test
Supprimé- 1
Vous vous relevez, et commencez à manipuler les briques, unes par unes. Très vite, vous vous apercevez que certaines tombent facilement, le mortier endommagé par le temps. Vous vous dégagez une fenêtre de quelques briques, et observez ce qu’il s’y trouve de l’autre côté. Une grande salle, aux lumières feutrées, vertes. Vous tentez de dégager plus de briques, mais malheureusement seules les premières pouvaient être dégagées. Les autres étaient solidement ancrées.
Cette fois, ce n’était plus seulement Cäalix, mais aussi Falwe, qui se mirent à broyer du noir.
- On nous donne une voie de secours, pour qu’elle soit bloquée ! Les dieux nous on maudits ! Maudits !
- Ouais. C’est la fin. Si vous avez des confessions à faire, c’est maintenant ou jamais. Après, il sera trop tard.
Vous hésitez. Même si elle doit bien s’en douter, Vous aimeriez bien avouer votre amour à l’elfe. Mais, il y a trop de monde, c’est pas en privé …
- On pourrait casser le mur. Avec la force du truc.
Gormeno s’expliqua.
- Le bestiaux lô. On pourrait s’en servir pour casser le mur. Il doit être bien fort.
Falwe et Cälix se relèvent, et jette à nouveau un œil dans l’interstice entre les briques.
- Je vois pas le sol. Le salle doit être extrêmement haute, on risquerais d’y passer.
- C’est toujours mieux que de mourir bouffés par une pierre vivante. Je vote pour.
Un flot de sang se formais à vos pieds, se reconstituant lentement en une figure humaine. Darius.
- Bon sang, mais ou t’étais passé ? Il t’es arrivé quoi ?
- Plus tard ! Je peux malheureusement pas vous sortir de là. Le pétrophage bloque complètement la galerie, et n’a pas l’air de vouloir faire demi-tour.
- On a peut-être une solution.
Vous lui montrez la salle. Il y jette littéralement un œil, afin de mieux discerner l’intérieur, pendant que vous lui expliquez le plan.
- Allons, ne nous laissons pas aller. Cette pièce doit mener quelque part, ou bien doit être l’extérieur d’un bâtiment quelconque. Inspectons la salle.
Vous vous relevez, et commencez à manipuler les briques, unes par unes. Très vite, vous vous apercevez que certaines tombent facilement, le mortier endommagé par le temps. Vous vous dégagez une fenêtre de quelques briques, et observez ce qu’il s’y trouve de l’autre côté. Une grande salle, aux lumières feutrées, vertes. Vous tentez de dégager plus de briques, mais malheureusement seules les premières pouvaient être dégagées. Les autres étaient solidement ancrées.
- On a peut-être une solution.
Vous lui montrez la salle. Il y jette littéralement un œil, afin de mieux discerner l’intérieur, pendant que vous lui expliquez le plan.
- Vous vous en sortirez pas vivant. Il doit y avoir bien trente mètres, on est dans l’arcade d’une genre de crypte antique, ou autre.
- Célestin peut faire de la magie et moi aussi. Je vous rappelle que j’ai amorti votre chute quand on se battait contre la folle des cavernes mouvantes.
En bas, vous voyez vos compagnons atterrir en douceur, grâce à Falwe. Et bien sûr, le pétrophage. C’est une créature étrange, maintenant qu’il est dans un environnement inconnu, il n’est plus du tout camouflé. C’est une sorte de mastodonte, sans réelle forme, sans yeux, avec simplement une bouche, et quatre courtes pattes.
Vous inspectez la salle plus en profondeur. D’un côté un trône géant, dardé de pics acérés, montés sur des sortes de machoîres, des bras squelettiques tenant à bout portant une couronne d’or. À l’opposé, près de la porte, des tonneaux. Vous devinez que certains contiennent d’énormes quantités de poudre explosive.
- Célestin, toi qui est si bien perché là-haut, pourrait-tu nous indiquer un endroit plus propice à affronter cette chose ?
A ) les tonneaux d’explosifs
B) le trône, pour y piéger le pétrophage.
C ) ni l’un ni l’autre, c’est plus prudent de toucher à rien
.
A ) la petite galerie en face
- On part, en face, il pourra pas nous suivre, il sera bloqué ! C’est trop petit pour lui !
Vous vous élancez, les uns après les autres dans le goulot, vous faufilant entre les deux murs de pierre, arrachant vos vêtement. Vous arrivez dans une pièce carrée, aux murs de briques.
- Une impasse ! Ah bah bravo Célestin !
- On est bloqués avec le pétrophage à nos trousses. C’est qu’une question de temps avant qu’il nous bouffe. S’écroula Cäalix.
- D-d-désolé, je, c-c’est ma faute. Je, j’ai pris la décision p-pour nous tous, c-c’est ma faute …
- Tu peux rien faire pour nous, Darius ?
- Je peux sortir, essayer de le divertir, mais d’une je suis même pas sûr d’y arriver, il bloque le passage en entier presque hermétiquement, et je sais pas s’il se détournera de vous pour autant.
- Tu peux au moins essayer, tu es notre dernier recours.
Le guerrier se laissa couler en plusieurs morceaux à travers la faille par laquelle vous veniez de rentrer. Vous entendez alors des râles, des cris, des chocs,
- On n’a pas besoin de le tuer, juste de s’enfuir !
Le silence tombe sur les galeries. Le pétrophage reprends son travail de sape, dévorant petit à petit les mètre le séparant de vous.
- D-darius ? Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ?
- Et voilà. C’est fini. On est foutus. Morts.
- Allons, ne nous laissons pas aller. Cette pièce doit mener quelque part, ou bien doit être l’extérieur d’un bâtiment quelconque. Inspectons la salle.
Vous vous relevez, et commencez à manipuler les briques, unes par unes. Très vite, vous vous apercevez que certaines tombent facilement, le mortier endommagé par le temps. Vous vous dégagez une fenêtre de quelques briques, et observez ce qu’il s’y trouve de l’autre côté. Une grande salle, aux lumières feutrées, vertes. Vous tentez de dégager plus de briques, mais malheureusement seules les premières pouvaient être dégagées. Les autres étaient solidement ancrées.
Cette fois, ce n’était plus seulement Cäalix, mais aussi Falwe, qui se mirent à broyer du noir.
- On nous donne une voie de secours, pour qu’elle soit bloquée ! Les dieux nous on maudits ! Maudits !
- Ouais. C’est la fin. Si vous avez des confessions à faire, c’est maintenant ou jamais. Après, il sera trop tard.
Vous hésitez. Même si elle doit bien s’en douter, Vous aimeriez bien avouer votre amour à l’elfe. Mais, il y a trop de monde, c’est pas en privé …
- On pourrait casser le mur. Avec la force du truc.
Gormeno s’expliqua.
- Le bestiaux lô. On pourrait s’en servir pour casser le mur. Il doit être bien fort.
Falwe et Cälix se relèvent, et jette à nouveau un œil dans l’interstice entre les briques.
- Je vois pas le sol. Le salle doit être extrêmement haute, on risquerais d’y passer.
- C’est toujours mieux que de mourir bouffés par une pierre vivante. Je vote pour.
Un flot de sang se formais à vos pieds, se reconstituant lentement en une figure humaine. Darius.
- Bon sang, mais ou t’étais passé ? Il t’es arrivé quoi ?
- Plus tard ! Je peux malheureusement pas vous sortir de là. Le pétrophage bloque complètement la galerie, et n’a pas l’air de vouloir faire demi-tour.
- On a peut-être une solution.
Vous lui montrez la salle. Il y jette littéralement un œil, afin de mieux discerner l’intérieur, pendant que vous lui expliquez le plan.
- Vous vous en sortirez pas vivant. Il doit y avoir bien trente mètres, on est dans l’arcade d’une genre de crypte antique, ou autre.
- Célestin peut faire de la magie et moi aussi. Je vous rappelle que j’ai amorti votre chute quand on se battait contre la folle des cavernes mouvantes.
- Effectivement. Alors pourquoi pas. On a plus qu’à l’attendre alors.
Le pétrophage avançait, lentement mais sûrement. Vous décidez alors, de prendre un repas, en attendant que la créature arrive vers vous. Il était à la moitié du chemin. Une petite partie de dé pendant qu’on l’attend ? Après que vous ayez perdu plusieurs fois face à Falwe et Gormeno, étonnement bon au jeu, le pétrophage était aux trois quart du sentier. Lentement, le groupe range les affaires traînant ici et là, pendant que vous jetez un dernier coup d’oeil au livre de sort. Vous en apprenez un nouveau, « Necrodeus ». un sort de néromancien accessible à tous, invoquant un mort, qui sera à vos ordres. Vous ne le testez pas, du moins, pour l’instant. Le pétrophage était sur le point d’entrer dans la pièce.
- Célestin, pour le faire charger, je te propose de lui lancer une petite boule de feu.
- Falwe, prépare ton sort d’amorti.
- C’est comme si c’était fait.
Le pétrphage recula, brûlé. Il s’énerva, et chargea, brisant les derniers restes du goulot, et brisant le mur dans son élan. Vous vous retrouvez devant la gueule de l’animal, et parez de toutes vos forces avec votre épée, évitant les coups de dents acérées.
Darius avait raison. Vous vous retrouvez dans une sorte de cathédrale souterraine, aux arcades soutenues par d’immenses colonnes carrées, éclairée par la lueur blafarde de champignons phosphorescents, variant du bleu au vert. Vous vous dégagez du pétrophage, maintenant hors de sa galerie, vous envoyant hors du champ d’action de Falwe. Vous parvenez à planter votre épée dans le bois ancien d’une colonne, et vous y accrochez.
En bas, vous voyez vos compagnons atterrir en douceur, grâce à Falwe. Et bien sûr, le pétrophage. C’est une créature étrange, maintenant qu’il est dans un environnement inconnu, il n’est plus du tout camouflé. C’est une sorte de mastodonte, sans réelle forme, sans yeux, avec simplement une bouche, et quatre courtes pattes.
Vous inspectez la salle plus en profondeur. D’un côté un trône géant, dardé de pics acérés, montés sur des sortes de machoîres, des bras squelettiques tenant à bout portant une couronne d’or. À l’opposé, près de la porte, des tonneaux. Vous devinez que certains contiennent d’énormes quantités de poudre explosive.
- Célestin, toi qui est si bien perché là-haut, pourrait-tu nous indiquer un endroit plus propice à affronter cette chose ?
A ) les tonneaux d’explosifs
B) le trône, pour y piéger le pétrophage.
C ) ni l’un ni l’autre, c’est plus prudent de toucher à rien
.
l’opposé, près de la porte, des tonneaux. Vous devinez que certains contiennent d’énormes quantités de poudre explosive.
- Célestin, toi qui est si bien perché là-haut, pourrait-tu nous indiquer un endroit plus propice à affronter cette chose ?
A ) les tonneaux d’explosifs
B) le trône, pour y piéger le pétrophage.
C ) ni l’un ni l’autre, c’est plus prudent de toucher à rien
.
A ) la petite galerie en face
- On part, en face, il pourra pas nous suivre, il sera bloqué ! C’est trop petit pour lui !
Vous vous élancez, les uns après les autres dans le goulot, vous faufilant entre les deux murs de pierre, arrachant vos vêtement. Vous arrivez dans une pièce carrée, aux murs de briques.
- Une impasse ! Ah bah bravo Célestin !
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Données du topic
- Auteur
- exumore11
- Date de création
- 19 décembre 2022 à 00:47:17
- Date de suppression
- 19 décembre 2022 à 01:00:00
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