HISTOIRE : Le plan de GÉNIE des ISRAÉLIENS pour vaincre le MONDE ARABE
1967. Dimanche dernier 4 juin, tout est calme. Pour la première fois depuis le début de la crise, les membres du kibboutz qui vivaient depuis quinze jours en alerte permanente — les femmes et les enfants dans les abris, les hommes à leurs postes de combat — ont été autorisés à se grouper sur les pelouses au bord de l'eau. Les militaires ont été autorisés, pour la première fois, à se rendre en permission dans leurs familles.
Le lendemain matin, dans le monde entier, on saura qu'Israël a passé un week-end calme.
La nuit tombe sur Tel-Aviv. Les dépêches du Caire annoncent pour le lendemain matin le départ de Zakharia Mohieddine, le vice-président de la R.A.U. (République arabe unie), pour les États-Unis. Au même moment, dans toutes les villes d'Israël, des voitures filent silencieusement dans les rues. Les portes s'entrouvrent. Les parachutistes sont ramassés en priorité, puis tous les réservistes disponibles. Les commandants d'escadrille reçoivent de lourdes enveloppes cachetées.
Israël attaque à l'aube, après un formidable coup de bluff.
À 6 heures 30 du matin, tout ce qui peut voler décolle en direction de l'Egypte, de la Jordanie et de la Syrie. Même les petits Fouga-Magister sont armés de roquettes et de mitrailleuses. Pour échapper à la surveillance, des radars ennemis, les gros Nord-Atlas volent à 25 mètres au-dessus du sol. Nous les verrons dans la matinée à proximité de la bande de Gaza. Ils sautent littéralement les rangées d'arbres, les unes après les autres.
La surprise est totale chez l'adversaire. Il n'y a pas un avion en l'air, les servants des fusées Sam II somnolent encore. Les pilotes israéliens de la première vague d'assaut attaquent à la bombe d'assez haut en arrivant sur leur objectif. On pensait que la réaction égyptienne serait rapide. Mais elle n'a pas lieu et les Israéliens rentrent surexcités à leurs bases. Ils demandent d'utiliser pour leur deuxième assaut les roquettes et les mitrailleuses. Les commandants d'escadrille, débordés, acceptent. Une heure après le début de l'opération, les aviations de combat arabes sont pratiquement anéanties.
Cette victoire-éclair n'est pas seulement celle de la force. Elle est aussi celle de la ruse d'un peuple qui n'en manque pas et qui a poussé le renseignement à la hauteur d'une science exacte.
Au moment précis où les premiers Mirage décollent de leurs bases secrètes dans le Néguev, les spécialistes israéliens rentrent sur le réseau radio des Egyptiens. Ils connaissent les fréquences de toutes les unités et leurs codes. Il se passe des scènes invraisemblables. Quelques Mig ont réussi à quitter leurs aérodromes de campagne dans le Sinaï et cherchent à intercepter les assaillants. Des voix mystérieuses s'adressent à eux:
- Lieutenant Mortagui, c'est perdu pour toi. Tu as décollé de l'aérodrome d'El-Arish. Il n'existe plus. Si tu veux revoir ta femme Laïla et tes trois enfants, largue tes bombes au-dessus de la mer, et saute. Le lieutenant Mortagui actionne son siège éjectable et son Mig 21 flambant neuf s'écrase dans le désert. Il n'est pas le seul à choisir cette solution. Le désarroi est tel qu'un Ouragan engage le combat au-dessus de Kuntila avec un Mig 21. Assourdi par des ordres contradictoires, le pilote ne réagit pas. Le vieil Ouragan abat en flammes le plus moderne des intercepteurs soviétiques.
Au sol, c'est la même panique. Des commandos israéliens ont été largués derrière les lignes égyptiennes dans le secteur d'Abou Aguila. Ils attaquent avec leurs armes individuelles les équipages d'un peloton de chars qui fait le plein d'essence et prennent à revers d'autres T-54 enterrés dans leurs trous face à l'Est. C'est la panique. Les soldats de Nasser se sont fait tuer sur place et ont résisté héroïquement pendant des heures, sans couverture aérienne.
La débandade commence, et c'est alors un massacre. Des convois entiers, de fabrication soviétique, sont attaqués au napalm en plein désert. Les avions remontent les colonnes en déposant à intervalles réguliers leurs bidons. Des hommes transformés en torches se roulent dans le sable. Les chars qui tentent de se regrouper et de former des postes de résistance sont anéantis les uns après les autres.
Il y aura encore des résistances sporadiques pendant deux jours, mais déjà de longues colonnes de soldats egyptiens sans chaussures s'enfuient en direction du canal de Suez, souvent mitraillés de nouveau par des avions qui épuisent leurs dernières munitions avant de regagner leurs bases.
Les Israélien ont fait un coup maître.
les israéliens finiront par perdre, la démographie est en leur défaveur et les seuls j fertiles, les orthodoxes, refuseront de se battre
c'est une question de décennies
Le 30 mai 2022 à 20:23:39 :
Le 30 mai 2022 à 20:21:05 :
Une victoire militaire totale.
Les Israélien ont fait un coup maître.Exact exact
Humiliation ultime pour les egyptiens quand même
Plusieurs millénaires plus tard, le peuple hébreux libre prend enfin sa revanche face à l'Egypte, c'est poétique
le peuple hébreux ce sont les actuels palestiniens, certainement pas tes slaves ashkénazes ou tes berbères séfarades
Données du topic
- Auteur
- BraveSoldier
- Date de création
- 30 mai 2022 à 20:01:31
- Nb. messages archivés
- 29
- Nb. messages JVC
- 17