[TOPIC EDUCATIF] "Gneu gneu gneu, le FRENCH DREAM c'est un concept de FOROMEUR IMMATURE"

Rapidement le délire du french dream est devenu quasi exclusivement un délire sexualisé sur l'IMC des dreameuse alors que comme l'explique l'auteur c'était au départ une façon de raconter un malaise dans la société.

Après, la critique des magalox a sa place dans le délire french dream, puisque le dreamer n'a aucune manière de séduire des femmes de qualité : aucun intérêt, aucun capital social, aucun capital physique, aucune passion, etc. Sans rappeler le lien évident entre dream et santé.

This. Très intéressant.
Et c'est d'ailleurs pour ça que toutes les "tentatives" de s'extraire de ce french Dream est en général contesté par la société. Ça renverse trop l'ordre établi qui va super bien aux politiques.

- les Dreamers deviennent vindicatifs envers ceux qui s'en extraient parce que ça leur est insupportable de voir d'autres s'en sortir mieux alors qu'ils ont créé (plus ou moins) leur propre enfer

- les politiques sont contres les progrès sociétales qui permettent de sortir de ça car cela voudrait dire moins de gens ahuris pour les suivre.

This. Très intéressant.
Et c'est d'ailleurs pour ça que toutes les "tentatives" de s'extraire de ce french Dream est en général contesté par la société. Ça renverse trop l'ordre établi qui va super bien aux politiques.

- les Dreamers deviennent vindicatifs envers ceux qui s'en extraient parce que ça leur est insupportable de voir d'autres s'en sortir mieux alors qu'ils ont créé (plus ou moins) leur propre enfer

- les politiques sont contres les progrès sociétales qui permettent de sortir de ça car cela voudrait dire moins de gens ahuris pour les suivre.

C'est vrai qu'il y a un réel intérêt politique à maintenir des dreamers. Et le progrès technologique nous oriente certainement vers une société où l'on aura besoin de moins en moins de personnes compétentes, donc ce n'est pas un problème a priori que nos systèmes scolaires soient des usines à dreamers.

Déjà en dessous de 50 connectés pour un topax à effort, j'imagine que je vais devoir le reposter ce soir à 18h

Je reste encore ici pour 15-20 mns pour en discuter avec les kheys matinaux

Je suis d'accord avec l'OP, même si j'ai fais un crédit pour acheter un appartement

Ceci étant, mon but n'était pas de l'acheter pour m'engraisser dedans, mais de le retaper pour le revendre sachant qu'il a déjà pris de la valeur puisque l'immobilier a explosé dans ma ville (une augmentation de 20% depuis que j'ai acheté)

Je suis d'accord avec l'OP, même si j'ai fais un crédit pour acheter un appartement

Ceci étant, mon but n'était pas de l'acheter pour m'engraisser dedans, mais de le retaper pour le revendre sachant qu'il a déjà pris de la valeur puisque l'immobilier a explosé dans ma ville (une augmentation de 20% depuis que j'ai acheté)

Je pense que chercher la liberté financière n'est pas dreamer du tout, donc tout le mérite te revient khey évidemment utiliser la dette pour améliorer sa situation financière n'est pas dreamer (car cela représente une prise de risque, un effort pour améliorer sa situation, et potentiellement une manière de se délivrer du salariat).

Commentaire très pertinent sur ce qu’est le french dreamer surtout l’axe qui indique qu’il se transmet de génération en génération.

Je me souviens qu’au collège/lycée (privé catholique) ma copine de l’époque portait beaucoup de vêtements de marque à la mode ( Ugg, Canada goose, sac long champs et autre) et avait même un scooter, quant j’ai discuté avec ses parents je me suis rendu compte qu’en réalité pour payer le bonheur de leur filles ( elle a une grande sœur) ils vivaient dans un logement social et ne pouvaient pas en devenir les propriétaires donc condamnés à être locataires toutes leur vie. De plus des qu’ils économisent c’est automatiquement pour des vacances extravagantes ( voyage à miami) et sinon leurs vacances normal c’est les campings. Et ils ont évidemment habitués leurs enfants à ne se sentir heureux que lorsqu’ils consomment. Le pire c’est que dans la tête du père tout va bien parce qu’il se serre la ceinture pour pourvoir aux besoins de sa famille. Si l’uniforme était obligatoire, vous n’imaginez pas le nombre de dépenses qu’il n’aurait pas eu à faire

Le 02 janvier 2023 à 10:07:06 :
Au prix des bouquins mieux vaut bosser pour les acheter

Après je suis d’accord que quand on travail on a tendance à acheter full industriel car y’a jamais de cantines et parfois le lieu de travail est mal desservi

Anna's archive existe pour remplacer zlib

Le 02 janvier 2023 à 10:19:44 :

Je suis d'accord avec l'OP, même si j'ai fais un crédit pour acheter un appartement

Ceci étant, mon but n'était pas de l'acheter pour m'engraisser dedans, mais de le retaper pour le revendre sachant qu'il a déjà pris de la valeur puisque l'immobilier a explosé dans ma ville (une augmentation de 20% depuis que j'ai acheté)

Je pense que chercher la liberté financière n'est pas dreamer du tout, donc tout le mérite te revient khey évidemment utiliser la dette pour améliorer sa situation financière n'est pas dreamer (car cela représente une prise de risque, un effort pour améliorer sa situation, et potentiellement une manière de se délivrer du salariat).

après la prise de risque est quand même très modérée dans le sens où les banques ne te suivent pas si t'as pas le patrimoine ou le revenu pour répondre au crédit.

Après je suis pas salarié non plus, je suis en profession libérale donc j'ai pas directement un patron au-dessus de moi, mais j'ai quand même des contraintes liées aux différentes charges qui m'imposent de travailler (mais au rythme et dans les conditions que je le souhaite). Après je suppose que tu parles du salariat dans un sens large du travail et pas uniquement à travers le statut du salarié d'entreprise

Je me souviens qu’au collège/lycée (privé catholique) ma copine de l’époque portait beaucoup de vêtements de marque à la mode ( Ugg, Canada goose, sac long champs et autre) et avait même un scooter, quant j’ai discuté avec ses parents je me suis rendu compte qu’en réalité pour payer le bonheur de leur filles ( elle a une grande sœur) ils vivaient dans un logement social et ne pouvaient pas en devenir les propriétaires donc condamnés à être locataires toutes leur vie. De plus des qu’ils économisent c’est automatiquement pour des vacances extravagantes ( voyage à miami) et sinon leurs vacances normal c’est les campings. Et ils ont évidemment habitués leurs enfants à ne se sentir heureux que lorsqu’ils consomment. Le pire c’est que dans la tête du père tout va bien parce qu’il se serre la ceinture pour pourvoir aux besoins de sa famille. Si l’uniforme était obligatoire, vous n’imaginez pas le nombre de dépenses qu’il n’aurait pas eu à faire

J'en ai eu beaucoup dans ma classe des filles comme ça, étant passé par la terminale ES c'est réellement déprimant de constater à quel point les dreamers accordent tout leur bonheur sur des choses insignifiantes (des produits, des marques). Sans même prendre une pause dans leur consommation pour trouver ce qui les rend heureux.

Parce que lire, cuisiner, faire du sport…ect, c’est pas du consumérisme ? Le livre tu l’ecris toi meme j’imagine ?

Bien entendu, tu achètes un livre, mais la consommation est un acte passif, là où la lecture est proactif (cela représente un effort). La culture existe depuis avant la révolution industrielle, ce qui démontre qu'elle n'est pas synonyme de consommation. Même commentaire pour le sport et la cuisine.

Après, on pourrait établir une distinction entre les lectures qui correspondent au fait de se cultiver, et celles qui correspondent à juste du divertissement de merde (romans pour jeunes, romans érotiques).