, mais résister devient de plus en plus dur
Le temps ralentit, chaque seconde est une torture
J'essaye de jeter mes sentiments, tout oublier qu'on redevienne comme avant
Mais je t'aime, je t'aime, je t'aime tellement

Je fuis, je fuis, je t'en supplie retiens moi
Dis-moi que tout n'était qu'un malentendu, prend moi dans tes bras
Je n'ai plus de larmes à pleurer et tu n'es toujours pas là
toujours pas... toujours pas... toujours pas... toujours pas... 

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/22/7/1654446517-q84-17.png

Passe à autre chose, je pense que c'est mort ! Bro https://image.noelshack.com/fichiers/2022/10/6/1647103533-15.png
Je fart, je fart, ça pue https://image.noelshack.com/fichiers/2022/39/3/1664401776-gelem-cocasse.png
Et quand il pète il troue son slip https://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/4/1663852709-golemabasourdi.png
Tres joli poeme en depit du bide https://image.noelshack.com/fichiers/2022/41/4/1665613624-doughnanachi.png
Les romances des KJ putain https://image.noelshack.com/fichiers/2022/23/2/1654568786-untitled-6.png

Muni d’un balai fait de plumes de phénix,
Je viens au seuil de mon cœur
Ôter ces fleurs douloureuses, et m’évanouir
Du sien ainsi que l’onde de l’eau calme.

Se retourner, et, comme Auguste
À ses prisonniers, murmurer à son amour:
“Maintenant, il faut mourir”.

Bon voilà, mais flemme de les faire rimer, on reste sur le thème de l'amour absolument broken comme ça https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985783-ahi-triangle.png

Est-ce la mission qui nous est confiée ?
Une vie absurde vouée à se propager.
Quel créateur c’est montré assez mesquin
Pour paver de débauche notre chemin ?

Assez, que se taisent enfin ces pulsions !
Qui nous possèdent, brisent nos convictions !
Nul livre n’abreuve, nulle parole ne libère
De ces yeux qui brûlent, de ce cœur qui serre.

Finalement quand vient la douce étreinte
Notre corps s’endort satisfait, quitte la crainte.
Reste notre âme seule hurlant aux fracas
Que jamais plus personne ne l’y reprendra.

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Données du topic

Auteur
GAOMaster
Date de création
22 janvier 2023 à 22:06:44
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